-Les trottoirs longeant la rue du côté de la clinique Sebihi Tassadite de Tizi Ouzou sont envahis par toutes sortes de commerçants qui vont de la vente de vêtements et chaussures de fabrication chinoise bon marché, de fruits et légumes, jusqu'aux mini bureaux tabac à même le trottoir. Cet endroit où sont vendus également sans aucun respect des normes d'hygiène des friandises et autres gaufrettes et barrettes de chocolat de provenance douteuse, est devenu une sorte de cachette pour les trabendistes de tout bord. Cette situation alarmante qui s'est généralisée au fil de ces dernières années dans le chef lieu de wilaya, chômage oblige, n'incommode pas seulement le piéton qui est obligé de circuler au milieu de la route avec tous les dangers que cela implique mais aussi porte atteinte à l'image de la ville où la saleté règne en seule maîtresse des lieux. -La wilaya de Tizi Ouzou est du 05 au 09 juillet 2010 l'hôte du festival culturel local des arts et cultures populaires de la wilaya de Tindouf. Un riche programme est prévu à cette occasion. Des expositions sont organisées afin de faire connaitre au public Tizi Ouzien la richesse du patrimoine culturel de cette grande wilaya du Sud, ainsi que ses us et coutumes. Traduites par des expositions d'objets faisant parti du quotidien des habitants de Tindouf, ces expositions sont aussi une expression culturelle d'un genre nouveau pour les gens du nord de l'Algérie. Des habits aux ustensiles de cuisine en passant par la décoration d'une khaïma traditionnelle, par des objets qui sied à la vie dans le Grand sud, le programme initié par la wilaya de Tindouf à permis au public de découvrir tout un pan d'histoire de cette région d'Algérie aux traditions millénaires. Des spectacles et des danses folkloriques sont également au programme de cette festivité culturelle et seront animés par des troupes de la région. -Le fils de l'avocat de Ain Zaouïa dans la daïra de Draa EL Mizan, enlevé la semaine dernière dans un faux barrage, a été relâché par ses ravisseurs dans la matinée du samedi. Aucune information n'a circulé jusqu'à maintenant sur les circonstances liées à son enlèvement ni sur les conditions de sa libération. Plusieurs sources parlent d'une rançon qui aurait conditionné sa libération, mais toujours est-il que du côté officiel, rien n'a filtré sur les tractations qu'il y a eu avec les ravisseurs. Il y a lieu de rappeler que le jeune homme en question âgé d'une trentaine d'années environ qui a été enlevé sur la route desservant le chef lieu de la commune et qui est resté entre les mains de ses kidnappeurs plus de dix jours, vient de rejoindre sa famille sain et sauf. -La commune de Tadmaït, connue également sous le nom de la ville aux mille martyrs, en collaboration avec le comité de village Aït Maâmar a rendu, vendredi passé, un vibrant hommage au chahid Ahmed Ikeri dit Si Smaïl et ce, à l'occasion de la célébration du 48e anniversaire du recouvrement de l'indépendance de notre pays. Un rassemblement a eu lieu devant le siège de l'APC en présence des responsables locaux et des membres de la famille révolutionnaire. Après avoir pris connaissance du programme de la journée, ces derniers se sont déplacés au village natal de ce novembriste, à savoir Ath Maâmar, où ils ont déposé une gerbe de fleurs. L'hommage rendu à ce grand maquisard que fut Ahmed Ikeri s'est poursuivi dans la soirée avec la projection en plein air d'un film historique retraçant le parcours de grands héros de la Révolution nationale. -Les trottoirs longeant la rue du côté de la clinique Sebihi Tassadite de Tizi Ouzou sont envahis par toutes sortes de commerçants qui vont de la vente de vêtements et chaussures de fabrication chinoise bon marché, de fruits et légumes, jusqu'aux mini bureaux tabac à même le trottoir. Cet endroit où sont vendus également sans aucun respect des normes d'hygiène des friandises et autres gaufrettes et barrettes de chocolat de provenance douteuse, est devenu une sorte de cachette pour les trabendistes de tout bord. Cette situation alarmante qui s'est généralisée au fil de ces dernières années dans le chef lieu de wilaya, chômage oblige, n'incommode pas seulement le piéton qui est obligé de circuler au milieu de la route avec tous les dangers que cela implique mais aussi porte atteinte à l'image de la ville où la saleté règne en seule maîtresse des lieux. -La wilaya de Tizi Ouzou est du 05 au 09 juillet 2010 l'hôte du festival culturel local des arts et cultures populaires de la wilaya de Tindouf. Un riche programme est prévu à cette occasion. Des expositions sont organisées afin de faire connaitre au public Tizi Ouzien la richesse du patrimoine culturel de cette grande wilaya du Sud, ainsi que ses us et coutumes. Traduites par des expositions d'objets faisant parti du quotidien des habitants de Tindouf, ces expositions sont aussi une expression culturelle d'un genre nouveau pour les gens du nord de l'Algérie. Des habits aux ustensiles de cuisine en passant par la décoration d'une khaïma traditionnelle, par des objets qui sied à la vie dans le Grand sud, le programme initié par la wilaya de Tindouf à permis au public de découvrir tout un pan d'histoire de cette région d'Algérie aux traditions millénaires. Des spectacles et des danses folkloriques sont également au programme de cette festivité culturelle et seront animés par des troupes de la région. -Le fils de l'avocat de Ain Zaouïa dans la daïra de Draa EL Mizan, enlevé la semaine dernière dans un faux barrage, a été relâché par ses ravisseurs dans la matinée du samedi. Aucune information n'a circulé jusqu'à maintenant sur les circonstances liées à son enlèvement ni sur les conditions de sa libération. Plusieurs sources parlent d'une rançon qui aurait conditionné sa libération, mais toujours est-il que du côté officiel, rien n'a filtré sur les tractations qu'il y a eu avec les ravisseurs. Il y a lieu de rappeler que le jeune homme en question âgé d'une trentaine d'années environ qui a été enlevé sur la route desservant le chef lieu de la commune et qui est resté entre les mains de ses kidnappeurs plus de dix jours, vient de rejoindre sa famille sain et sauf. -La commune de Tadmaït, connue également sous le nom de la ville aux mille martyrs, en collaboration avec le comité de village Aït Maâmar a rendu, vendredi passé, un vibrant hommage au chahid Ahmed Ikeri dit Si Smaïl et ce, à l'occasion de la célébration du 48e anniversaire du recouvrement de l'indépendance de notre pays. Un rassemblement a eu lieu devant le siège de l'APC en présence des responsables locaux et des membres de la famille révolutionnaire. Après avoir pris connaissance du programme de la journée, ces derniers se sont déplacés au village natal de ce novembriste, à savoir Ath Maâmar, où ils ont déposé une gerbe de fleurs. L'hommage rendu à ce grand maquisard que fut Ahmed Ikeri s'est poursuivi dans la soirée avec la projection en plein air d'un film historique retraçant le parcours de grands héros de la Révolution nationale.
