Le «Trastuzumab», un anticorps monoclonal utilisé comme médicament anticancéreux dans certaines formes de cancer du sein, sera bientôt disponible dans l'Est du pays, a affirmé samedi le Pr. Assia Bensalem, oncologue médicale au Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine. S'exprimant en marge des 7es journées internationales de cancérologie de Constantine, ouvertes vendredi soir, le Pr. Bensalem, également vice-secrétaire générale de la Société algérienne d'oncologie médicale (SAOM), initiatrice de cette manifestation, a indiqué qu'un laboratoire spécialisé s'est engagé à fournir régulièrement le médicament en question dans les trois mois à venir. Ce produit, en rupture de stock depuis 8 mois environ dans les unités d'oncologie de l'Est du pays, est, notamment, prescrit dans la prise en charge des patients déjà prétraités par au moins deux protocoles de chimiothérapie, a précisé cette praticienne à l'APS. Selon elle, près de 44.000 nouveaux cas de cancer dont 10.000 cas de cancer du sein ont été enregistrés cette année au niveau national. Elle explique ce nombre par le "manque d'information et de sensibilisation au sujet du dépistage précoce pour cerner d'emblée la pathologie". Si le traitement du cancer nécessite des équipes pluridisciplinaires, entre histologistes, radiothérapeutes, épidémiologistes, endocrinologues, assistantes sociales, il doit être soutenu par un approvisionnement régulier en médicaments, a-t-elle ajouté, précisant que cette pathologie requiert un traitement curatif pouvant conduire à la guérison au cas où le mal est décelé à temps et convenablement pris en charge. Elle cite, à titre d'exemple, les cancers du sein et du col de l'utérus, les plus répandus chez la femme, et ceux des poumons et de la prostate chez l'homme. Le «Trastuzumab», un anticorps monoclonal utilisé comme médicament anticancéreux dans certaines formes de cancer du sein, sera bientôt disponible dans l'Est du pays, a affirmé samedi le Pr. Assia Bensalem, oncologue médicale au Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine. S'exprimant en marge des 7es journées internationales de cancérologie de Constantine, ouvertes vendredi soir, le Pr. Bensalem, également vice-secrétaire générale de la Société algérienne d'oncologie médicale (SAOM), initiatrice de cette manifestation, a indiqué qu'un laboratoire spécialisé s'est engagé à fournir régulièrement le médicament en question dans les trois mois à venir. Ce produit, en rupture de stock depuis 8 mois environ dans les unités d'oncologie de l'Est du pays, est, notamment, prescrit dans la prise en charge des patients déjà prétraités par au moins deux protocoles de chimiothérapie, a précisé cette praticienne à l'APS. Selon elle, près de 44.000 nouveaux cas de cancer dont 10.000 cas de cancer du sein ont été enregistrés cette année au niveau national. Elle explique ce nombre par le "manque d'information et de sensibilisation au sujet du dépistage précoce pour cerner d'emblée la pathologie". Si le traitement du cancer nécessite des équipes pluridisciplinaires, entre histologistes, radiothérapeutes, épidémiologistes, endocrinologues, assistantes sociales, il doit être soutenu par un approvisionnement régulier en médicaments, a-t-elle ajouté, précisant que cette pathologie requiert un traitement curatif pouvant conduire à la guérison au cas où le mal est décelé à temps et convenablement pris en charge. Elle cite, à titre d'exemple, les cancers du sein et du col de l'utérus, les plus répandus chez la femme, et ceux des poumons et de la prostate chez l'homme.
