A ceux qui qualifient le Front de libération nationale de parti unique, Abdelaziz Belkhadem a rappelé que son parti en est à son douzième secrétaire général tandis que dans d'autres partis politiques qui chantent, à tue-tête, la démocratie, le poste de président ou de secrétaire général de parti est éternel. C'est donc un Belkhadem confiant qui s'est rendu hier à Tizi-Ouzou pour animer un meeting au sein de la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Le FLN a réussi à faire le plein et il s'agit là de la première sortie publique d'un chef de parti politique s'inscrivant en droite ligne de la précampagne électorale. Le FLN est aussi le premier parti à avoir conçu sa liste électorale pour les prochaines législative dans la wilaya de Tizi-Ouzou. C'est dire que le parti de Belkhadem préfère ne pas perdre de temps devant ce qui est inévitable. La salle était archi-comble, ce qui ne semblait pas avoir surpris les observateurs car depuis les élections de 2007, le FLN a regagné du terrain dans une wilaya où ce parti se portait plutôt mal après l'ouverture démocratique de 1988. Cette rencontre avec les militants et les sympathisants du FLN a été l'occasion pour Belkhadem de s'en prendre à certains démocrates et aux islamistes, lesquels, à ses yeux, devraient plutôt présenter des programmes concrets pour se présenter aux élections au lieu de déverser des discours qu'il a qualifiés de creux. La mise sur pied de nouvelles formations politiques ne semble pas nuire outre mesure le FLN pour peu qu'il s'agisse de partis qui seront d'un apport supplémentaire. L'orateur a insisté toutefois sur la nécessité que la concurrence politique entre tous les partis se fasse sur une base loyale. Si ces nouveaux partis sont venu pour servir, pourquoi pas, lance Belkhadem qui craint toutefois que certains d'entre ces derniers soient venus pour se servir. « Ceux qui attribuent au FLN le sobriquet de parti unique et totalitaire doivent savoir que son acte de naissance provient de la déclaration du 1er Novembre qui proclame la restauration de l'Etat algérien souverain, démocratique et social dans le cadre des principes islamiques », a ajouté Belkhadem, sur un autre plan. Le responsable du FLN a appelé les citoyens de la région à ne pas céder aux chants des sirènes de ceux qui veulent porter atteinte à l'unité nationale. Belkhadem a clôturé son intervention en insistant sur le fait que beaucoup de progrès ont été enregistrés en Algérie ces dernières années dans tous les domaines : « La vie n'est certes pas rose, mais elle n'est pas non plus noire », estime-t-il. A ceux qui qualifient le Front de libération nationale de parti unique, Abdelaziz Belkhadem a rappelé que son parti en est à son douzième secrétaire général tandis que dans d'autres partis politiques qui chantent, à tue-tête, la démocratie, le poste de président ou de secrétaire général de parti est éternel. C'est donc un Belkhadem confiant qui s'est rendu hier à Tizi-Ouzou pour animer un meeting au sein de la grande salle de la maison de la culture Mouloud-Mammeri. Le FLN a réussi à faire le plein et il s'agit là de la première sortie publique d'un chef de parti politique s'inscrivant en droite ligne de la précampagne électorale. Le FLN est aussi le premier parti à avoir conçu sa liste électorale pour les prochaines législative dans la wilaya de Tizi-Ouzou. C'est dire que le parti de Belkhadem préfère ne pas perdre de temps devant ce qui est inévitable. La salle était archi-comble, ce qui ne semblait pas avoir surpris les observateurs car depuis les élections de 2007, le FLN a regagné du terrain dans une wilaya où ce parti se portait plutôt mal après l'ouverture démocratique de 1988. Cette rencontre avec les militants et les sympathisants du FLN a été l'occasion pour Belkhadem de s'en prendre à certains démocrates et aux islamistes, lesquels, à ses yeux, devraient plutôt présenter des programmes concrets pour se présenter aux élections au lieu de déverser des discours qu'il a qualifiés de creux. La mise sur pied de nouvelles formations politiques ne semble pas nuire outre mesure le FLN pour peu qu'il s'agisse de partis qui seront d'un apport supplémentaire. L'orateur a insisté toutefois sur la nécessité que la concurrence politique entre tous les partis se fasse sur une base loyale. Si ces nouveaux partis sont venu pour servir, pourquoi pas, lance Belkhadem qui craint toutefois que certains d'entre ces derniers soient venus pour se servir. « Ceux qui attribuent au FLN le sobriquet de parti unique et totalitaire doivent savoir que son acte de naissance provient de la déclaration du 1er Novembre qui proclame la restauration de l'Etat algérien souverain, démocratique et social dans le cadre des principes islamiques », a ajouté Belkhadem, sur un autre plan. Le responsable du FLN a appelé les citoyens de la région à ne pas céder aux chants des sirènes de ceux qui veulent porter atteinte à l'unité nationale. Belkhadem a clôturé son intervention en insistant sur le fait que beaucoup de progrès ont été enregistrés en Algérie ces dernières années dans tous les domaines : « La vie n'est certes pas rose, mais elle n'est pas non plus noire », estime-t-il.
