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Quand la capitale étouffe !
Bouchons et routes détériorées
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 03 - 2011

La ville d'Alger est devenue synonyme de bouchons et perturbation de la circulation. Les grands axes de la capitale autant que les venelles se retrouvent chaque jour prises d'assaut par des milliers d'usagers. Etonnamment, et malgré les nombreux projets d'aménagement des routes, rien n'a encor changé. Bien au contraire, la situation s'empire. Aussi, il est à remarquer que l'accroissement que connaît le secteur de l'acquisition des véhicules est souvent accompagné par l'augmentation des perturbations de la circulation des voitures. Soumis à des tensions et des frictions, les citoyens n'arrivent plus à tenir dans cette pression. Alger la blanche ne semble plus en mesure de contenir le nombre important des usagers de la route. Du moins, sans que cela ne soit lié aux bouchons. En effet, ils sont des milliers à les emprunter, tout en rencontrant ce problème qui persiste aussi bien aux heures de pointe qu'aux heures normales ainsi que lorsqu'il y a des chantiers ou des travaux. En parlant de bouchons, on peut s'imaginer d'ores et déjà les files interminables de voitures. Klaxons stridents et mêmes insultes et imprécations fusent de partout. C'est le quotidien de l'Algérois qui, en plus de toutes les nuisances de la vie urbaine, il doit faire face à son pire «cauchemar», à savoir les embouteillages. Cependant, diverses solutions ont pourtant été adoptées entre trémies et ponts, mais rien n'y fait, Alger ne peut plus faire face au nombre de véhicules en circulation sur ses routes qui n'ont jamais été conçues pour un nombre aussi important.
Aussi, une autre question s'ajoute à ce problème : celui de la qualité des routes. En effet, selon des experts, jusqu'à 120 rues principales laissent à désirer à travers la wilaya d'Alger. Se détériorant de jour en jour, la chaussée de ces axes représentent un réel danger pour la vie des Algérois, accentuant ainsi un peu plus le chaos qui règne sur le secteur des transports. D'ailleurs, il est à souligner que le secteur de la voirie et trottoirs dispense, selon des sources bien informées, «jusqu'à deux millions de dinars. Des fonds qui, jusqu'à ce jour, n'ont toujours pas été débloqués. La raison de cela est toute simple : la bureaucratie algérienne et ces tracas». En attendant qu'une solution miracle soit trouvée pour mettre fin à ce cauchemar tout en préservant notre environnement, continuons à inhaler les gaz brûlés et à ronger notre frein dans ces embouteillages stressants au plus haut point.
La ville d'Alger est devenue synonyme de bouchons et perturbation de la circulation. Les grands axes de la capitale autant que les venelles se retrouvent chaque jour prises d'assaut par des milliers d'usagers. Etonnamment, et malgré les nombreux projets d'aménagement des routes, rien n'a encor changé. Bien au contraire, la situation s'empire. Aussi, il est à remarquer que l'accroissement que connaît le secteur de l'acquisition des véhicules est souvent accompagné par l'augmentation des perturbations de la circulation des voitures. Soumis à des tensions et des frictions, les citoyens n'arrivent plus à tenir dans cette pression. Alger la blanche ne semble plus en mesure de contenir le nombre important des usagers de la route. Du moins, sans que cela ne soit lié aux bouchons. En effet, ils sont des milliers à les emprunter, tout en rencontrant ce problème qui persiste aussi bien aux heures de pointe qu'aux heures normales ainsi que lorsqu'il y a des chantiers ou des travaux. En parlant de bouchons, on peut s'imaginer d'ores et déjà les files interminables de voitures. Klaxons stridents et mêmes insultes et imprécations fusent de partout. C'est le quotidien de l'Algérois qui, en plus de toutes les nuisances de la vie urbaine, il doit faire face à son pire «cauchemar», à savoir les embouteillages. Cependant, diverses solutions ont pourtant été adoptées entre trémies et ponts, mais rien n'y fait, Alger ne peut plus faire face au nombre de véhicules en circulation sur ses routes qui n'ont jamais été conçues pour un nombre aussi important.
Aussi, une autre question s'ajoute à ce problème : celui de la qualité des routes. En effet, selon des experts, jusqu'à 120 rues principales laissent à désirer à travers la wilaya d'Alger. Se détériorant de jour en jour, la chaussée de ces axes représentent un réel danger pour la vie des Algérois, accentuant ainsi un peu plus le chaos qui règne sur le secteur des transports. D'ailleurs, il est à souligner que le secteur de la voirie et trottoirs dispense, selon des sources bien informées, «jusqu'à deux millions de dinars. Des fonds qui, jusqu'à ce jour, n'ont toujours pas été débloqués. La raison de cela est toute simple : la bureaucratie algérienne et ces tracas». En attendant qu'une solution miracle soit trouvée pour mettre fin à ce cauchemar tout en préservant notre environnement, continuons à inhaler les gaz brûlés et à ronger notre frein dans ces embouteillages stressants au plus haut point.


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