Retenu pour accueillir, à terme, la faculté des sciences économiques de l'université Abderrahamane-Mira, un programme de réalisation de 6.000 places pédagogiques a démarré au niveau du site de Berchiche, à El-kseur, 26 km à l'ouest de Béjaïa, a annoncé le rectorat. Retenu pour accueillir, à terme, la faculté des sciences économiques de l'université Abderrahamane-Mira, un programme de réalisation de 6.000 places pédagogiques a démarré au niveau du site de Berchiche, à El-kseur, 26 km à l'ouest de Béjaïa, a annoncé le rectorat. Inscrit "en urgence" pour juguler, un tant soit peu, la pression exercée sur les structures de l'actuelle faculté, le chantier devra être livré, contractuellement, "dans un délai de 18 mois" pour un coût de 6,61 milliards de dinars, a précisé l'APS. Pour ce faire, le wali de Béjaïa n'a pas manqué d'exhorter les entreprises de réalisation engagées à cet effet à décupler leurs efforts pour hâter sa concrétisation, ou tout au moins, une grande partie des infrastructures dès la rentrée universitaire prochaine. L'objectif visé est non seulement d'offrir des places aux nouveaux bacheliers de l'année 2011, orientés cette année à Sétif, faute de structures, mais aussi de faire face aux nouveaux flux attendus à la fin de la session de l'examen prochain du baccalauréat, a souligné le rectorat. L'APS souligne que dans cette perspective, il y est également engagé la construction d'une résidence universitaire de 1.000 places ainsi que 1.000 autres places pédagogiques sur le site du campus d'Aboudaou à Béjaïa, réalisables également en 18 mois. Actuellement, l'université de Béjaïa, qui accueille plus de 41.000 étudiants, s'est confrontée, à l'occasion de cette dernière rentrée, à un important problème de disponibilité en places pédagogiques, généré par la forte poussée des effectifs des nouveaux bacheliers ces dernières années et les retards accusés dans la conduite des réalisations inscrites à son actif. Le rectorat a indiqué que pour faire face à cette situation, il a fallu geler l'enseignement en première année de quelques filières, à savoir celles de la langue arabe, des sciences économiques, de la sociologie, etc., et la réorientation de leurs candidats vers les universités limitrophes, notamment Sétif, Bouira et Jijel. Dans sa globalité, le programme "d'urgence" concerne la réalisation de 12.000 places pédagogiques. En avril dernier, il a été notifié à l'université et ce, parallèlement à l'inscription normale à son profit, d'autres projets prévus dans le cadre du programme de développement de l'université qui sera renforcé par ses deux campus actuels (Aboudaou et Targa-Ouzemmour), ainsi que deux autres centres, dans les villes voisines d'El-kseur et Amizour. Inscrit "en urgence" pour juguler, un tant soit peu, la pression exercée sur les structures de l'actuelle faculté, le chantier devra être livré, contractuellement, "dans un délai de 18 mois" pour un coût de 6,61 milliards de dinars, a précisé l'APS. Pour ce faire, le wali de Béjaïa n'a pas manqué d'exhorter les entreprises de réalisation engagées à cet effet à décupler leurs efforts pour hâter sa concrétisation, ou tout au moins, une grande partie des infrastructures dès la rentrée universitaire prochaine. L'objectif visé est non seulement d'offrir des places aux nouveaux bacheliers de l'année 2011, orientés cette année à Sétif, faute de structures, mais aussi de faire face aux nouveaux flux attendus à la fin de la session de l'examen prochain du baccalauréat, a souligné le rectorat. L'APS souligne que dans cette perspective, il y est également engagé la construction d'une résidence universitaire de 1.000 places ainsi que 1.000 autres places pédagogiques sur le site du campus d'Aboudaou à Béjaïa, réalisables également en 18 mois. Actuellement, l'université de Béjaïa, qui accueille plus de 41.000 étudiants, s'est confrontée, à l'occasion de cette dernière rentrée, à un important problème de disponibilité en places pédagogiques, généré par la forte poussée des effectifs des nouveaux bacheliers ces dernières années et les retards accusés dans la conduite des réalisations inscrites à son actif. Le rectorat a indiqué que pour faire face à cette situation, il a fallu geler l'enseignement en première année de quelques filières, à savoir celles de la langue arabe, des sciences économiques, de la sociologie, etc., et la réorientation de leurs candidats vers les universités limitrophes, notamment Sétif, Bouira et Jijel. Dans sa globalité, le programme "d'urgence" concerne la réalisation de 12.000 places pédagogiques. En avril dernier, il a été notifié à l'université et ce, parallèlement à l'inscription normale à son profit, d'autres projets prévus dans le cadre du programme de développement de l'université qui sera renforcé par ses deux campus actuels (Aboudaou et Targa-Ouzemmour), ainsi que deux autres centres, dans les villes voisines d'El-kseur et Amizour.
