La wilaya de Ouargla dispose actuellement de dix zones humides, dont trois (Aïn El-Beïda, Oum-Raneb et Sidi-Slimane) sont classées depuis 2003 sur la liste de la convention de Ramsar relative aux zones humides d'importance internationale... La wilaya de Ouargla dispose actuellement de dix zones humides, dont trois (Aïn El-Beïda, Oum-Raneb et Sidi-Slimane) sont classées depuis 2003 sur la liste de la convention de Ramsar relative aux zones humides d'importance internationale... La wilaya de Ouargla qui s'étend sur une superficie de 163.233 km 2 dispose de plusieurs zones humides qui ont aujourd'hui besoin d'être entretenues afin de préserver leur micro-climat et leur biodiversité. La conservation des forêts de la wilaya a indiqué que certaines zones humides de la wilaya sont aujourd'hui menacées, à cause essentiellement de leur abandon et du comportement irresponsable de certains citoyens qui n'hésitent pas à jeter toutes sortes de détritus dans le périmètre de ces zones, comme c'est le cas par exemple du lac Tataouine, dans la commune de Nezla, qui a failli disparaître après avoir été encerclé par les déchets de tous genres. Même constat dans la zone humide du lac Merdjadja, sur le territoire de la même commune, qui est devenu marécageux, après la diminution de son plan d'eau et son envahissement par la boue. Néanmoins, la conservation des forêts garde espoir quant à l'avenir de ces zones, après que certaines parties aient tiré l'alarme et ont commencé à úuvrer pour revaloriser ces zones et en faire des destinations prisées par les touristes et les familles de la région en quête d'un endroit de fraîcheur et de détente, dans cette région au climat aride et sec rapporte l'APS. La zone humide de la commune de Témacine a bénéficié d'un projet de réhabilitation, doté d'une enveloppe de 101 millions DA, lancé l'année dernière et visant à restaurer son lac de 300 mètres de long et de 60 mètres de large, par le confortement de ses berges en pierres, et la création de plusieurs espaces de loisirs et l'aménagement d'espaces verts. Une opération de réhabilitation similaire, dotée de 60 millions DA, a été engagée dans la zone humide située sur le territoire de la commune de Hassi Benabdellah, qui s'étend sur une superficie de 30 hectares. Le projet de son aménagement, lancé cette année, compte également la réalisation de réseaux d'éclairage public et d'irrigation, la création d'espaces verts et l'ouverture de pistes menant vers son lac, et, plus tard, la création d'une palmeraie avec des kiosques multiservices et des espaces de jeux pour les enfants ainsi qu'un parking autos. Dans la même perspective de préservation des zones humide, la conservation des forêts a fait état de la désignation d'un bureau d'étude étranger pour étudier la potentialité de classer les deux zones humides de Témacine et de Sebkhet Sefioune (commune de N'goussa), dans le classement mondial des zones humides protégées. La wilaya de Ouargla dispose actuellement de dix zones humides, dont trois (Aïn El-Beïda, Oum-Raneb et Sidi-Slimane) sont classées depuis 2003 sur la liste de la convention de Ramsar relative aux zones humides d'importance internationale. Avec les sept autres zones, situées au niveau des communes de Hassi Benabdellah, N'goussa, Nezla, Témacine et Mégarine, elles constituent des zones de transit et de nidification de diverses espèces d'oiseaux migrateurs (flamand rose, héron cendré, cigogne blanche, petit gravelot, Tadorne Casarca et autres) venant de pays européens durant la saison hivernal. La wilaya de Ouargla qui s'étend sur une superficie de 163.233 km 2 dispose de plusieurs zones humides qui ont aujourd'hui besoin d'être entretenues afin de préserver leur micro-climat et leur biodiversité. La conservation des forêts de la wilaya a indiqué que certaines zones humides de la wilaya sont aujourd'hui menacées, à cause essentiellement de leur abandon et du comportement irresponsable de certains citoyens qui n'hésitent pas à jeter toutes sortes de détritus dans le périmètre de ces zones, comme c'est le cas par exemple du lac Tataouine, dans la commune de Nezla, qui a failli disparaître après avoir été encerclé par les déchets de tous genres. Même constat dans la zone humide du lac Merdjadja, sur le territoire de la même commune, qui est devenu marécageux, après la diminution de son plan d'eau et son envahissement par la boue. Néanmoins, la conservation des forêts garde espoir quant à l'avenir de ces zones, après que certaines parties aient tiré l'alarme et ont commencé à úuvrer pour revaloriser ces zones et en faire des destinations prisées par les touristes et les familles de la région en quête d'un endroit de fraîcheur et de détente, dans cette région au climat aride et sec rapporte l'APS. La zone humide de la commune de Témacine a bénéficié d'un projet de réhabilitation, doté d'une enveloppe de 101 millions DA, lancé l'année dernière et visant à restaurer son lac de 300 mètres de long et de 60 mètres de large, par le confortement de ses berges en pierres, et la création de plusieurs espaces de loisirs et l'aménagement d'espaces verts. Une opération de réhabilitation similaire, dotée de 60 millions DA, a été engagée dans la zone humide située sur le territoire de la commune de Hassi Benabdellah, qui s'étend sur une superficie de 30 hectares. Le projet de son aménagement, lancé cette année, compte également la réalisation de réseaux d'éclairage public et d'irrigation, la création d'espaces verts et l'ouverture de pistes menant vers son lac, et, plus tard, la création d'une palmeraie avec des kiosques multiservices et des espaces de jeux pour les enfants ainsi qu'un parking autos. Dans la même perspective de préservation des zones humide, la conservation des forêts a fait état de la désignation d'un bureau d'étude étranger pour étudier la potentialité de classer les deux zones humides de Témacine et de Sebkhet Sefioune (commune de N'goussa), dans le classement mondial des zones humides protégées. La wilaya de Ouargla dispose actuellement de dix zones humides, dont trois (Aïn El-Beïda, Oum-Raneb et Sidi-Slimane) sont classées depuis 2003 sur la liste de la convention de Ramsar relative aux zones humides d'importance internationale. Avec les sept autres zones, situées au niveau des communes de Hassi Benabdellah, N'goussa, Nezla, Témacine et Mégarine, elles constituent des zones de transit et de nidification de diverses espèces d'oiseaux migrateurs (flamand rose, héron cendré, cigogne blanche, petit gravelot, Tadorne Casarca et autres) venant de pays européens durant la saison hivernal.
