Les résultats de l'étude DAWN2Ö (Diabetes Attitudes, Wishes and Needs) révèlent qu'une personne sur quatre atteinte de diabète en Algérie se sent discriminée en raison de sa maladie, et que le soutien de la communauté en général est rare. Les résultats de l'étude, menée en Algérie par le Pr Rachid Malek du CHU de Sétif, ont été présentés lors de la 73e session scientifique de l'Association américaine du diabète tenue le 24 juin à Chicago. Les résultats de l'étude DAWN2Ö (Diabetes Attitudes, Wishes and Needs) révèlent qu'une personne sur quatre atteinte de diabète en Algérie se sent discriminée en raison de sa maladie, et que le soutien de la communauté en général est rare. Les résultats de l'étude, menée en Algérie par le Pr Rachid Malek du CHU de Sétif, ont été présentés lors de la 73e session scientifique de l'Association américaine du diabète tenue le 24 juin à Chicago. L'étude, dont l'APS a reçu une copie, a démontré que 20% de diabétiques en Algérie ont déjà été victimes de dépression. 65% des personnes atteintes de diabète en Algérie ont souffert de détresse émotionnelle importante liée au diabète contre 21% aux Pays-Bas, selon l'étude. Aussi, 49% des membres de la famille ont déclaré une lourde charge liée au diabète, allant d'environ 12% au Mexique à 60% en France. 47% seulement des diabétiques ont déjà participé à une activité ou un programme d'éducation sur le diabète allant d'environ 23% en Inde à 83% au Canada. Seulement 28% des membres de la famille ont déjà assisté à une activité ou un programme d'éducation sur le diabète allant d'environ 12% dans la Fédération de Russie à 40 % au Danemark, a fait ressortir l'étude qui représente la somme des opinions de 15.000 personnes, soit vivant directement avec un diabète, soit s'occupant de diabétiques dans 17 pays répartis sur 4 continents. La discrimination sociale n'est qu'un des indicateurs parmi les nombreux indicateurs psychosociaux des soins au diabète évalués dans l'étude DAWN2Ö. Selon l'étude, 40 % des membres de la famille en Algérie pensent également que leurs proches atteints de diabète sont victimes de discrimination. Parmi les professionnels de santé spécialisés dans la prise en charge du diabète en Algérie ayant participé à l'étude, 8 sur 10 se sont déclarés préoccupés par la discrimination et pensaient qu'il y avait un "besoin urgent et important" d'une meilleure insertion sociale des personnes atteintes de diabète. L'étude a révélé que le fait d'être victime de discrimination due au diabète est associé à une détresse émotionnelle qui peut même aller jusqu'à la dépression. Par ailleurs, de grandes variations entre les pays en matière de discrimination perçue ont été relevées, allant de 11 à 28 % environ pour les personnes atteintes de diabète et de 10 à 40 % environ pour les membres de la famille, suggérant qu'il y a un espoir d'amélioration réel et que les pays peuvent s'inspirer d'autres pays pour les modèles à suivre. Nous utiliserons les résultats de DAWN2Ö pour sensibiliser les décideurs afin de procéder à des changements pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de diabète, a déclaré Michael Hirst, président de la Fédération internationale du diabète (FID). L'étude, dont l'APS a reçu une copie, a démontré que 20% de diabétiques en Algérie ont déjà été victimes de dépression. 65% des personnes atteintes de diabète en Algérie ont souffert de détresse émotionnelle importante liée au diabète contre 21% aux Pays-Bas, selon l'étude. Aussi, 49% des membres de la famille ont déclaré une lourde charge liée au diabète, allant d'environ 12% au Mexique à 60% en France. 47% seulement des diabétiques ont déjà participé à une activité ou un programme d'éducation sur le diabète allant d'environ 23% en Inde à 83% au Canada. Seulement 28% des membres de la famille ont déjà assisté à une activité ou un programme d'éducation sur le diabète allant d'environ 12% dans la Fédération de Russie à 40 % au Danemark, a fait ressortir l'étude qui représente la somme des opinions de 15.000 personnes, soit vivant directement avec un diabète, soit s'occupant de diabétiques dans 17 pays répartis sur 4 continents. La discrimination sociale n'est qu'un des indicateurs parmi les nombreux indicateurs psychosociaux des soins au diabète évalués dans l'étude DAWN2Ö. Selon l'étude, 40 % des membres de la famille en Algérie pensent également que leurs proches atteints de diabète sont victimes de discrimination. Parmi les professionnels de santé spécialisés dans la prise en charge du diabète en Algérie ayant participé à l'étude, 8 sur 10 se sont déclarés préoccupés par la discrimination et pensaient qu'il y avait un "besoin urgent et important" d'une meilleure insertion sociale des personnes atteintes de diabète. L'étude a révélé que le fait d'être victime de discrimination due au diabète est associé à une détresse émotionnelle qui peut même aller jusqu'à la dépression. Par ailleurs, de grandes variations entre les pays en matière de discrimination perçue ont été relevées, allant de 11 à 28 % environ pour les personnes atteintes de diabète et de 10 à 40 % environ pour les membres de la famille, suggérant qu'il y a un espoir d'amélioration réel et que les pays peuvent s'inspirer d'autres pays pour les modèles à suivre. Nous utiliserons les résultats de DAWN2Ö pour sensibiliser les décideurs afin de procéder à des changements pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de diabète, a déclaré Michael Hirst, président de la Fédération internationale du diabète (FID).