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Entre nounou, préscolaire et crèche
Mères travailleuses
Publié dans Le Midi Libre le 23 - 09 - 2010

La mère travailleuse est toujours hantée par la sécurité, le bien-être et la santé de ses enfants en bas âge, dont elle doit se séparer durant la journée. Tiraillée par ses obligations professionnelles et familiales, elle use de mille et une astuces pour se tirer d'affaire et c'est loin d'être une sinécure !
La mère travailleuse est toujours hantée par la sécurité, le bien-être et la santé de ses enfants en bas âge, dont elle doit se séparer durant la journée. Tiraillée par ses obligations professionnelles et familiales, elle use de mille et une astuces pour se tirer d'affaire et c'est loin d'être une sinécure !
La gent féminine contribue efficacement au développement du pays et certains secteurs enregistrent une majorité dans leurs effectifs, à l'image de l'enseignement, de la santé et de l'administration publique. Toutefois, cet élan est quelque peu freiné puisque la mère travailleuse est toujours hantée par la sécurité, le bien-être et la santé de ses enfants en bas âge, dont elle doit se séparer durant la journée. Tiraillée par ses obligations professionnelles et familiales, elle use de mille et une astuces pour se tirer d'affaire et c'est loin d'être une sinécure !                    
Contrairement aux pays voisins, nous enregistrons un certain retard en matière de structures devant accueillir bébés et enfants en bas âge dans des conditions correctes. Cependant, certaines institutions étatiques, dont Sonatrach, la Défense nationale et la Sûreté nationale, ont pris en charge ce volet sensible en réalisant des crèches destinées aux enfants de leur personnel féminin et où exercent des puéricultrices expérimentées. A Guelma, l'APC dispose de deux crèches situées Cité Bensouilah et place des Martyrs, aux abords de la mosquée Abdelhamid-Benbadis, qui accueillent chacune plus d'une centaine de bambins âgés au minimum de trois ans, les prix au sein de ces jardins d'enfants oscillent entre deux mille et trois mille dinars par mois.                      
Saisissant l'opportunité de ce créneau juteux, des hommes d'affaires y sont investis en édifiant des établissements agréés par les pouvoirs publics et qui poussent comme des champignons, puisque la demande devient croissante au fil des années. Les parents déposent chaque matin leur progéniture dans ces garderies qui proposent plusieurs formules, à savoir prise en charge pour la matinée ou la journée entière. Toutefois, seuls les couples relativement aisés peuvent y inscrire leurs enfants puisque les honoraires sont assez conséquents, à savoir entre trois mille et cinq mille dinars le mois.                     
Chaque matin, qu'il pleuve, vente ou neige, les parents emmitoufflent leurs nourrissons et se rendent à pied, par bus ou en voiture pour les plus chanceux vers ces structures d'accueil ou encore auprès des nourrices réputées possèder une certaine expérience dans ce domaine. De manière générale, ce sont des femmes issues de milieux modestes qui acceptent cette fonction délicate qu'elles remplissent avec abnégation, sachant qu'elles s'occupent de deux ou trois bébés à raison de deux mille dinars chacun. De toute évidence, les mères travailleuses se séparent de leurs nourrissons dans la journée, la mort d'éventuels accidents et il est reconnu que rien ne peut remplacer l'affection et l'amour d'une maman !
H. B.
La gent féminine contribue efficacement au développement du pays et certains secteurs enregistrent une majorité dans leurs effectifs, à l'image de l'enseignement, de la santé et de l'administration publique. Toutefois, cet élan est quelque peu freiné puisque la mère travailleuse est toujours hantée par la sécurité, le bien-être et la santé de ses enfants en bas âge, dont elle doit se séparer durant la journée. Tiraillée par ses obligations professionnelles et familiales, elle use de mille et une astuces pour se tirer d'affaire et c'est loin d'être une sinécure !                    
Contrairement aux pays voisins, nous enregistrons un certain retard en matière de structures devant accueillir bébés et enfants en bas âge dans des conditions correctes. Cependant, certaines institutions étatiques, dont Sonatrach, la Défense nationale et la Sûreté nationale, ont pris en charge ce volet sensible en réalisant des crèches destinées aux enfants de leur personnel féminin et où exercent des puéricultrices expérimentées. A Guelma, l'APC dispose de deux crèches situées Cité Bensouilah et place des Martyrs, aux abords de la mosquée Abdelhamid-Benbadis, qui accueillent chacune plus d'une centaine de bambins âgés au minimum de trois ans, les prix au sein de ces jardins d'enfants oscillent entre deux mille et trois mille dinars par mois.                      
Saisissant l'opportunité de ce créneau juteux, des hommes d'affaires y sont investis en édifiant des établissements agréés par les pouvoirs publics et qui poussent comme des champignons, puisque la demande devient croissante au fil des années. Les parents déposent chaque matin leur progéniture dans ces garderies qui proposent plusieurs formules, à savoir prise en charge pour la matinée ou la journée entière. Toutefois, seuls les couples relativement aisés peuvent y inscrire leurs enfants puisque les honoraires sont assez conséquents, à savoir entre trois mille et cinq mille dinars le mois.                     
Chaque matin, qu'il pleuve, vente ou neige, les parents emmitoufflent leurs nourrissons et se rendent à pied, par bus ou en voiture pour les plus chanceux vers ces structures d'accueil ou encore auprès des nourrices réputées possèder une certaine expérience dans ce domaine. De manière générale, ce sont des femmes issues de milieux modestes qui acceptent cette fonction délicate qu'elles remplissent avec abnégation, sachant qu'elles s'occupent de deux ou trois bébés à raison de deux mille dinars chacun. De toute évidence, les mères travailleuses se séparent de leurs nourrissons dans la journée, la mort d'éventuels accidents et il est reconnu que rien ne peut remplacer l'affection et l'amour d'une maman !
H. B.


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