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Pour qui portera chance El Bahia ?
7e édition du festival d'Oran du film arabe
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 09 - 2013

C'est "Les fleurs de Twilit", une production mauritanienne, qui a ouvert le bal de la compétition des courts métrages de la septième édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa). Cette première pour Wassim Kortbi, ce jeune Tunisien, relate, l'histoire d'un homme qui fuit la vie sociale, ses tensions pour vivre en compagnie de son épouse dans une hutte isolée au cœur du Sahara.
C'est "Les fleurs de Twilit", une production mauritanienne, qui a ouvert le bal de la compétition des courts métrages de la septième édition du Festival d'Oran du film arabe (Fofa). Cette première pour Wassim Kortbi, ce jeune Tunisien, relate, l'histoire d'un homme qui fuit la vie sociale, ses tensions pour vivre en compagnie de son épouse dans une hutte isolée au cœur du Sahara.
Tourné au village mauritanien Twilit, le réalisateur a choisi de présenter un film intimiste sans dialogue estimant que « le silence est parfois plus éloquent que la parole ».
Si Wassim Korbi a préféré le silence, le réalisateur algérien Akram Zaghba, la Marocaine Asmae El Modir et le Bahreini Amar Kooheji ont, eux, choisi de présenter le personnage principal dans leurs courts métrages silencieux où tout le monde parle sauf eux. Le réalisateur algérien Akram Zaghba a abordé dans son film La gandoura blanche l'histoire d'un jeune manipulé par une organisation terroriste pour commettre un attentat suicide, alors que le court métrage Couleurs du silence de la Marocaine Asmae El Modir a tissé ses séquences autour du personnage d'une fillette sourde-muette qui aime dessiner son père, un pêcheur.
Le réalisateur bahraïni, Amar Kahouadji, a présenté, dans son film Sokoone, deux filles : une riche blonde et une noire pauvre pour décrire le destin de la femme que commande l'homme dans les sociétés patrimoniales qui ne font pas de distinction entre une riche, une pauvre, une blanche ou noire. En plus, il choisit de confiner la fille noire au silence. La première journée de projection de courts métrages a été clôturée par le film irakien Happy bithday de Mohaned Hayal, qui est le seul film sans personnages silencieux.
En un quart d'heure, ce court métrage retrace la vie d'un enfant qui célèbre son cinquième anniversaire dans un cimetière que fréquentait sa mère pour se recueillir sur la tombe de son père. Le réalisateur irakien a souligné, en marge de cette projection, que ce film exprime le désir du peuple irakien de vivre en dépit de la guerre et de la souffrance, où cet enfant rit et dialogue avec des gens (vivants et morts) dans un cimetière.
Quant à la compétition des longs métrages, la salle de cinéma Maghreb, équipée en matériels de projection cinématographique moderne a été réservée à cette série dont un jury choisira la meilleure œuvre qui décrochera le prix Wihr d'or. Lancé le même jour que les courts métrages, cette compétition où sont en lice 14 œuvres de différents pays arabes dont l'Algérie, le Koweit, la Syrie, la Tunisie, la Jordanie, les Emirats arabes unis et le Liban, le film égyptien Asham de Maggy Morgan.
L'Algérie participe à cette compétition par deux films que sont à la boîte de Djamil Beloucif et Journées de cendres d'Amar Si Fodil. Pour rappel, cette septième édition du Festival d'Oran du film arabe ouverte lundi soir au Centre des conventions Mohamed-Benahmed s'étalera jusqu'au 30 septembre courant.
Tourné au village mauritanien Twilit, le réalisateur a choisi de présenter un film intimiste sans dialogue estimant que « le silence est parfois plus éloquent que la parole ».
Si Wassim Korbi a préféré le silence, le réalisateur algérien Akram Zaghba, la Marocaine Asmae El Modir et le Bahreini Amar Kooheji ont, eux, choisi de présenter le personnage principal dans leurs courts métrages silencieux où tout le monde parle sauf eux. Le réalisateur algérien Akram Zaghba a abordé dans son film La gandoura blanche l'histoire d'un jeune manipulé par une organisation terroriste pour commettre un attentat suicide, alors que le court métrage Couleurs du silence de la Marocaine Asmae El Modir a tissé ses séquences autour du personnage d'une fillette sourde-muette qui aime dessiner son père, un pêcheur.
Le réalisateur bahraïni, Amar Kahouadji, a présenté, dans son film Sokoone, deux filles : une riche blonde et une noire pauvre pour décrire le destin de la femme que commande l'homme dans les sociétés patrimoniales qui ne font pas de distinction entre une riche, une pauvre, une blanche ou noire. En plus, il choisit de confiner la fille noire au silence. La première journée de projection de courts métrages a été clôturée par le film irakien Happy bithday de Mohaned Hayal, qui est le seul film sans personnages silencieux.
En un quart d'heure, ce court métrage retrace la vie d'un enfant qui célèbre son cinquième anniversaire dans un cimetière que fréquentait sa mère pour se recueillir sur la tombe de son père. Le réalisateur irakien a souligné, en marge de cette projection, que ce film exprime le désir du peuple irakien de vivre en dépit de la guerre et de la souffrance, où cet enfant rit et dialogue avec des gens (vivants et morts) dans un cimetière.
Quant à la compétition des longs métrages, la salle de cinéma Maghreb, équipée en matériels de projection cinématographique moderne a été réservée à cette série dont un jury choisira la meilleure œuvre qui décrochera le prix Wihr d'or. Lancé le même jour que les courts métrages, cette compétition où sont en lice 14 œuvres de différents pays arabes dont l'Algérie, le Koweit, la Syrie, la Tunisie, la Jordanie, les Emirats arabes unis et le Liban, le film égyptien Asham de Maggy Morgan.
L'Algérie participe à cette compétition par deux films que sont à la boîte de Djamil Beloucif et Journées de cendres d'Amar Si Fodil. Pour rappel, cette septième édition du Festival d'Oran du film arabe ouverte lundi soir au Centre des conventions Mohamed-Benahmed s'étalera jusqu'au 30 septembre courant.


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