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Comment détecter les faux documents de voyage
Echange d'expertise entre les Etats-Unis et l'Algérie
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 07 - 2010

L'Algérie est un partenaire stratégique et essentiel pour les Etats-Unis, notamment en matière de lutte antiterroriste. C'est ce que confirme, en tout les cas, l'administration Obama, et ce, par la mise en place d'un programme d'assistance antiterroriste (ATA). Dans ce sens, deux experts américains, en l'occurrence MM. Neville Kramer et Ron Bright, ont dispensé une formation de quatre jours sur « La détection des faux documents de voyage » au profit de 23 inspecteurs des Douanes algériennes, a indiqué, hier, l'ambassade américaine à Alger.
L'Algérie est un partenaire stratégique et essentiel pour les Etats-Unis, notamment en matière de lutte antiterroriste. C'est ce que confirme, en tout les cas, l'administration Obama, et ce, par la mise en place d'un programme d'assistance antiterroriste (ATA). Dans ce sens, deux experts américains, en l'occurrence MM. Neville Kramer et Ron Bright, ont dispensé une formation de quatre jours sur « La détection des faux documents de voyage » au profit de 23 inspecteurs des Douanes algériennes, a indiqué, hier, l'ambassade américaine à Alger.
Ladite formation qui s'est déroulée du 18 au 21 du mois en cours, à l'Ecole de formation, de fonctionnement et de recyclage de Ben Aknoun, a été l'occasion, souligne-t-on, aux inspecteurs des Douanes algériennes de s'initier aux dernières techniques de détection des faux documents de voyage ainsi qu'à leur exploitation dans des enquêtes criminelles.
L'ambassade a également tenu à préciser l'engagement de la Maison Blanche de renouveler son partenariat de formation avec l'Algérie par l'intermédiaire du programme ATA, avec, précise-t-on, les éléments des forces de sécurité algériennes.
Le fait est que ces derniers mois, le recours aux faux documents de voyage, l'usurpation de l'identité d'autrui par des personnes souvent affiliées à des organisations terroristes constitue le casse-tête des gouvernements. Dans ce cas de figure, le département d'Etat américain a tenu à rappeler que les deux parties, (Algérie et USA) sont confrontées aux mêmes défis. « Etant confrontés à des défis communs, les Etats-Unis et l'Algérie peuvent grandement bénéficier d'un échange de méthodologie, des leçons apprises et des meilleures pratiques dans le domaine de la détection des faux documents de voyage », a-t-on affirmé de même source. Par ailleurs, on précise que le programme de formation ATA est « un véhicule d'échange d'expertise et de ressources importantes avec l'Algérie qui, rappelle-t-on, souffre des atrocités terroristes depuis 1991 ».
Ce programme, explique-t-on, offre un cadre dynamique aux Etats-Unis, visant à lui permettre de « bénéficier de la contribution significative de l'Algérie à la lutte contre l'extrémisme violent tout en partageant les stratégies efficientes de sécurité qui ont été développées et mises en œuvre aux Etats-Unis ». « L'Algérie demeure un partenaire essentiel pleinement engagé dans la guerre contre le terrorisme. Elle est à la pointe de la lutte contre la criminalité transnationale », a-t-on ajouté de même source.
Cependant, il est à rappeler que le programme ATA, qui est géré par le Bureau de la sécurité diplomatique relevant du Département d'Etat américain, a été créé en 1983 sur autorisation du Congrès comme une initiative majeure pour lutter contre le terrorisme international. Ce programme a permis de former des dizaines de milliers d'agents de sécurité dans plus de 112 pays, conclut-on.
Ladite formation qui s'est déroulée du 18 au 21 du mois en cours, à l'Ecole de formation, de fonctionnement et de recyclage de Ben Aknoun, a été l'occasion, souligne-t-on, aux inspecteurs des Douanes algériennes de s'initier aux dernières techniques de détection des faux documents de voyage ainsi qu'à leur exploitation dans des enquêtes criminelles.
L'ambassade a également tenu à préciser l'engagement de la Maison Blanche de renouveler son partenariat de formation avec l'Algérie par l'intermédiaire du programme ATA, avec, précise-t-on, les éléments des forces de sécurité algériennes.
Le fait est que ces derniers mois, le recours aux faux documents de voyage, l'usurpation de l'identité d'autrui par des personnes souvent affiliées à des organisations terroristes constitue le casse-tête des gouvernements. Dans ce cas de figure, le département d'Etat américain a tenu à rappeler que les deux parties, (Algérie et USA) sont confrontées aux mêmes défis. « Etant confrontés à des défis communs, les Etats-Unis et l'Algérie peuvent grandement bénéficier d'un échange de méthodologie, des leçons apprises et des meilleures pratiques dans le domaine de la détection des faux documents de voyage », a-t-on affirmé de même source. Par ailleurs, on précise que le programme de formation ATA est « un véhicule d'échange d'expertise et de ressources importantes avec l'Algérie qui, rappelle-t-on, souffre des atrocités terroristes depuis 1991 ».
Ce programme, explique-t-on, offre un cadre dynamique aux Etats-Unis, visant à lui permettre de « bénéficier de la contribution significative de l'Algérie à la lutte contre l'extrémisme violent tout en partageant les stratégies efficientes de sécurité qui ont été développées et mises en œuvre aux Etats-Unis ». « L'Algérie demeure un partenaire essentiel pleinement engagé dans la guerre contre le terrorisme. Elle est à la pointe de la lutte contre la criminalité transnationale », a-t-on ajouté de même source.
Cependant, il est à rappeler que le programme ATA, qui est géré par le Bureau de la sécurité diplomatique relevant du Département d'Etat américain, a été créé en 1983 sur autorisation du Congrès comme une initiative majeure pour lutter contre le terrorisme international. Ce programme a permis de former des dizaines de milliers d'agents de sécurité dans plus de 112 pays, conclut-on.


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