Sonatrach a élaboré une feuille de route ambitieuse pour réduire les gaz torchés à 1%    1ers Jeux scolaires africains : 44 pays ont confirmé leur participation et le nombre est appelé à augmenter    Le président de la République reçoit une délégation de la compagnie américaine Chevron    Conseil de la nation : Nasri réunit la délégation devant participer à la session du Comité exécutif de l'UIP en Grèce    Boughali reçu à Nouakchott par le président de l'Assemblée nationale mauritanienne    Les pays de la route transsaharienne unanimes sur le projet du corridor économique    Le cessez-le-feu entre l'Iran et l'entité sioniste largement salué    L'Algérie fait partie des meilleurs pays arabes en matière de protection sociale    ANP : sortie de 7 nouvelles promotions à l'Ecole supérieure militaire de l'information et de la communication    Football : décès de l'ancien international Djamel Chaïbi    Hidaoui donne depuis Oum El Bouaghi le coup d'envoi du programme national 2025 des camps d'été pour les wilayas de l'intérieur    Clôture du programme d'ouverture de la manifestation "Alger, Capitale de la Culture Hassaniya" 2025    15e Festival culturel de la chanson et musique Kabyles : 20 artistes et 10 concurrents attendus à Bejaia    Accidents de la route: 36 décès et 1892 blessés en une semaine    Italie: démantèlement d'un réseau d'acheminement du haschisch depuis le Maroc    Agression sioniste contre Ghaza: le bilan s'alourdit à 56.077 martyrs    CAN féminine 2025: les "Vertes" entament la 2e phase de préparation à Sidi Moussa    Algérie/ALESCO: les perspectives de coopération culturelle examinées    En infériorité numérique, le Real Madrid dompte Pachuca    Ooredoo Algérie dépose son offre pour la 5G    Un gala pour l'armée sioniste en plein Paris    Un partenariat stratégique renforcé    Le ministre des Transports donne le coup d'envoi officiel de la saison estivale 2025 à partir de la plage les ''Sablettes''    «L'Algérie, forte de ses institutions et de son peuple, ne se laissera pas intimider !»    Valorisation des ressources humaines    Pour qui roule Patrick Motsepe ?    Un riche programme concocté    Plus de 50 mots dans des raids sionistes en 24 heures    Le président de la République inaugure la 56e Foire internationale d'Alger    Le chef de l'AIEA convoque une «réunion d'urgence»    Le président de la République ordonne une enquête    Le bilan s'alourdit à 3 morts et 81 blessés    L'US Biskra officialise sa rétrogradation    L'Etat reprend la main    Il y a vingt ans disparaissait l'icône du style « Tindi", Othmane Bali    « Si l'on ne sent plus la douleur des enfants, on n'est plus humain »    La Fifa organise un séminaire à Alger    Khaled Ouennouf intègre le bureau exécutif    L'Algérie et la Somalie demandent la tenue d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité    30 martyrs dans une série de frappes à Shuja'iyya    Lancement imminent d'une plate-forme antifraude    Les grandes ambitions de Sonelgaz    La force et la détermination de l'armée    Tebboune présente ses condoléances    Lutte acharnée contre les narcotrafiquants    La Coquette se refait une beauté    Cheikh Aheddad ou l'insurrection jusqu'à la mort    Un historique qui avait l'Algérie au cœur    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Une grande fête en vert-blanc-rouge
5e soirée du festival de Timgad
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 07 - 2010

Tous les artistes qui sont montés, lundi soir, sur la scène du théâtre de plein air nouvellement construit à Timgad, lors de la 5e soirée du festival, se sont "fondus" avec le public et repris avec lui, presque sans discontinuer, le désormais célèbre "one, two, three, viva l'Algérie".
La fête était, jusqu'à une heure avancée dans la nuit, si totale et si débridée que le spectacle pouvait être apprécié autant sur la scène que dans les gradins abondamment garnis de familles mais également de jeunes munis de drapeaux algériens et qui ont choisi d'être en parfaite communion avec les chanteurs.
Ces derniers se sont pris au jeu et aussi bien Vitaa, la chanteuse française de R'n'B, que Cheb Khalas, Samir "l'Algerino", le rappeur marseillais originaire de Khenchela, ou encore Hassan Dadi, l'enfant du "cru", tous ont contribué, avec du vert, du blanc et du rouge sur les épaules, à donner une couleur purement algérienne à cette soirée chaleureuse.
