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2012 année de tous les crimes
200 enlèvements, 300 assassinats et 67 portraits-robots de criminels recherchés
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 12 - 2012

La criminalité en Algérie a pris, durant l'année 2012, une nouvelle forme beaucoup plus agressive prédisant un avenir inquiétant. Les assassinats sont devenus, dans certains quartiers, monnaie courante entre des gangs.
La criminalité en Algérie a pris, durant l'année 2012, une nouvelle forme beaucoup plus agressive prédisant un avenir inquiétant. Les assassinats sont devenus, dans certains quartiers, monnaie courante entre des gangs.
Les services de sécurité ont enregistré plus de 300 meurtres, les enlèvements, eux, ont connu une cadence très inquiétante. En chiffres, plus de 200 Algériens ont été kidnappés en 2012. Cela a mené les forces de l'ordre à établir des portraits-robot de 67 criminels non identifiés et qui sont aujourd'hui traqués.
Une année 2012 qui restera sans nul doute l'une des plus tragiques en matière de criminalité. Si on parle de chiffres, il est important de rappeler qu'en 2012, 300 personnes ont été assassinées. La plupart des victimes ont été assassinées par arme blanche dans des zones urbaines, là où le taux de la criminalité a défrayé la chronique. Il est nécessaire de rappeler, dans ce sens, l'assassinat du jeune Aghilés, âgé de 18 ans, en septembre dernier, en Kabylie ou encore la récente affaire de la petite Chaïma assassinée à son tour. Il est également nécessaire de rappeler aussi l'assassinat de quatre ouvriers à Douéra, lorsqu'en perdant les pédales, leur assassin, un ami des quatre ouvriers les a froidement abattus avec une barre en fer. En juillet dernier, soit en plein mois sacré, une autre affaire avait secoué la population de Zéralda, lorsque les gendarmes ont découvert les corps s de deux personnes, un entrepreneur et son avocat. Cette affaire avait fait coulé beaucoup d'encre, finalement le meurtrier a été arrêté. Il s'agit d'un ami des deux personnes. Ainsi 300 personnes ont connu une mort violente trucidées à l'arme blanche. Certains ont même été atrocement mutilés. Ce qu'il faut retenir c'est qu'aujourd'hui les criminels agissent avec une violence rarement égalée, des scènes horribles tirées de films d'horreur.
200 enlèvements en 2012
200 affaires de kidnappings ont été traitées par les services de sécurité au cours de l'année 2012. Un record jamais atteint depuis des décennies. Ce qui explique, d'autre part, que la forme de la criminalité est en train de se métamorphoser en Algérie. Aujourd'hui, les criminels n'hésitent pas à enlever de jeunes enfants, comme c'était le cas pour la petite Chaïma, faut-il le rappeler. Le bilan donne froid au dos. Enfants, étudiantes, adolescentes, entrepreneurs..., l'enlèvement touche toute les tranches de la société et est souvent perpétré par des bandes de malfaiteurs agissant, souvent, avec des véhicules loués auprès d'Agences de locatio . Parmi les 283 personnes impliquées dans ces enlèvements, 50% sont âgées de moins de 20 ans, pis des mineurs sont même impliqués dans les kidnappings d'enfants de 6 à 10 ans. 127 ravisseurs sont âgés entre 21 et 30 ans, ce qui dénote qu'aujourd'hui que la criminalité a été investi en force par les jeunes. Par ailleurs, certains cas traités par les enquêteurs de la Gendarmerie nationale ont montré qu'il s'agissait de cas de pédophilie. La pédophilie, un sujet tabou dont on n'osait pas trop parler, est aujourd'hui grâce aux médias exposée au grand jour. En effet les les services de sécurité font régulièrement état de cas d'enlèvements d'enfants par des dépravés sexuels. Pas moins de 84 enfants ont été enlevés en l'espace de deux années avant de subir des abus sexuels de la part de leurs ravisseurs. Ce chiffre qui donne froid dans le dos risque de s'élever dans les prochaines années, d'autant plus que le terrain est propice aux kidnappeurs qui agissent en toute quiétude pour arriver à leurs fins. Jusqu'à présent, la police tout comme la gendarmerie font face à ce phénomène avec peu d'expérience, sachant qu'aucune section spécialisée en pédophilie n'existe en Algérie, et c'est ce qui rend difficile la tâche de ces corps de sécurité. La situation est au rouge, selon les prévisions de bon nombre d'observateurs avertis, qui expliquent le phénomène de l'enlèvement par une recrudescence des actes de banditisme, de terrorisme, et surtout de pédophilie. Aujourd'hui, le kidnapping reprend de plus belle dans diverses régions du pays, dont la Kabylie. L'histoire de la fillette âgée de 13 ans, kidnappée à El Rahmania, quelques semaines avant le début du mois sacré, alors qu'elle se rendait chez son frère, en est une preuve. Le rapt du fils d'un commerçant de la commune des Ouadhias à Tizi- Ouzou, et autant de cas, révèlent l'ampleur effrayante que connaît ce fléau ravageur.
