Les résidants des sites de chalets, disséminés un peu partout à travers la capitale, ont de nouveau eu recours à la protestation de rue pour faire entendre leurs voix et dénoncer les conditions de vie misérables dont lesquelles ils végètent. Cette fois-ci ce sont les habitants du site de chalets de "Kahouet Chergui" à Dergana qui se sont rassemblés devant le siège de leur commune pour réclamer leurs droits et faire rappeler aux élus leurs promesses de relogement. Pour rappel, ces familles occupent ces chalets depuis le séisme de 2003 et sont originaires de plusieurs quartiers algérois touchés par ce séisme : Bab El Oued, Belcourt, Réghaïa, Rouiba... Ces familles affirment qu'elles sont lassées de vivre dans la précarité et désirent être relogées dans des logements décents à l'instar des autres familles issues de l'habitat précaire et de bidonvilles et qui ont bénéficié des campagnes de relogement depuis le mois de mars dernier et qui devraient se clôturer fin octobre prochain. Il faut dire, en effet, que les conditions de vie dans ces chalets ne sont hélas plus qu'insupportables et deviennent aussi précaires que les vieillles bâtisses de la capitale. Notant que le relogement des sinistrés de 2003 dans des chalets, devait être momentané, mais voilà que plus de sept ans sont passés et ces habitants végètent toujours dans des conditions lamentables, notamment avec la chaleur de cette saison. C. K. Les résidants des sites de chalets, disséminés un peu partout à travers la capitale, ont de nouveau eu recours à la protestation de rue pour faire entendre leurs voix et dénoncer les conditions de vie misérables dont lesquelles ils végètent. Cette fois-ci ce sont les habitants du site de chalets de "Kahouet Chergui" à Dergana qui se sont rassemblés devant le siège de leur commune pour réclamer leurs droits et faire rappeler aux élus leurs promesses de relogement. Pour rappel, ces familles occupent ces chalets depuis le séisme de 2003 et sont originaires de plusieurs quartiers algérois touchés par ce séisme : Bab El Oued, Belcourt, Réghaïa, Rouiba... Ces familles affirment qu'elles sont lassées de vivre dans la précarité et désirent être relogées dans des logements décents à l'instar des autres familles issues de l'habitat précaire et de bidonvilles et qui ont bénéficié des campagnes de relogement depuis le mois de mars dernier et qui devraient se clôturer fin octobre prochain. Il faut dire, en effet, que les conditions de vie dans ces chalets ne sont hélas plus qu'insupportables et deviennent aussi précaires que les vieillles bâtisses de la capitale. Notant que le relogement des sinistrés de 2003 dans des chalets, devait être momentané, mais voilà que plus de sept ans sont passés et ces habitants végètent toujours dans des conditions lamentables, notamment avec la chaleur de cette saison. C. K.
