Bon nombre d'agriculteurs, activant dans les exploitations d'Alger-Est, ont subi d'importantes pertes à la suite des inondations enregistrées dans de nombreux champs situés dans les communes de la plaine de Mitidja. En l'absence de système de drainage moderne, les risques s'annoncent démultipliés d'autant que l'hiver s'annonce pluvieux. Ainsi, d'importantes surfaces de pommes de terre plantées à la fin du mois de septembre dernier ont subi de graves dommages. D'autres surfaces, cultivées en produits maraîchers, ont subi le même désolant sort. Les vergers qui s'étendent entre Larbaâ et Sidi-Moussa ont été submergés par les eaux pluviales. Bien pire, les agrumes sont énormément endommagés suite aux fortes chutes de pluies abattues tout récemment sur la région de la Mitidja. Pour cela, plusieurs fermiers et exploitants dans les hangars déplorent les pertes infligées à leurs récoltes. Ils regrettent de plus le fait qu'ils se trouvaient en totale incapacité devant les crues ayant envahi leurs cultures, car les pistes et les chaussées n'ont pas été épargnées, ce qui rendait difficile toute tentative de sauvetage. Pour cause, le système traditionnel de drainage a disparu de la plaine depuis belle lurette, et les actions de garanties contre les calamités naturelles, annoncées dernièrement par les pouvoirs publics, tardent en effet à voir le jour. D'où la source d'inquiétude de pas mal d'agriculteurs de cette région, qui disent n'avoir à ce jour pas contracté d'assurance contre les catastrophes naturelles. On déplore également l'abattage d'arbres dans plusieurs endroits de la plaine d'Alger-Est. Sachant en substance que ces arbres furent pours longtemps des brise-vents. En plus, les agronomes du terroir estiment que « cette région jouissait par le passé d'un système de drainage très fiable, à savoir des canaux qui acheminineraient les eaux de pluie vers les ruisselets ». Ces drains ont été ou bouchés au fil des temps ou abandonnés, précise-t-on, ce qui a compromis les diverses récoltes maraîchères et fruitières d'autant plus que l'hiver s'annonce, selon les services météorologiques, très pluvieux et rude. Bon nombre d'agriculteurs, activant dans les exploitations d'Alger-Est, ont subi d'importantes pertes à la suite des inondations enregistrées dans de nombreux champs situés dans les communes de la plaine de Mitidja. En l'absence de système de drainage moderne, les risques s'annoncent démultipliés d'autant que l'hiver s'annonce pluvieux. Ainsi, d'importantes surfaces de pommes de terre plantées à la fin du mois de septembre dernier ont subi de graves dommages. D'autres surfaces, cultivées en produits maraîchers, ont subi le même désolant sort. Les vergers qui s'étendent entre Larbaâ et Sidi-Moussa ont été submergés par les eaux pluviales. Bien pire, les agrumes sont énormément endommagés suite aux fortes chutes de pluies abattues tout récemment sur la région de la Mitidja. Pour cela, plusieurs fermiers et exploitants dans les hangars déplorent les pertes infligées à leurs récoltes. Ils regrettent de plus le fait qu'ils se trouvaient en totale incapacité devant les crues ayant envahi leurs cultures, car les pistes et les chaussées n'ont pas été épargnées, ce qui rendait difficile toute tentative de sauvetage. Pour cause, le système traditionnel de drainage a disparu de la plaine depuis belle lurette, et les actions de garanties contre les calamités naturelles, annoncées dernièrement par les pouvoirs publics, tardent en effet à voir le jour. D'où la source d'inquiétude de pas mal d'agriculteurs de cette région, qui disent n'avoir à ce jour pas contracté d'assurance contre les catastrophes naturelles. On déplore également l'abattage d'arbres dans plusieurs endroits de la plaine d'Alger-Est. Sachant en substance que ces arbres furent pours longtemps des brise-vents. En plus, les agronomes du terroir estiment que « cette région jouissait par le passé d'un système de drainage très fiable, à savoir des canaux qui acheminineraient les eaux de pluie vers les ruisselets ». Ces drains ont été ou bouchés au fil des temps ou abandonnés, précise-t-on, ce qui a compromis les diverses récoltes maraîchères et fruitières d'autant plus que l'hiver s'annonce, selon les services météorologiques, très pluvieux et rude.
