Abdelkrim Medouar, président de l'ASO Chlef, qui s'est retiré du conseil d'administration de la Ligue du football professionnel (LFP), a expliqué hier les raisons l'ayant poussé à prendre pareille décision « Je ne peux plus cautionner la gestion de la LFP, où le rôle des membres de son conseil d'administration est pratiquement réduit à néant. Ce n'est pas du tout normal, ils ne font que de la figuration, et moi je ne veux pas de ça », a déclaré à la Radio nationale chaîne 3, le premier responsable du champion d'Algérie en titre. Abdelkrim Medouar, président de l'ASO Chlef, qui s'est retiré du conseil d'administration de la Ligue du football professionnel (LFP), a expliqué hier les raisons l'ayant poussé à prendre pareille décision « Je ne peux plus cautionner la gestion de la LFP, où le rôle des membres de son conseil d'administration est pratiquement réduit à néant. Ce n'est pas du tout normal, ils ne font que de la figuration, et moi je ne veux pas de ça », a déclaré à la Radio nationale chaîne 3, le premier responsable du champion d'Algérie en titre. La Ligue nationale, ajoute Medouar, n'est qu'une annexe de la Fédération algérienne de football. « Ce qui veut dire, précise-t-il, toutes les discisions viennent soit de le FAF soit du MJS, et cette instance n'a qu'a appliqué, donc nous avons aucun rôle, je ne vois pas l'intérêt de ma présence avec eux », a-t-il ajouté. « J'ai été choisi par la majorité des président des clubs afin de défendre l'intérêt du football, et contribuer, du coup, à la réussite de cette expérience professionnelle, alors que je me retrouve depuis presque sept mois déjà à jouer le rôle de figurant, chose que je n'accepte pas » a déploré Medouar. Mahfoud Kerbadj, qui a été élu le 4 juillet à la tête de cette première Ligue de football professionnel en Algérie, prend des décisions, selon le président de l'ASO Chlef, « unilatérales ». Une déclaration niée catégoriquement, hier, par le premier responsable de cette instance nationale, Mahfoud Kerbadj qui est intervenu sur les ondes de la Radio nationale chaîne 2 « depuis mon arrivée à la tête de la Ligue en juillet dernier à aucun moment je n'ai géré les affaires tout seul. Medouar a préféré cesser de travailler avec nous, nous avons accepté sa démission, et il sera remplacé dans les prochains jours par celui qui vient juste avant lui. Je ne sais pas que ce qu'il veut alors qu'il n'assiste plus aux réunions du conseil », a-t-il dit de son côté. Mahfoud Kerbadj, ex-président du CR Belouizdad, s'attaque ouvertement à Medouar en diant : « Je lui conseille vivement d'aller lire les articles du règlement avant de dire n'importe quoi » a-t-il dit. Le premier responsable de la formation chélifienne a reconnu qu'il n'a pas assisté à deux réunions du conseil, mais il a justifié ses absences par des missions à l'étranger. Medouar qui dénonce depuis un certain temps la façon avec laquelle l'actuel président gère les destinées de cette instance nationale, dira qu'il craint sérieusement que sa décision officielle de quitter le conseil d'administration de la Ligue nationale de football professionnel (LNF) va répercuter négativement sur l'avenir de son club ASO Chlef « ma décision était irrévocable, mais je crains sérieusement des représailles » a indiqué le président de l'ASO Chlef. Pour ce qui concerne sa décision de quitter la ligue, Medouar dira qu'elle ne date pas d'hier, mais qu'elle remonte à un bon bout de temps. Medouar a précisé, par ailleurs, qu'il se consacrera uniquement au développement de son équipe qui marque le pas ces derniers temps « ma démission est venue au bon moment car je dois revoir certaines chose au seine de mon club qui perd de plus en plus de vitesse. Avec la présence d'au moins cinq clubs en haut du tableau, je ne dirai pas qu'on visera le titre, mais on tentera quand même d'arracher une place sur le podium » a-t-il conclu. La Ligue nationale, ajoute Medouar, n'est qu'une annexe de la Fédération algérienne de football. « Ce qui veut dire, précise-t-il, toutes les discisions viennent soit de le FAF soit du MJS, et cette instance n'a qu'a appliqué, donc nous avons aucun rôle, je ne vois pas l'intérêt de ma présence avec eux », a-t-il ajouté. « J'ai été choisi par la majorité des président des clubs afin de défendre l'intérêt du football, et contribuer, du coup, à la réussite de cette expérience professionnelle, alors que je me retrouve depuis presque sept mois déjà à jouer le rôle de figurant, chose que je n'accepte pas » a déploré Medouar. Mahfoud Kerbadj, qui a été élu le 4 juillet à la tête de cette première Ligue de football professionnel en Algérie, prend des décisions, selon le président de l'ASO Chlef, « unilatérales ». Une déclaration niée catégoriquement, hier, par le premier responsable de cette instance nationale, Mahfoud Kerbadj qui est intervenu sur les ondes de la Radio nationale chaîne 2 « depuis mon arrivée à la tête de la Ligue en juillet dernier à aucun moment je n'ai géré les affaires tout seul. Medouar a préféré cesser de travailler avec nous, nous avons accepté sa démission, et il sera remplacé dans les prochains jours par celui qui vient juste avant lui. Je ne sais pas que ce qu'il veut alors qu'il n'assiste plus aux réunions du conseil », a-t-il dit de son côté. Mahfoud Kerbadj, ex-président du CR Belouizdad, s'attaque ouvertement à Medouar en diant : « Je lui conseille vivement d'aller lire les articles du règlement avant de dire n'importe quoi » a-t-il dit. Le premier responsable de la formation chélifienne a reconnu qu'il n'a pas assisté à deux réunions du conseil, mais il a justifié ses absences par des missions à l'étranger. Medouar qui dénonce depuis un certain temps la façon avec laquelle l'actuel président gère les destinées de cette instance nationale, dira qu'il craint sérieusement que sa décision officielle de quitter le conseil d'administration de la Ligue nationale de football professionnel (LNF) va répercuter négativement sur l'avenir de son club ASO Chlef « ma décision était irrévocable, mais je crains sérieusement des représailles » a indiqué le président de l'ASO Chlef. Pour ce qui concerne sa décision de quitter la ligue, Medouar dira qu'elle ne date pas d'hier, mais qu'elle remonte à un bon bout de temps. Medouar a précisé, par ailleurs, qu'il se consacrera uniquement au développement de son équipe qui marque le pas ces derniers temps « ma démission est venue au bon moment car je dois revoir certaines chose au seine de mon club qui perd de plus en plus de vitesse. Avec la présence d'au moins cinq clubs en haut du tableau, je ne dirai pas qu'on visera le titre, mais on tentera quand même d'arracher une place sur le podium » a-t-il conclu.
