Les experts et les participants au séminaire technique sur l'économie d'énergie électrique dans le service public de l'eau, organisé hier à l'hôtel Hilton par l'Algérienne des eaux, ont prôné l'utilisation de l'énergie photovoltaïque pour réduire la facture électrique. Les experts et les participants au séminaire technique sur l'économie d'énergie électrique dans le service public de l'eau, organisé hier à l'hôtel Hilton par l'Algérienne des eaux, ont prôné l'utilisation de l'énergie photovoltaïque pour réduire la facture électrique. Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a souligné que ce sujet permet le développement de la stratégie décennale où l'Algérie a accompli des efforts importants dans les infrastructures structurantes. Aussi, les investissements sont importants dans le dessalement de l'eau et les eaux usées. Devant un bilan jamais égalé, cet effort a été cité comme référence sur le plan de la gestion et l'exploitation et les réformes engagées de façon à mettre le secteur de l'eau aux normes et standards internationaux, selon le ministre. « La bataille de la mobilisation est pratiquement gagnée, et la véritable bataille est celle de l'eau, de la rationalisation et la performance des services publics. Parmi les objectifs que nous poursuivons, la maîtrise des coûts d'exploitation, qui sont importants pour ne pas dire exorbitants. Le coût de l'énergie en Algérie dépasse celui des autres pays ». a-t-il dit. L'Etat a consenti d'énormes investissements pour améliorer la qualité de l'eau, selon Necib, ajoutant que cette démarche doit être consentie par l'ensemble des opérateurs. Ce saut qualitatif requiert une rigueur dans la gestion. La question de l'économie de l'énergie se pose en tant que nécessité de rationalisation de la consommation de l'énergie électrique ; 1,450 000 KW, 41 % du chiffre d'affaires, soit 4 milliards dollars. Ce niveau de consommation place le secteur ders ressources de l'eau après celui de l'industrie toutes activités confondues. Il s'agit de réduire le déficit en économisant cette matière de l'eau et nous attendons l'émergence d'idées et de solutions et l'apport de savoir-faire à travers le partenariat. Pour le directeur général de l'ADE, Abdelkrim Mechia, l'important consiste à faire des économies d'énergie, estimant que « avec globalement 41,42 % du chiffre d'affaires eau, la facture de l'énergie électrique occupe le deuxième rang des charges d'exploitation de l'ADE, après les salaires ». Il explique également que « par économie d'énergie, il faut entendre au sens de la problématique que pose l'ADE, la réduction de la facture énergétique par des moyens techniques et technologiques appropriés, des substituts aux moyens conventionnels de production d'énergie et par l'attribution d'une tarification adaptée d'où sera exclue la notion d'heures pleines de pointe et toute forme de pénalisation du service public d'eau ». Le directeur d'exploitation de l'ADE, Sismail Silhadi, q indiqué que la perspective énergétiques future se traduit par l'atteinte d'un objectif, à savoir « les énergies renouvelables à intégrer à concurrence de 10 à 20 % de la consommation totale d'énergie en 2020. Cela nécessite d'entreprendre des actions en menant à bien des projets concernant le solaire photovoltaïque, l'énergie éolienne et le gaz ». Ainsi, il recommande un certain nombre d'actions, tels que « la mise en œuvre d'un réseau de coopération en matière d'échanges d'expériences et d'innovation technologiques, la mobilisation de financements relativement conséquents, notamment par le recours aux opportunités offertes par les mécanismes de développement propre », d'une part. Et d'autre part, « au-delà de la satisfaction des besoins futurs, ce plan ambitieux permettra ainsi à l'ADE de se situer dans une position avant-gardiste dans les domaines du développement durable et la valorisation des ressources renouvelables ». Aussi, selon cet intervenant, la perspective énergétique future se positionne devant l'augmentation des prix d'énergie, pour la croissance de l'activité économique et l'accroissement de la population. Cependant, elle est contre le faible potentiel hydraulique et les ressources en eau loin des centres de consommation, ainsi que le transfert d'eau sur de longues distances et le dessalement de l'eau. Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a souligné que ce sujet permet le développement de la stratégie décennale où l'Algérie a accompli des efforts importants dans les infrastructures structurantes. Aussi, les investissements sont importants dans le dessalement de l'eau et les eaux usées. Devant un bilan jamais égalé, cet effort a été cité comme référence sur le plan de la gestion et l'exploitation et les réformes engagées de façon à mettre le secteur de l'eau aux normes et standards internationaux, selon le ministre. « La bataille de la mobilisation est pratiquement gagnée, et la véritable bataille est celle de l'eau, de la rationalisation et la performance des services publics. Parmi les objectifs que nous poursuivons, la maîtrise des coûts d'exploitation, qui sont importants pour ne pas dire exorbitants. Le coût de l'énergie en Algérie dépasse celui des autres pays ». a-t-il dit. L'Etat a consenti d'énormes investissements pour améliorer la qualité de l'eau, selon Necib, ajoutant que cette démarche doit être consentie par l'ensemble des opérateurs. Ce saut qualitatif requiert une rigueur dans la gestion. La question de l'économie de l'énergie se pose en tant que nécessité de rationalisation de la consommation de l'énergie électrique ; 1,450 000 KW, 41 % du chiffre d'affaires, soit 4 milliards dollars. Ce niveau de consommation place le secteur ders ressources de l'eau après celui de l'industrie toutes activités confondues. Il s'agit de réduire le déficit en économisant cette matière de l'eau et nous attendons l'émergence d'idées et de solutions et l'apport de savoir-faire à travers le partenariat. Pour le directeur général de l'ADE, Abdelkrim Mechia, l'important consiste à faire des économies d'énergie, estimant que « avec globalement 41,42 % du chiffre d'affaires eau, la facture de l'énergie électrique occupe le deuxième rang des charges d'exploitation de l'ADE, après les salaires ». Il explique également que « par économie d'énergie, il faut entendre au sens de la problématique que pose l'ADE, la réduction de la facture énergétique par des moyens techniques et technologiques appropriés, des substituts aux moyens conventionnels de production d'énergie et par l'attribution d'une tarification adaptée d'où sera exclue la notion d'heures pleines de pointe et toute forme de pénalisation du service public d'eau ». Le directeur d'exploitation de l'ADE, Sismail Silhadi, q indiqué que la perspective énergétiques future se traduit par l'atteinte d'un objectif, à savoir « les énergies renouvelables à intégrer à concurrence de 10 à 20 % de la consommation totale d'énergie en 2020. Cela nécessite d'entreprendre des actions en menant à bien des projets concernant le solaire photovoltaïque, l'énergie éolienne et le gaz ». Ainsi, il recommande un certain nombre d'actions, tels que « la mise en œuvre d'un réseau de coopération en matière d'échanges d'expériences et d'innovation technologiques, la mobilisation de financements relativement conséquents, notamment par le recours aux opportunités offertes par les mécanismes de développement propre », d'une part. Et d'autre part, « au-delà de la satisfaction des besoins futurs, ce plan ambitieux permettra ainsi à l'ADE de se situer dans une position avant-gardiste dans les domaines du développement durable et la valorisation des ressources renouvelables ». Aussi, selon cet intervenant, la perspective énergétique future se positionne devant l'augmentation des prix d'énergie, pour la croissance de l'activité économique et l'accroissement de la population. Cependant, elle est contre le faible potentiel hydraulique et les ressources en eau loin des centres de consommation, ainsi que le transfert d'eau sur de longues distances et le dessalement de l'eau.