Le Conseil national de la santé, affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), a interpellé hier le ministre de la Santé par des menaces de recours à la protestation dans le cas où ils ne sera pas reçu pour une réunion de concertation. Un rassemblement de contestation est ainsi prévu au cours de la dernière semaine de ce mois de juillet, devant le siège du ministère de la Santé. Le syndicat déplore son exclusion du programme du dialogue national décidé par le ministre Djamel Ould Abbès et entamé la semaine dernière. A travers un communiqué rendu public hier, le Snapap estime que cette action de protestation demeure l'ultime solution pour arracher les droits des travailleurs du secteur ainsi que la satisfaction de la plateforme de revendications déposée le 7 juin dernier. « Devant le silence du ministère par rapport à notre plateforme de revendications, notre exclusion du dialogue national et l'attitude hostile de certaines directions d'établissements hospitaliers à l'encontre des syndicalistes, le Conseil national, réuni le 2 juillet en session extraordinaire, a décidé d'opter pour un sit-in devant le ministère de la Santé, dans le cas où aucune réunion de concertation n'aura lieu d'ici là », lit-on sur le même communiqué. En effet, dans le but d'instaurer un dialogue national pour sortir le secteur de la santé de la crise, un calendrier de rencontres restreintes avec chacun des partenaires sociaux a été défini par le ministre de la Santé. Le calendrier a débuté dimanche passé avec les praticiens spécialistes, suivi des praticiens généralistes puis avec les paramédicaux. Quant aux psychologues, ils seront reçus le 7 juillet prochain. Le programme devrait prendre fin le 12 juillet. En revanche, le Snapap s'est retrouvé exclu et marginalisé de ces discussions « sans aucune raison ». Le ministre Ould Abbès avait affirmé sa volonté à privilégier la voie de la concertation afin, avait-il dit, de trouver ensemble des réponses concrètes, réalistes et pertinentes à même d'œuvrer à la réhabilitation de l'ensemble des personnels du secteur de la santé. Chose qui ne concerne visuellement pas les travailleurs des administrations des établissements hospitaliers. Le Snapap revendique, rappelons-le, la promulgation du statut particulier et le régime indemnitaire. Il exige, outre la revalorisation des primes et des indemnités, la généralisation de la prime de contagion à tous les travailleurs et une prime de document pour les paramédicaux. Le Conseil national de la santé, affilié au Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap), a interpellé hier le ministre de la Santé par des menaces de recours à la protestation dans le cas où ils ne sera pas reçu pour une réunion de concertation. Un rassemblement de contestation est ainsi prévu au cours de la dernière semaine de ce mois de juillet, devant le siège du ministère de la Santé. Le syndicat déplore son exclusion du programme du dialogue national décidé par le ministre Djamel Ould Abbès et entamé la semaine dernière. A travers un communiqué rendu public hier, le Snapap estime que cette action de protestation demeure l'ultime solution pour arracher les droits des travailleurs du secteur ainsi que la satisfaction de la plateforme de revendications déposée le 7 juin dernier. « Devant le silence du ministère par rapport à notre plateforme de revendications, notre exclusion du dialogue national et l'attitude hostile de certaines directions d'établissements hospitaliers à l'encontre des syndicalistes, le Conseil national, réuni le 2 juillet en session extraordinaire, a décidé d'opter pour un sit-in devant le ministère de la Santé, dans le cas où aucune réunion de concertation n'aura lieu d'ici là », lit-on sur le même communiqué. En effet, dans le but d'instaurer un dialogue national pour sortir le secteur de la santé de la crise, un calendrier de rencontres restreintes avec chacun des partenaires sociaux a été défini par le ministre de la Santé. Le calendrier a débuté dimanche passé avec les praticiens spécialistes, suivi des praticiens généralistes puis avec les paramédicaux. Quant aux psychologues, ils seront reçus le 7 juillet prochain. Le programme devrait prendre fin le 12 juillet. En revanche, le Snapap s'est retrouvé exclu et marginalisé de ces discussions « sans aucune raison ». Le ministre Ould Abbès avait affirmé sa volonté à privilégier la voie de la concertation afin, avait-il dit, de trouver ensemble des réponses concrètes, réalistes et pertinentes à même d'œuvrer à la réhabilitation de l'ensemble des personnels du secteur de la santé. Chose qui ne concerne visuellement pas les travailleurs des administrations des établissements hospitaliers. Le Snapap revendique, rappelons-le, la promulgation du statut particulier et le régime indemnitaire. Il exige, outre la revalorisation des primes et des indemnités, la généralisation de la prime de contagion à tous les travailleurs et une prime de document pour les paramédicaux.