Plusieurs dizaines de jeunes recrutés dans le cadre du pré-emploi (CID et DAIP) ont observé, hier, un sit-in devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour réclamer leur permanisation. Cette revendication vient après plusieurs rassemblements organisés par ces jeunes devant le siège de la direction d'emploi de la wilaya pour réclamer la rétribution de leurs arriérés de salaires. Plusieurs d'entre eux affirment qu'ils travaillent durement et effectuent des tâches pénibles plus que les employés titulaires. Les jeunes ayant un diplôme licence perçoivent mensuellement un salaire de 15.000DA et ceux qui ont un TS ou DEUA sont payés à 10.000 DA par mois. C'est dire le marasme dans lequel vivote cette frange depuis la signature de leurs contrats. Le contrat de pré-emploi stipule que le candidat percevra chaque mois son salaire. Le contrat est d'une année et renouvelable pour une période de trois ans. Au terme de quoi, le candidat est potentiellement retenu par l'administration où il a exercé durant ces trois années. La décision de revendiquer la titularisation des préemplois a été prise par les membres de la section syndicale de wilaya des pré-emplois affiliée à la SNAPAP. Une délégation a été reçue par un responsable de la wilaya qui leur a promis de transmettre leurs doléances, notamment celle liée au payement de leurs salaires aux autorités compétentes. Quant à la revendication de permanisation, la wilaya se dit ne pas être habilitée à trancher sur leur sort et que cette revendication relève des hautes autorités du pays, a-t-on indiqué. Les délégués, quant à eux, ont donné un ultimatum pour le paiement de leurs salaires et, au cas où leurs indemnités ne seront pas attribuées avant la fête de l'Aïd, ils reviendront en charge, ont-ils menacé. Plusieurs dizaines de jeunes recrutés dans le cadre du pré-emploi (CID et DAIP) ont observé, hier, un sit-in devant le siège de la wilaya de Boumerdès, pour réclamer leur permanisation. Cette revendication vient après plusieurs rassemblements organisés par ces jeunes devant le siège de la direction d'emploi de la wilaya pour réclamer la rétribution de leurs arriérés de salaires. Plusieurs d'entre eux affirment qu'ils travaillent durement et effectuent des tâches pénibles plus que les employés titulaires. Les jeunes ayant un diplôme licence perçoivent mensuellement un salaire de 15.000DA et ceux qui ont un TS ou DEUA sont payés à 10.000 DA par mois. C'est dire le marasme dans lequel vivote cette frange depuis la signature de leurs contrats. Le contrat de pré-emploi stipule que le candidat percevra chaque mois son salaire. Le contrat est d'une année et renouvelable pour une période de trois ans. Au terme de quoi, le candidat est potentiellement retenu par l'administration où il a exercé durant ces trois années. La décision de revendiquer la titularisation des préemplois a été prise par les membres de la section syndicale de wilaya des pré-emplois affiliée à la SNAPAP. Une délégation a été reçue par un responsable de la wilaya qui leur a promis de transmettre leurs doléances, notamment celle liée au payement de leurs salaires aux autorités compétentes. Quant à la revendication de permanisation, la wilaya se dit ne pas être habilitée à trancher sur leur sort et que cette revendication relève des hautes autorités du pays, a-t-on indiqué. Les délégués, quant à eux, ont donné un ultimatum pour le paiement de leurs salaires et, au cas où leurs indemnités ne seront pas attribuées avant la fête de l'Aïd, ils reviendront en charge, ont-ils menacé.