67 portraits-robot de criminels diffusés par la police
La Police scientifique appartenant à la Sûreté d'Alger vient d'établir une liste comprenant les photos de 67 portraits-robot de criminels recherchés dans les banlieues algéroises, et ce, à partir des témoignages des personnes témoins de crimes. Ces criminels traqués par la police de la capitale ne sont pas identifiés ; toutefois, la police scientifique a pu, à partir d'opérations d'investigation et de dépistage, dresser des portraits-robot de ces derniers. Il s'agit de personnes impliquées dans des affaires de vols, d'agressions à l'arme blanche, d'homicide volontaire, de tentative d'enlèvement et de terrorisme. Les portraits-robot s de ces personnes sont placardés un peu partout au niveau des commissariats de police. Il y a quelques mois, une personne circulant à bord d'un véhicule, sur les hauteurs d'Alger, précisément au niveau de la commune de Bouzaréah a fait l'objet d'une agression à l'arme blanche de la part d'inconnus. Le conducteur a reçu plusieurs coups de couteau, avant que ses agresseurs ne prennent la fuite au volant du véhicule de gresseurs a été faite par la Police scientifique grâce aux témoignages de certains citoyens présents au moment de l'attaque. Par ailleurs, le travail de renseignement et le rôle primordial de la police scientifique se sont avérés, aujourd'hui, très efficaces, car c'est grâce aux techniques nouvelles que les portraits-robot ont pu être établis par les services de sécurité. A Alger, où le taux de la petite et moyenne criminalité a sensiblement augmenté depuis janvier passé, cela a poussé les services de police à intensifier leurs recherches, afin de mettre un terme à la cavale de ces criminels. Parmi ces personnes traquées par la Police judiciaire, 25 font l'objet d'intenses recherches depuis 2009, alors que le reste, soit 42 individus, sont recherchés depuis l'année passée. D'autre part, il est important de rappeler les efforts déployés par la Police scientifique. Cette unité de la DGSN, créée en 2006, a déjà à son actif des résultats plus que positifs. En matière de chiffres, 1.800 affaires ayant un lien avec le crime organisé, ont été élucidées par cette unité qui est considérée, aujourd'hui, comme étant le vrai moteur de lutte contre le crime sous toutes ses formes. Cela dit, plusieurs centaines de criminels, impliqués dans des affaires d'assassinats, d'homicides volontaires, et dans d'autres liées au terrorisme, ont été identifiés grâce à la Police scientifique. Cette dernière recourt aux tests ADN pour identifier les personnes impliquées dans des crimes Ainsi grâce aux tests ADN beaucoup de crimes ont pu être élucidés. Les enquêteurs de la Police scientifique se sont dotés aujourd'hui d'un nouveau système, appelé AFIS. Cette banque de données contient des empreintes digitales de plusieurs milliers de personnes, dont des récidivistes. Grâce à cette banque de données les auteurs de crimes potentiels sont immédiatement identifiés et leur arrestation plus facile à exécuter. Protégée dans une salle hautement sécurisée, la banque de données contenant ces empreintes digitales fait l'objet d'une «visite» régulière de la part des enquêteurs de la Police scientifique dans le but de tester de nouvelles empreintes de récents crimes et mettre la main sur les auteurs pour la sécurité des citoyens.
