Le musicien indien Rishab Prasanna et trois associations de musique andalouse algériennes ont animé, samedi soir à la salle Ibn Zeydoun (Alger), la troisième soirée du festival international de musique andalouse et musiques anciennes dans sa 7e édition sur fond d'authenticité avec un mélange astucieux des genres et le recours aux instruments anciens et rares. Rishab Prasanna sur le bansuri (flûte indienne ancienne) et Mossim Kawa sur la Tabla (instrument à percussion) ont émerveillé le public qui s'est laissé emporté par des sons venus d'ailleurs sur des morceaux choisis de la musique indienne classique et ancienne de la région du Gange (Nord de l'Inde). Pendant une heure, le public a été transporté dans ce pays magique par les sonorités douces de cet instrument à vent typique différent des flûtes ordinaires par sa longueur et de l'instrument à percussion qui rythme la cadence, le tout dans un décor aux couleurs locales de l'Inde. La deuxième partie de la soirée a été animée par trois associations de musique andalouse (Kortobia, El Mossilia et Sendoussia) qui ont tenu à honorer la mémoire du cheikh Mamad Ben Chaouche qui a appris les règles de la nouba du maître Abderezak Fakhardji. Hania Bakhti et Bilal Bastani, accompagnés de l'orchestre composé des trois associations sous la direction de Nadjib Kateb, ont interprété des compositions du patrimoine andalous et d'autres de Hadj Mamad. Le festival qui s'est ouvert jeudi dernier se poursuivra jusqu'au 29 décembre avec un programme varié où seront représentés l'Asie, l'Europe et le Maghreb arabe. Le musicien indien Rishab Prasanna et trois associations de musique andalouse algériennes ont animé, samedi soir à la salle Ibn Zeydoun (Alger), la troisième soirée du festival international de musique andalouse et musiques anciennes dans sa 7e édition sur fond d'authenticité avec un mélange astucieux des genres et le recours aux instruments anciens et rares. Rishab Prasanna sur le bansuri (flûte indienne ancienne) et Mossim Kawa sur la Tabla (instrument à percussion) ont émerveillé le public qui s'est laissé emporté par des sons venus d'ailleurs sur des morceaux choisis de la musique indienne classique et ancienne de la région du Gange (Nord de l'Inde). Pendant une heure, le public a été transporté dans ce pays magique par les sonorités douces de cet instrument à vent typique différent des flûtes ordinaires par sa longueur et de l'instrument à percussion qui rythme la cadence, le tout dans un décor aux couleurs locales de l'Inde. La deuxième partie de la soirée a été animée par trois associations de musique andalouse (Kortobia, El Mossilia et Sendoussia) qui ont tenu à honorer la mémoire du cheikh Mamad Ben Chaouche qui a appris les règles de la nouba du maître Abderezak Fakhardji. Hania Bakhti et Bilal Bastani, accompagnés de l'orchestre composé des trois associations sous la direction de Nadjib Kateb, ont interprété des compositions du patrimoine andalous et d'autres de Hadj Mamad. Le festival qui s'est ouvert jeudi dernier se poursuivra jusqu'au 29 décembre avec un programme varié où seront représentés l'Asie, l'Europe et le Maghreb arabe.