En réduisant ostensiblement les importations tous azimuts, dont plus de 5 milliards de dollars uniquement pour les produits alimentaires et le blé d'un côté, et en augmentant le volume de ses exportations hors hydrocarbures dont plus de 600 millions dollars pour les produits agroalimentaires, l'Algérie se soustrait, graduellement, du carcan de la dépendance économico-commerciale. Même l'opérateur de téléphonie mobile Nedjma est content des performances enregistrées par l'Algérie en matière d'exportations hors hydrocarbures au point de décerner un prix aux exportateurs et aux promoteurs de cette pratique commerciale de diversification des exportations. Ce qui est d'ailleurs vital pour un pays mono exportateur. Savoir entreprendre et exporter relève de l'ingéniosité et de la performance économique, mais pouvoir exporter et conquérir des marchés extérieurs pour le placement massif et continu des produits, c'est encore mieux. Les pouvoirs publics ont, toutefois, reconnu que l'après-pétrole doit être pensé aujourd'hui, avant qu'il ne soit trop tard. En effet, le fait de suspendre l'importation de blé durant les prochaines années, montre que l'Etat algérien envisage de stimuler et d'encourager fortement la production céréalière nationale. Rachid Benaïssa l'a clairement souligné, récemment, en précisant que le club des producteurs de blé pourrait dépasser le nombre de 50 pour mieux dynamiser les performances. Cependant, la volonté politique de multiplier les opportunités exportatrices hors hydrocarbures donne plus de tonus et de courage aux exportateurs, notamment avec la contribution et la subvention financière du fonds spécial de promotion des exportations couvrant à hauteur de 80 % les frais de participation aux foires internationales et au transport. En réduisant ostensiblement les importations tous azimuts, dont plus de 5 milliards de dollars uniquement pour les produits alimentaires et le blé d'un côté, et en augmentant le volume de ses exportations hors hydrocarbures dont plus de 600 millions dollars pour les produits agroalimentaires, l'Algérie se soustrait, graduellement, du carcan de la dépendance économico-commerciale. Même l'opérateur de téléphonie mobile Nedjma est content des performances enregistrées par l'Algérie en matière d'exportations hors hydrocarbures au point de décerner un prix aux exportateurs et aux promoteurs de cette pratique commerciale de diversification des exportations. Ce qui est d'ailleurs vital pour un pays mono exportateur. Savoir entreprendre et exporter relève de l'ingéniosité et de la performance économique, mais pouvoir exporter et conquérir des marchés extérieurs pour le placement massif et continu des produits, c'est encore mieux. Les pouvoirs publics ont, toutefois, reconnu que l'après-pétrole doit être pensé aujourd'hui, avant qu'il ne soit trop tard. En effet, le fait de suspendre l'importation de blé durant les prochaines années, montre que l'Etat algérien envisage de stimuler et d'encourager fortement la production céréalière nationale. Rachid Benaïssa l'a clairement souligné, récemment, en précisant que le club des producteurs de blé pourrait dépasser le nombre de 50 pour mieux dynamiser les performances. Cependant, la volonté politique de multiplier les opportunités exportatrices hors hydrocarbures donne plus de tonus et de courage aux exportateurs, notamment avec la contribution et la subvention financière du fonds spécial de promotion des exportations couvrant à hauteur de 80 % les frais de participation aux foires internationales et au transport.