Les services de sécurité ont enregistré plus de 300 meurtres, les enlèvements, eux, ont connu une cadence très inquiétante. En chiffres, plus de 200 Algériens ont été kidnappés en 2012. Cela a mené les forces de l'ordre à établir des portraits-robot de 67 criminels non identifiés et qui sont aujourd'hui traqués.
Une année 2012 qui restera sans nul doute l'une des plus tragiques en matière de criminalité. Si on parle de chiffres, il est important de rappeler qu'en 2012, 300 personnes ont été assassinées. La plupart des victimes ont été assassinées par arme blanche dans des zones urbaines, là où le taux de la criminalité a défrayé la chronique. Il est nécessaire de rappeler, dans ce sens, l'assassinat du jeune Aghilés, âgé de 18 ans, en septembre dernier, en Kabylie ou encore la récente affaire de la petite Chaïma assassinée à son tour. Il est également nécessaire de rappeler aussi l'assassinat de quatre ouvriers à Douéra, lorsqu'en perdant les pédales, leur assassin, un ami des quatre ouvriers les a froidement abattus avec une barre en fer. En juillet dernier, soit en plein mois sacré, une autre affaire avait secoué la population de Zéralda, lorsque les gendarmes ont découvert les corps s de deux personnes, un entrepreneur et son avocat. Cette affaire avait fait coulé beaucoup d'encre, finalement le meurtrier a été arrêté. Il s'agit d'un ami des deux personnes. Ainsi 300 personnes ont connu une mort violente trucidées à l'arme blanche. Certains ont même été atrocement mutilés. Ce qu'il faut retenir c'est qu'aujourd'hui les criminels agissent avec une violence rarement égalée, des scènes horribles tirées de films d'horreur.
200 enlèvements en 2012
200 affaires de kidnappings ont été traitées par les services de sécurité au cours de l'année 2012. Un record jamais atteint depuis des décennies. Ce qui explique, d'autre part, que la forme de la criminalité est en train de se métamorphoser en Algérie. Aujourd'hui, les criminels n'hésitent pas à enlever de jeunes enfants, comme c'était le cas pour la petite Chaïma, faut-il le rappeler. Le bilan donne froid au dos. Enfants, étudiantes, adolescentes, entrepreneurs..., l'enlèvement touche toute les tranches de la société et est souvent perpétré par des bandes de malfaiteurs agissant, souvent, avec des véhicules loués auprès d'Agences de locatio . Parmi les 283 personnes impliquées dans ces enlèvements, 50% sont âgées de moins de 20 ans, pis des mineurs sont même impliqués dans les kidnappings d'enfants de 6 à 10 ans. 127 ravisseurs sont âgés entre 21 et 30 ans, ce qui dénote qu'aujourd'hui que la criminalité a été investi en force par les jeunes. Par ailleurs, certains cas traités par les enquêteurs de la Gendarmerie nationale ont montré qu'il s'agissait de cas de pédophilie. La pédophilie, un sujet tabou dont on n'osait pas trop parler, est aujourd'hui grâce aux médias exposée au grand jour. En effet les les services de sécurité font régulièrement état de cas d'enlèvements d'enfants par des dépravés sexuels. Pas moins de 84 enfants ont été enlevés en l'espace de deux années avant de subir des abus sexuels de la part de leurs ravisseurs. Ce chiffre qui donne froid dans le dos risque de s'élever dans les prochaines années, d'autant plus que le terrain est propice aux kidnappeurs qui agissent en toute quiétude pour arriver à leurs fins. Jusqu'à présent, la police tout comme la gendarmerie font face à ce phénomène avec peu d'expérience, sachant qu'aucune section spécialisée en pédophilie n'existe en Algérie, et c'est ce qui rend difficile la tâche de ces corps de sécurité. La situation est au rouge, selon les prévisions de bon nombre d'observateurs avertis, qui expliquent le phénomène de l'enlèvement par une recrudescence des actes de banditisme, de terrorisme, et surtout de pédophilie. Aujourd'hui, le kidnapping reprend de plus belle dans diverses régions du pays, dont la Kabylie. L'histoire de la fillette âgée de 13 ans, kidnappée à El Rahmania, quelques semaines avant le début du mois sacré, alors qu'elle se rendait chez son frère, en est une preuve. Le rapt du fils d'un commerçant de la commune des Ouadhias à Tizi- Ouzou, et autant de cas, révèlent l'ampleur effrayante que connaît ce fléau ravageur.
