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Une aubaine pour les citoyens
Setif, marchands ambulants
Publié dans Le Midi Libre le 05 - 10 - 2010

Le déplacement des maraîchers en ville pour écouler leurs marchandises au détail à des prix souvent abordables explique que la spéculation est générée par la rétention des produits au marché de gros.
Le déplacement des maraîchers en ville pour écouler leurs marchandises au détail à des prix souvent abordables explique que la spéculation est générée par la rétention des produits au marché de gros.
L'envolée subite des prix des fruits et légumes a fait l'évènement ces derniers jours à Sétif, mais ce qui est à noter, ce sont les prix des produits de large consommation qui ont pris une ascension inattendue. Ce qui est expliqué par la rareté des produits au marché de gros par les détaillants. Mais le déplacement des maraîchers en ville pour écouler leur marchandise au détail explique sans doute le contraire, à savoir la spéculation par la rétention des produits au marché de gros
C'est ainsi que les prix du poulet et des viandes rouges ont repris ces derniers jours du large en enregistrant pour le poulet 35 DA le kilo alors que les viandes rouges demeurent inaccessibles et toujours fixés à 950 DA et 800 DA le kilo.
Mais pour le cas des légumes frais, il faut admettre que pour l'instant les prix qui affichaient dans leur ensemble une tendance largement à la portée de la ménagère il y de cela quelques jours seulement, comparativement à la période d'engouement autour des étalages, gravitent actuellement autour de «l'inadmissible», ce qui renvoie à la mercuriale insupportable connue au mois de Ramadhan.
A titre d'exemple, la pomme de terre qui était cédée à 20 DA le kilo a connu, depuis la semaine dernière, une envolée subite qui a atteint la barre « inattendue » de 45 DA le kilo quelle que soit la qualité du produit dans certains endroits. De même d'ailleurs pour le piment qui était exposé à 50 DA et 60 DA durant une longue période, il a atteint aisément la barre des 80 DA le kilo, alors que le prix de la tomate a carrément doublé puisqu'elle est cédée actuellement à 40 DA. Même cas pour les oignons qui ont connu un bond inattendu et atteint les 50 DA le kilo. Même si la bourse de la ménagère est sérieusement déstabilisée, celle-ci trouve des alternatives parfois même au détriment de la qualité en s'orientant carrément vers les marchands à la criée ou encore les maraîchers exposant leurs produits dans les cités à l'affût des services de contrôle ou encore autour des mosquées, ce qui devient désormais une culture nouvelle dans le comportement du citoyen désireux de faire face au « choc » des prix des produits de large consommation. Et c'est justement une alternative pour certains d'acquérir les fruits de saison traditionnellement inaccessibles au marché des fruits et légumes. A titre d'exemple, autant acquérir les pommes locales à 50 DA que celle exposées au marché à 240 DA, les pêches à 60 DA que celle fixées à 160 DA ou encore le raisin à 50 DA au lieu de 120 DA le kilo.
L'envolée subite des prix des fruits et légumes a fait l'évènement ces derniers jours à Sétif, mais ce qui est à noter, ce sont les prix des produits de large consommation qui ont pris une ascension inattendue. Ce qui est expliqué par la rareté des produits au marché de gros par les détaillants. Mais le déplacement des maraîchers en ville pour écouler leur marchandise au détail explique sans doute le contraire, à savoir la spéculation par la rétention des produits au marché de gros
C'est ainsi que les prix du poulet et des viandes rouges ont repris ces derniers jours du large en enregistrant pour le poulet 35 DA le kilo alors que les viandes rouges demeurent inaccessibles et toujours fixés à 950 DA et 800 DA le kilo.
Mais pour le cas des légumes frais, il faut admettre que pour l'instant les prix qui affichaient dans leur ensemble une tendance largement à la portée de la ménagère il y de cela quelques jours seulement, comparativement à la période d'engouement autour des étalages, gravitent actuellement autour de «l'inadmissible», ce qui renvoie à la mercuriale insupportable connue au mois de Ramadhan.
A titre d'exemple, la pomme de terre qui était cédée à 20 DA le kilo a connu, depuis la semaine dernière, une envolée subite qui a atteint la barre « inattendue » de 45 DA le kilo quelle que soit la qualité du produit dans certains endroits. De même d'ailleurs pour le piment qui était exposé à 50 DA et 60 DA durant une longue période, il a atteint aisément la barre des 80 DA le kilo, alors que le prix de la tomate a carrément doublé puisqu'elle est cédée actuellement à 40 DA. Même cas pour les oignons qui ont connu un bond inattendu et atteint les 50 DA le kilo. Même si la bourse de la ménagère est sérieusement déstabilisée, celle-ci trouve des alternatives parfois même au détriment de la qualité en s'orientant carrément vers les marchands à la criée ou encore les maraîchers exposant leurs produits dans les cités à l'affût des services de contrôle ou encore autour des mosquées, ce qui devient désormais une culture nouvelle dans le comportement du citoyen désireux de faire face au « choc » des prix des produits de large consommation. Et c'est justement une alternative pour certains d'acquérir les fruits de saison traditionnellement inaccessibles au marché des fruits et légumes. A titre d'exemple, autant acquérir les pommes locales à 50 DA que celle exposées au marché à 240 DA, les pêches à 60 DA que celle fixées à 160 DA ou encore le raisin à 50 DA au lieu de 120 DA le kilo.


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