Le coup d'envoi du Festival national de la danse «Alaoui» des jeunes a été donné dimanche à El-Bayadh avec la participation de 160 représentants des troupes locales et autres jeunes issues d'une dizaine de wilayas. La cérémonie d'ouverture a été marquée par des exhibitions folkloriques des troupes participantes empruntant, à partir de la salle de conférence Ahmed-Harri, les grandes artères principales de la ville d'El-Bayadh pour aboutir à la salle omnisports Bachir-Boufala, en présence d'un public nombreux. Placée sous le signe «âlaoui, pan identitaire à l'ère de la liberté», cette première édition, retenue dans le cadre de la célébration du cinquantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale, vise à préserver et à promouvoir le legs culturel et authentique, au travers de l'émulation entre les jeunes talents dans ce genre d'arts ancestraux, a précisé le représentant du ministère de la Jeunesse et des Sports dans son allocution d'ouverture. «Il appartient à l'ensemble d'œuvrer à la protection et à la promotion des danses populaires, l'encouragement des jeunes pour préserver la danse populaire et son rôle dans la culture nationale», a souligné Lâadjali Mohamed. Ce festival fait partie des 39 manifestations similaires prévues, entre ce mois de juin et la fin de l'année en cours par le ministère de tutelle, à travers 37 wilayas dans le cadre de la promotion des échanges culturels entre jeunes et la préservation du patrimoine culturel national, a-t-il ajouté. Une troupe féminine de Boumerdès, unique participante féminine dans ce genre d'arts populaires, apanage des hommes, s'est distinguée par une production de haut niveau largement ovationné par le public venu en nombre découvrir la richesse du patrimoine culturel national. Le président de la troupe mixte Takouba-Taghlelet de Tamanrasset a, pour sa part, qualifié ce rendez-vous culturel d'occasion pour «la valorisation de la danse âlaoui, qui constitue un prolongement des liens avec la personnalité targuie de la région de l'Ahaggar». Le programme de ce festival, qui s'étalera jusqu'à jeudi prochain, prévoit une panoplie d'activités et soirées artistiques qui seront animées à travers les communes de Bousemghoune, Labiod Sidi Cheikh et Brezina. Des conférences ayant trait à la célébration du 50e anniversaire de l'Indépendance seront données, outre l'organisation du concours des meilleures troupes participantes, ont indiqué les organisateurs. Le coup d'envoi du Festival national de la danse «Alaoui» des jeunes a été donné dimanche à El-Bayadh avec la participation de 160 représentants des troupes locales et autres jeunes issues d'une dizaine de wilayas. La cérémonie d'ouverture a été marquée par des exhibitions folkloriques des troupes participantes empruntant, à partir de la salle de conférence Ahmed-Harri, les grandes artères principales de la ville d'El-Bayadh pour aboutir à la salle omnisports Bachir-Boufala, en présence d'un public nombreux. Placée sous le signe «âlaoui, pan identitaire à l'ère de la liberté», cette première édition, retenue dans le cadre de la célébration du cinquantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale, vise à préserver et à promouvoir le legs culturel et authentique, au travers de l'émulation entre les jeunes talents dans ce genre d'arts ancestraux, a précisé le représentant du ministère de la Jeunesse et des Sports dans son allocution d'ouverture. «Il appartient à l'ensemble d'œuvrer à la protection et à la promotion des danses populaires, l'encouragement des jeunes pour préserver la danse populaire et son rôle dans la culture nationale», a souligné Lâadjali Mohamed. Ce festival fait partie des 39 manifestations similaires prévues, entre ce mois de juin et la fin de l'année en cours par le ministère de tutelle, à travers 37 wilayas dans le cadre de la promotion des échanges culturels entre jeunes et la préservation du patrimoine culturel national, a-t-il ajouté. Une troupe féminine de Boumerdès, unique participante féminine dans ce genre d'arts populaires, apanage des hommes, s'est distinguée par une production de haut niveau largement ovationné par le public venu en nombre découvrir la richesse du patrimoine culturel national. Le président de la troupe mixte Takouba-Taghlelet de Tamanrasset a, pour sa part, qualifié ce rendez-vous culturel d'occasion pour «la valorisation de la danse âlaoui, qui constitue un prolongement des liens avec la personnalité targuie de la région de l'Ahaggar». Le programme de ce festival, qui s'étalera jusqu'à jeudi prochain, prévoit une panoplie d'activités et soirées artistiques qui seront animées à travers les communes de Bousemghoune, Labiod Sidi Cheikh et Brezina. Des conférences ayant trait à la célébration du 50e anniversaire de l'Indépendance seront données, outre l'organisation du concours des meilleures troupes participantes, ont indiqué les organisateurs.