67 portraits-robot de criminels diffusés par la police
La Police scientifique appartenant à la Sûreté d'Alger vient d'établir une liste comprenant les photos de 67 portraits-robot de criminels recherchés dans les banlieues algéroises, et ce, à partir des témoignages des personnes témoins de crimes. Ces criminels traqués par la police de la capitale ne sont pas identifiés ; toutefois, la police scientifique a pu, à partir d'opérations d'investigation et de dépistage, dresser des portraits-robot de ces derniers. Il s'agit de personnes impliquées dans des affaires de vols, d'agressions à l'arme blanche, d'homicide volontaire, de tentative d'enlèvement et de terrorisme. Les portraits-robot s de ces personnes sont placardés un peu partout au niveau des commissariats de police. Il y a quelques mois, une personne circulant à bord d'un véhicule, sur les hauteurs d'Alger, précisément au niveau de la commune de Bouzaréah a fait l'objet d'une agression à l'arme blanche de la part d'inconnus. Le conducteur a reçu plusieurs coups de couteau, avant que ses agresseurs ne prennent la fuite au volant du véhicule de gresseurs a été faite par la Police scientifique grâce aux témoignages de certains citoyens présents au moment de l'attaque. Par ailleurs, le travail de renseignement et le rôle primordial de la police scientifique se sont avérés, aujourd'hui, très efficaces, car c'est grâce aux techniques nouvelles que les portraits-robot ont pu être établis par les services de sécurité. A Alger, où le taux de la petite et moyenne criminalité a sensiblement augmenté depuis janvier passé, cela a poussé les services de police à intensifier leurs recherches, afin de mettre un terme à la cavale de ces criminels. Parmi ces personnes traquées par la Police judiciaire, 25 font l'objet d'intenses recherches depuis 2009, alors que le reste, soit 42 individus, sont recherchés depuis l'année passée. D'autre part, il est important de rappeler les efforts déployés par la Police scientifique. Cette unité de la DGSN, créée en 2006, a déjà à son actif des résultats plus que positifs. En matière de chiffres, 1.800 affaires ayant un lien avec le crime organisé, ont été élucidées par cette unité qui est considérée, aujourd'hui, comme étant le vrai moteur de lutte contre le crime sous toutes ses formes. Cela dit, plusieurs centaines de criminels, impliqués dans des affaires d'assassinats, d'homicides volontaires, et dans d'autres liées au terrorisme, ont été identifiés grâce à la Police scientifique. Cette dernière recourt aux tests ADN pour identifier les personnes impliquées dans des crimes Ainsi grâce aux tests ADN beaucoup de crimes ont pu être élucidés. Les enquêteurs de la Police scientifique se sont dotés aujourd'hui d'un nouveau système, appelé AFIS. Cette banque de données contient des empreintes digitales de plusieurs milliers de personnes, dont des récidivistes. Grâce à cette banque de données les auteurs de crimes potentiels sont immédiatement identifiés et leur arrestation plus facile à exécuter. Protégée dans une salle hautement sécurisée, la banque de données contenant ces empreintes digitales fait l'objet d'une «visite» régulière de la part des enquêteurs de la Police scientifique dans le but de tester de nouvelles empreintes de récents crimes et mettre la main sur les auteurs pour la sécurité des citoyens.


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