Cette négligence intolérable a engendré une déliquescence au sein des établissements scolaires du cycle primaire qui ne disposent pas de l'autonomie financière et de gestion à l'inverse des collèges et lycées qui disposent d'un budget conséquent. Cette négligence intolérable a engendré une déliquescence au sein des établissements scolaires du cycle primaire qui ne disposent pas de l'autonomie financière et de gestion à l'inverse des collèges et lycées qui disposent d'un budget conséquent. Dans un passé récent, les écoles primaire, lieux respectables du savoir et de l'éducation, faisaient l'objet d'une attention particulière de la part des élus locaux qui les visitaient régulièrement pour s'enquérir de leurs besoins et de leur situation. Le P/APC se rendait fréquemment dans les écoles de son territoire et discutait volontiers avec les enseignants qu'il encourageait par des mesures prises sur place pour améliorer la situation matérielle de ce patrimoine communal. Ces dernières années, ces bonnes habitudes se sont estompées au grand dam de la famille enseignante qui s'estime délaissée, voire oubliée par les édiles qui préfèrent se consacrer à d'autres activités. Cette négligence intolérable a engendré une déliquescence au sein des établissements scolaires du cycle primaire qui ne disposent pas de l'autonomie financière et de gestion à l'inverse des collèges et lycées qui disposent d'un budget conséquent. Avant la fin juin, les directeurs des écoles primaires adressent un rapport détaillé relatif aux travaux, réparations et besoins à entreprendre durant les grandes vacances afin de permettre au président de l'APC de programmer cette opération indispensable. En dépit de ces correspondances, des déplacements des chefs d'établissement auprès des édiles, la situation ne change pas car rien n'est entrepris pour améliorer le quotidien de nos enfants qui doivent évoluer dans un environnement sain et agréable. Selon quelques directeurs d'école, les doléances ne sont pas prises en charge à savoir vitres cassées et non remplacées, éclairage défectueux, portes et fenêtres non fonctionnelles, tables-bancs défectueuses, toilettes bouchée, locaux sales et non repeint, manque d'eau potable, appareils de chauffage non nettoyé, conduits non ramonés, etc… A la rentrée des classes, les élèves et leurs enseignants retrouvent leur établissement scolaire dans un état désolant et cette carence les démoralise et les décourage à l'entame de la nouvelle année scolaire. D'une manière générale, les ouvriers communaux entreprennent de petits travaux début septembre, notamment une couche d'ardoisine aux tableaux à volets et pivotants et le remplacement des ampoules grillée. H. B. Dans un passé récent, les écoles primaire, lieux respectables du savoir et de l'éducation, faisaient l'objet d'une attention particulière de la part des élus locaux qui les visitaient régulièrement pour s'enquérir de leurs besoins et de leur situation. Le P/APC se rendait fréquemment dans les écoles de son territoire et discutait volontiers avec les enseignants qu'il encourageait par des mesures prises sur place pour améliorer la situation matérielle de ce patrimoine communal. Ces dernières années, ces bonnes habitudes se sont estompées au grand dam de la famille enseignante qui s'estime délaissée, voire oubliée par les édiles qui préfèrent se consacrer à d'autres activités. Cette négligence intolérable a engendré une déliquescence au sein des établissements scolaires du cycle primaire qui ne disposent pas de l'autonomie financière et de gestion à l'inverse des collèges et lycées qui disposent d'un budget conséquent. Avant la fin juin, les directeurs des écoles primaires adressent un rapport détaillé relatif aux travaux, réparations et besoins à entreprendre durant les grandes vacances afin de permettre au président de l'APC de programmer cette opération indispensable. En dépit de ces correspondances, des déplacements des chefs d'établissement auprès des édiles, la situation ne change pas car rien n'est entrepris pour améliorer le quotidien de nos enfants qui doivent évoluer dans un environnement sain et agréable. Selon quelques directeurs d'école, les doléances ne sont pas prises en charge à savoir vitres cassées et non remplacées, éclairage défectueux, portes et fenêtres non fonctionnelles, tables-bancs défectueuses, toilettes bouchée, locaux sales et non repeint, manque d'eau potable, appareils de chauffage non nettoyé, conduits non ramonés, etc… A la rentrée des classes, les élèves et leurs enseignants retrouvent leur établissement scolaire dans un état désolant et cette carence les démoralise et les décourage à l'entame de la nouvelle année scolaire. D'une manière générale, les ouvriers communaux entreprennent de petits travaux début septembre, notamment une couche d'ardoisine aux tableaux à volets et pivotants et le remplacement des ampoules grillée. H. B.
