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Pas de synchronisation avec les horaires de cours
Transport universitaire
Publié dans Le Midi Libre le 10 - 02 - 2011

Les heures de travail pour le transport universitaire s'achèvent à 17 heures, alors que certains étudiants ont des cours jusqu'à 17 heures et demi. Ces étudiants de dernières minutes ne peuvent donc pas prendre le transport universitaire et se trouvent dans l'embarras.
Les heures de travail pour le transport universitaire s'achèvent à 17 heures, alors que certains étudiants ont des cours jusqu'à 17 heures et demi. Ces étudiants de dernières minutes ne peuvent donc pas prendre le transport universitaire et se trouvent dans l'embarras.
Bien que le transport universitaire ait plusieurs points positifs, quelques étudiants ont relevé en lui certaines défaillances à revoir. En effet, le transport universitaire rend service aux étudiants. Il leur facilite le déplacement tant qu'il existe plusieurs arrêts disponibles dans plusieurs coins de la capitale. Et contrairement au transport urbain, le transport universitaire leur permet aussi d'économiser un temps précieux grâce à ses trajets directs. Néanmoins, cela n'a pas empêché quelques étudiants de faire la remarque sur un point qui est, selon eux, très important. «Le transport universitaire ne tient pas compte de nos heures d'études», nous dira un étudiant en Sciences politiques. Selon ce dernier, les heures de travail pour le transport universitaire s'achèvent à 17 heures, alors que certains étudiants ont des cours jusqu'à 17 heures et demi. Ces étudiants de dernières minutes ne peuvent donc pas prendre le transport universitaire et se trouvent dans l'embarras. N'ayant pas le choix, ils se précipitent vers le transport urbain. Mais malheureusement, 17 heures est une heure de pointe. Les fonctionnaires envahissent les arrêts de bus afin de prendre le transport pour rejoindre leur domicile. Du coup, les étudiants ne trouvent pas la commodité que leur transport leur offre. Non seulement ils se retrouvent entassés dans des bus moins spacieux, mais ils passent aussi un bon moment avant d'arriver à destination. Quelques-uns se heurtent à d'autres difficultés. Karima est une étudiante qui perd un temps fou pour arriver chez elle. Sur ce sujet elle nous dira : «J'étudie à l'ITFC (Ben Aknoun) et j'habite à Réghaïa. Quand je fini mes cours à 17h30, je prends deux bus : un pour Tafoura et puis un autre pour Réghaïa.». Et d'ajouter : «Parfois, je mets plus de trois heures pour arriver chez moi.» Pour éviter une telle misère, quelques étudiants se voient obligés de sécher les cours. Ils préfèrent cette solution au lieu d'avoir recours à un parcours du combattant. Pour les plus chanceux, leurs professeurs leur donnent la permission de sortir avant la fin du cours pour rejoindre leur transport à temps. Cependant, aucune de ces solutions n'est à la faveur de ces étudiants. Ces derniers souhaitent ne pas avoir à penser au transport matin et soir. Ils veulent tout de même suivre leurs études sans se soucier de quoi que ce soit. Ils espèrent que les services concernés rallongent les heures de travail du transport universitaire jusqu'à 17h30.
Bien que le transport universitaire ait plusieurs points positifs, quelques étudiants ont relevé en lui certaines défaillances à revoir. En effet, le transport universitaire rend service aux étudiants. Il leur facilite le déplacement tant qu'il existe plusieurs arrêts disponibles dans plusieurs coins de la capitale. Et contrairement au transport urbain, le transport universitaire leur permet aussi d'économiser un temps précieux grâce à ses trajets directs. Néanmoins, cela n'a pas empêché quelques étudiants de faire la remarque sur un point qui est, selon eux, très important. «Le transport universitaire ne tient pas compte de nos heures d'études», nous dira un étudiant en Sciences politiques. Selon ce dernier, les heures de travail pour le transport universitaire s'achèvent à 17 heures, alors que certains étudiants ont des cours jusqu'à 17 heures et demi. Ces étudiants de dernières minutes ne peuvent donc pas prendre le transport universitaire et se trouvent dans l'embarras. N'ayant pas le choix, ils se précipitent vers le transport urbain. Mais malheureusement, 17 heures est une heure de pointe. Les fonctionnaires envahissent les arrêts de bus afin de prendre le transport pour rejoindre leur domicile. Du coup, les étudiants ne trouvent pas la commodité que leur transport leur offre. Non seulement ils se retrouvent entassés dans des bus moins spacieux, mais ils passent aussi un bon moment avant d'arriver à destination. Quelques-uns se heurtent à d'autres difficultés. Karima est une étudiante qui perd un temps fou pour arriver chez elle. Sur ce sujet elle nous dira : «J'étudie à l'ITFC (Ben Aknoun) et j'habite à Réghaïa. Quand je fini mes cours à 17h30, je prends deux bus : un pour Tafoura et puis un autre pour Réghaïa.». Et d'ajouter : «Parfois, je mets plus de trois heures pour arriver chez moi.» Pour éviter une telle misère, quelques étudiants se voient obligés de sécher les cours. Ils préfèrent cette solution au lieu d'avoir recours à un parcours du combattant. Pour les plus chanceux, leurs professeurs leur donnent la permission de sortir avant la fin du cours pour rejoindre leur transport à temps. Cependant, aucune de ces solutions n'est à la faveur de ces étudiants. Ces derniers souhaitent ne pas avoir à penser au transport matin et soir. Ils veulent tout de même suivre leurs études sans se soucier de quoi que ce soit. Ils espèrent que les services concernés rallongent les heures de travail du transport universitaire jusqu'à 17h30.


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