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Djaffar Aït Menguellet digne héritier de son père
Pour la première fois sur la scène du CCA à Paris
Publié dans Le Midi Libre le 12 - 05 - 2011

Le chanteur kabyle Djaffar Aït Menguellet, fils du célébrissime Lounis, montera samedi prochain pour la première fois sur la scène du Centre culturel algérien à Paris, un challenge, selon lui, pour gagner un nouveau public au sein de l'immigration algérienne en France. "Effectivement, c'est la première fois que je me produis en solo, ici en France, alors que je le fais depuis pas mal de temps en Algérie, cela me permettra peut-être de gagner un nouveau public au sein de l'immigration", a-t-il confié à l'APS. Virtuose de plusieurs instruments, dont notamment la flûte au rythme de laquelle il a longuement accompagné son père dans des galas en France ou en Algérie, Djaffar dit "gérer" sans contrainte aucune ce double rôle : à la fois musicien de Lounis et chanteur affirmé. "A mon sens, continuer à collaborer avec mon père, tout en voulant voler de mes propres ailes ne pose aucun problème car je collabore avec mon père en tant que musicien, et cela ne m'empêche pas de faire en parallèle une carrière de chanteur", a-t-il dit. Pour ce jeune chanteur de 37 ans, cela représente deux voies totalement différentes, l'une n'empiète aucunement sur l'autre. "Je pense que la notoriété de mon père ne m'empêchera pas de me faire un nom, à partir du moment où mon travail est complètement différent du sien", a ajouté Djaffar dont la première scène en tant que musicien a été d'accompagner son père en 1988 alors qu'il n'avait que 14 ans. Son expérience personnelle débute en 1992 avec la réalisation d'un premier CD, suivis par d'autres en 1993 et 1995. Son premier album An argu (On va rêver) a inauguré le nouveau siècle en 2000. Le second, A salhin (les Marabouts), est apparu en 2004, tandis que le dernier, Tirga laaqel (la sagesse), remonte à juillet 2010. Le jeune chanteur ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, annonçant de prochaines productions. "Les projets sont nombreux, aussi bien sur le plan de la production que sur celui de la représentation. Concernant la production, je prends le temps qu'il faut pour préparer soigneusement les chansons à venir", a-t-il confié. Dans son agenda qui commence déjà à grossir, Djaffar fait part d'une tournée "en gestation" en Algérie, ainsi que des galas ponctuels en France. Il est pour beaucoup dans la sortie en juillet dernier du dernier album Tawrict Tachbhant (feuille blanche) de Lounis Aït Menguellet. En plus de la maquette musicale, Djaffar a été à l'origine de tous les arrangements.
Le chanteur kabyle Djaffar Aït Menguellet, fils du célébrissime Lounis, montera samedi prochain pour la première fois sur la scène du Centre culturel algérien à Paris, un challenge, selon lui, pour gagner un nouveau public au sein de l'immigration algérienne en France. "Effectivement, c'est la première fois que je me produis en solo, ici en France, alors que je le fais depuis pas mal de temps en Algérie, cela me permettra peut-être de gagner un nouveau public au sein de l'immigration", a-t-il confié à l'APS. Virtuose de plusieurs instruments, dont notamment la flûte au rythme de laquelle il a longuement accompagné son père dans des galas en France ou en Algérie, Djaffar dit "gérer" sans contrainte aucune ce double rôle : à la fois musicien de Lounis et chanteur affirmé. "A mon sens, continuer à collaborer avec mon père, tout en voulant voler de mes propres ailes ne pose aucun problème car je collabore avec mon père en tant que musicien, et cela ne m'empêche pas de faire en parallèle une carrière de chanteur", a-t-il dit. Pour ce jeune chanteur de 37 ans, cela représente deux voies totalement différentes, l'une n'empiète aucunement sur l'autre. "Je pense que la notoriété de mon père ne m'empêchera pas de me faire un nom, à partir du moment où mon travail est complètement différent du sien", a ajouté Djaffar dont la première scène en tant que musicien a été d'accompagner son père en 1988 alors qu'il n'avait que 14 ans. Son expérience personnelle débute en 1992 avec la réalisation d'un premier CD, suivis par d'autres en 1993 et 1995. Son premier album An argu (On va rêver) a inauguré le nouveau siècle en 2000. Le second, A salhin (les Marabouts), est apparu en 2004, tandis que le dernier, Tirga laaqel (la sagesse), remonte à juillet 2010. Le jeune chanteur ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, annonçant de prochaines productions. "Les projets sont nombreux, aussi bien sur le plan de la production que sur celui de la représentation. Concernant la production, je prends le temps qu'il faut pour préparer soigneusement les chansons à venir", a-t-il confié. Dans son agenda qui commence déjà à grossir, Djaffar fait part d'une tournée "en gestation" en Algérie, ainsi que des galas ponctuels en France. Il est pour beaucoup dans la sortie en juillet dernier du dernier album Tawrict Tachbhant (feuille blanche) de Lounis Aït Menguellet. En plus de la maquette musicale, Djaffar a été à l'origine de tous les arrangements.

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