Perchée sur une butte à l'entrée du chef-lieu de wilaya, la cité Mekhancha, qui abrite des dizaines de maisons individuelles entourées de jardinets, avait été réalisée à la fin des années 70 pour accueillir les cadres moyens et leurs familles issus de divers horizons. Durant les années 80, les autorités locales de l'époque avaient érigé un imposant Maqam Chahid, un musée du Moudjahid et des structures d'accompagnement. Ce site ne désemplissait pas durant la saison estivale car les familles, les jeunes et les couples affluaient pour se détendre dès la tombée de la nuit dans cet espace agréable, consommer des brochettes, grillades, boureks, déguster des glaces, sorbets et siroter des sodas, du thé à la menthe et du café. Au fil des ans, ce lieu privilégié se dégradait dans l'indifférence totale, envahi par des nuages de moustiques et des déchets hétéroclites. Aussi, les rues sont dans un état déplorable: nids-de-poule, crevasses, bitume dégradé ce qui pénalise les résidents dans leur cadre de vie. La chaussée, et surtout les trottoirs, sont submergés par des tas de gravats, d'ordures ménagères, branchages et autres déchets hétéroclites. Lors de notre tournée nocturne, nous avons relevé la faiblesse, voire l'insuffisance de l'éclairage public ce qui crée un climat d'insécurité qui encourage l'incursion de bandes de délinquants qui imposent leur diktat et consomment en toute impunité de la drogue et des boissons alcoolisées car ce quartier est isolé. Des résidents saisissent cette opportunité pour attirer l'attention du premier magistrat de la wilaya sur leurs mauvaises conditions de vie. Ils souhaitent la réhabilitation de leur cité, à l'image des autres quartiers de la ville et des communes de la wilaya. H. B. Perchée sur une butte à l'entrée du chef-lieu de wilaya, la cité Mekhancha, qui abrite des dizaines de maisons individuelles entourées de jardinets, avait été réalisée à la fin des années 70 pour accueillir les cadres moyens et leurs familles issus de divers horizons. Durant les années 80, les autorités locales de l'époque avaient érigé un imposant Maqam Chahid, un musée du Moudjahid et des structures d'accompagnement. Ce site ne désemplissait pas durant la saison estivale car les familles, les jeunes et les couples affluaient pour se détendre dès la tombée de la nuit dans cet espace agréable, consommer des brochettes, grillades, boureks, déguster des glaces, sorbets et siroter des sodas, du thé à la menthe et du café. Au fil des ans, ce lieu privilégié se dégradait dans l'indifférence totale, envahi par des nuages de moustiques et des déchets hétéroclites. Aussi, les rues sont dans un état déplorable: nids-de-poule, crevasses, bitume dégradé ce qui pénalise les résidents dans leur cadre de vie. La chaussée, et surtout les trottoirs, sont submergés par des tas de gravats, d'ordures ménagères, branchages et autres déchets hétéroclites. Lors de notre tournée nocturne, nous avons relevé la faiblesse, voire l'insuffisance de l'éclairage public ce qui crée un climat d'insécurité qui encourage l'incursion de bandes de délinquants qui imposent leur diktat et consomment en toute impunité de la drogue et des boissons alcoolisées car ce quartier est isolé. Des résidents saisissent cette opportunité pour attirer l'attention du premier magistrat de la wilaya sur leurs mauvaises conditions de vie. Ils souhaitent la réhabilitation de leur cité, à l'image des autres quartiers de la ville et des communes de la wilaya. H. B.
