Les nouvelles mesures destinées à améliorer la sécurité dans le transport aérien soulèvent une vague de mécontentement outre-Atlantique. Les nouvelles mesures destinées à améliorer la sécurité dans le transport aérien soulèvent une vague de mécontentement outre-Atlantique. Les Etats-Unis où l'alerle au terrorisme est maximale, l'Administration de la sécurité aérienne (TSA) renforce le contrôle aux aéroports avec des procédés que bon nombre d'Américains réprouvent. Ces derniers s'en indignent vertement et des milliers de plaintes ont déjà été déposées. Des scanners qui déhabillent, des palpations dans les parties intimes, les voyageurs américains sont fouillés comme des criminels potentiels. Enoug! Trop c'est trop. Dernièrement une hôtesse de l'air a dû montrer sa prothèse mammaire et un septuagénaire s'est uriné dessus lorsque sa poche artificielle s'est percée après le tâtonnement zélé d'un agent. Des associations de défense des passagers ont appelé à une journée de désobéissance civile en refusant de se soumettre au «strip-tease» des scanners, demain, veille des départs pour Thanksgiving, est une fête qui a lieu le dernier jeudi du mois de novembre, où tous les Américains se réunissent en famille pour partager la traditionnelle dinde de Thanksgiving et le gâteau au potiron. C'est l'un des week-ends les plus chargés de l'année dans les aéroports. Le refus du scanner entraînera forcément une fouille corporelle systématique, ce qui risquera de causer des retards dans les vols. Aussi, l'ancien candidat à la présidentielle, Ron Paul, représentant libertarien au Congrès, compte déposer un projet de loi criminalisant les agents de la TSA. Le patron de l'agence, John Pistole, a d'abord maintenu que la menace terroriste justifiait ces procédures, mais a depuis renoncé à les imposer de manière stricte aux pilotes après une vague de colère dans leurs rangs. Le débat fait rage sur l'efficacité des scanners, où les passagers passent après avoir été sélectionnés au hasard. Barack Obama dit prudemment comprendre la «frustration» des passagers dans une situation où il n'est pas toujours facile de trouver le bon équilibre entre sécurité et libertés individuelles. Les Etats-Unis où l'alerle au terrorisme est maximale, l'Administration de la sécurité aérienne (TSA) renforce le contrôle aux aéroports avec des procédés que bon nombre d'Américains réprouvent. Ces derniers s'en indignent vertement et des milliers de plaintes ont déjà été déposées. Des scanners qui déhabillent, des palpations dans les parties intimes, les voyageurs américains sont fouillés comme des criminels potentiels. Enoug! Trop c'est trop. Dernièrement une hôtesse de l'air a dû montrer sa prothèse mammaire et un septuagénaire s'est uriné dessus lorsque sa poche artificielle s'est percée après le tâtonnement zélé d'un agent. Des associations de défense des passagers ont appelé à une journée de désobéissance civile en refusant de se soumettre au «strip-tease» des scanners, demain, veille des départs pour Thanksgiving, est une fête qui a lieu le dernier jeudi du mois de novembre, où tous les Américains se réunissent en famille pour partager la traditionnelle dinde de Thanksgiving et le gâteau au potiron. C'est l'un des week-ends les plus chargés de l'année dans les aéroports. Le refus du scanner entraînera forcément une fouille corporelle systématique, ce qui risquera de causer des retards dans les vols. Aussi, l'ancien candidat à la présidentielle, Ron Paul, représentant libertarien au Congrès, compte déposer un projet de loi criminalisant les agents de la TSA. Le patron de l'agence, John Pistole, a d'abord maintenu que la menace terroriste justifiait ces procédures, mais a depuis renoncé à les imposer de manière stricte aux pilotes après une vague de colère dans leurs rangs. Le débat fait rage sur l'efficacité des scanners, où les passagers passent après avoir été sélectionnés au hasard. Barack Obama dit prudemment comprendre la «frustration» des passagers dans une situation où il n'est pas toujours facile de trouver le bon équilibre entre sécurité et libertés individuelles.