La robe blanche, pièce produite par le Théâtre national algérien, a été présentée dans la soirée de dimanche sur la scène de la maison de la culture Abdelkader-Alloula de Tlemcen. Cette pièce, adaptée de l'œuvre de l'Américain Ray Bradbury Le costume blanc, traduite par M'Hamed Benguettaf et interprétée en 1986 par de grands noms du théâtre algérien, dont Fellag, Zahir Bouzrari, Mustapha Ayad et Hamid Remas, a été remise au goût du jour, en 2012, par Yacine Zaïdi et mise en scène par Abdelkrim Beriber. Cette nouvelle version raconte l'histoire de quatre jeunes filles sans domicile fixe qui cotisent pour vivre en colocation dans un petit studio. Chacune d'elles a des rêves qu'elle veut atteindre dans sa vie. L'une d'elles leur propose d'acheter ensemble une belle robe blanche qu'elles vont porter à tour de rôle pour se mettre en valeur dans une société qui leur tourne le dos. En portant cette robe, chacune imagine son monde à elle et vit dans des rêves le temps de la tranche horaire qui lui est impartie. Finalement, les quatre jeunes filles découvrent que le lien d'amitié sincère qui les unit est plus fort que l'aspect apparent qu'elles veulent se donner. Les quatre jeunes comédiennes, Rouibhi Mounira, Fatema Chikh, Nabila Ibrahim et Manel Silamine, ont réussi avec brio à capter l'attention du public usant d'un humour à "l'algérienne" qui a subjugué l'assistance. Le metteur en scène Abdelkrim Beriber a indiqué, à la fin du spectacle, qu'il a voulu à travers cette pièce montrer que "l'amitié sincère reposait sur l'amour, la fidélité et la galanterie et n'a nullement besoin d'artifices", tout en précisant que sa pièce veut traiter du phénomène des apparences extérieures, considérées de nos jours comme des aspects positifs occultant tous les autres défauts. Cette pièce va être rejouée dans la soirée de lundi dans la même salle avant d'être présentée au centre culturel de Maghnia puis au Théâtre régional de Sidi Bel Abbès. La robe blanche, pièce produite par le Théâtre national algérien, a été présentée dans la soirée de dimanche sur la scène de la maison de la culture Abdelkader-Alloula de Tlemcen. Cette pièce, adaptée de l'œuvre de l'Américain Ray Bradbury Le costume blanc, traduite par M'Hamed Benguettaf et interprétée en 1986 par de grands noms du théâtre algérien, dont Fellag, Zahir Bouzrari, Mustapha Ayad et Hamid Remas, a été remise au goût du jour, en 2012, par Yacine Zaïdi et mise en scène par Abdelkrim Beriber. Cette nouvelle version raconte l'histoire de quatre jeunes filles sans domicile fixe qui cotisent pour vivre en colocation dans un petit studio. Chacune d'elles a des rêves qu'elle veut atteindre dans sa vie. L'une d'elles leur propose d'acheter ensemble une belle robe blanche qu'elles vont porter à tour de rôle pour se mettre en valeur dans une société qui leur tourne le dos. En portant cette robe, chacune imagine son monde à elle et vit dans des rêves le temps de la tranche horaire qui lui est impartie. Finalement, les quatre jeunes filles découvrent que le lien d'amitié sincère qui les unit est plus fort que l'aspect apparent qu'elles veulent se donner. Les quatre jeunes comédiennes, Rouibhi Mounira, Fatema Chikh, Nabila Ibrahim et Manel Silamine, ont réussi avec brio à capter l'attention du public usant d'un humour à "l'algérienne" qui a subjugué l'assistance. Le metteur en scène Abdelkrim Beriber a indiqué, à la fin du spectacle, qu'il a voulu à travers cette pièce montrer que "l'amitié sincère reposait sur l'amour, la fidélité et la galanterie et n'a nullement besoin d'artifices", tout en précisant que sa pièce veut traiter du phénomène des apparences extérieures, considérées de nos jours comme des aspects positifs occultant tous les autres défauts. Cette pièce va être rejouée dans la soirée de lundi dans la même salle avant d'être présentée au centre culturel de Maghnia puis au Théâtre régional de Sidi Bel Abbès.