Vitaa, qui se produit pourtant pour la première fois à Timgad, a rapidement conquis le public grâce à ses rythmes endiablés, avant d'être doublement séduite, d'abord à la vue du jeune public reprenant en chúur ses chansons, et ensuite par la féérie dégagée par le nouveau théâtre, juste à côté du site Romain de l'antique Thamugadi. "Je découvre ce soir un endroit merveilleux et le public le plus chaud qu'il ne m'ait jamais été donné de voir", a-t-elle dit, visiblement émue par l'accueil des "spectateurs-acteurs".
De son côté, Samir "l'Algerino", lui aussi passionnément suivi par le jeune public de Timgad, où il chante également pour la première fois, a tenu à témoigner de la vive émotion que lui procure le fait de se produire dans le pays de ses origines, à une cinquantaine de km seulement de Khenchela, lieu de naissance de ses parents.
Ce fut ensuite au tour de Cheb Khalas de faire vibrer l'assistance avec ses standards rythmés et tellement festifs. L'enfant de Guelma, spécialisé dans les chansons du genre "staïfi", s'est évertué à interpréter ses principaux "tubes" glorifiant l'amour, mettant un point d'honneur à répondre à chacune des sollicitations du public, avant de céder la place à Hassan Dadi, l'enfant du "coin", dont les morceaux chaouis interprétés d'une voix puissante n'ont pas manqué de rappeler la rusticité et la majesté des monts des Aurès dont les silhouettes imposantes se devinent, tout près de l'antique Thamugadi.
APS
Tous les artistes qui sont montés, lundi soir, sur la scène du théâtre de plein air nouvellement construit à Timgad, lors de la 5e soirée du festival, se sont "fondus" avec le public et repris avec lui, presque sans discontinuer, le désormais célèbre "one, two, three, viva l'Algérie".
La fête était, jusqu'à une heure avancée dans la nuit, si totale et si débridée que le spectacle pouvait être apprécié autant sur la scène que dans les gradins abondamment garnis de familles mais également de jeunes munis de drapeaux algériens et qui ont choisi d'être en parfaite communion avec les chanteurs.
Ces derniers se sont pris au jeu et aussi bien Vitaa, la chanteuse française de R'n'B, que Cheb Khalas, Samir "l'Algerino", le rappeur marseillais originaire de Khenchela, ou encore Hassan Dadi, l'enfant du "cru", tous ont contribué, avec du vert, du blanc et du rouge sur les épaules, à donner une couleur purement algérienne à cette soirée chaleureuse.
Vitaa, qui se produit pourtant pour la première fois à Timgad, a rapidement conquis le public grâce à ses rythmes endiablés, avant d'être doublement séduite, d'abord à la vue du jeune public reprenant en chúur ses chansons, et ensuite par la féérie dégagée par le nouveau théâtre, juste à côté du site Romain de l'antique Thamugadi. "Je découvre ce soir un endroit merveilleux et le public le plus chaud qu'il ne m'ait jamais été donné de voir", a-t-elle dit, visiblement émue par l'accueil des "spectateurs-acteurs".
De son côté, Samir "l'Algerino", lui aussi passionnément suivi par le jeune public de Timgad, où il chante également pour la première fois, a tenu à témoigner de la vive émotion que lui procure le fait de se produire dans le pays de ses origines, à une cinquantaine de km seulement de Khenchela, lieu de naissance de ses parents.
Ce fut ensuite au tour de Cheb Khalas de faire vibrer l'assistance avec ses standards rythmés et tellement festifs. L'enfant de Guelma, spécialisé dans les chansons du genre "staïfi", s'est évertué à interpréter ses principaux "tubes" glorifiant l'amour, mettant un point d'honneur à répondre à chacune des sollicitations du public, avant de céder la place à Hassan Dadi, l'enfant du "coin", dont les morceaux chaouis interprétés d'une voix puissante n'ont pas manqué de rappeler la rusticité et la majesté des monts des Aurès dont les silhouettes imposantes se devinent, tout près de l'antique Thamugadi.
APS


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.