De nombreuses insuffisances restent posées dans le secteur de la santé malgré les efforts déployés par les responsables et les travailleurs, tous corps confondus, et les moyens mis en œuvre par l'Etat. Le problème crucial des déchets d'activités de soin reste posé. De nombreuses insuffisances restent posées dans le secteur de la santé malgré les efforts déployés par les responsables et les travailleurs, tous corps confondus, et les moyens mis en œuvre par l'Etat. Le problème crucial des déchets d'activités de soin reste posé. Pour parer aux risques infectueux que cette situation risque d'occasionner, les responsables du secteur annoncent la mise en place d'un dispositif global. Ce dernier permettra de gérer les déchets résultants des activités de soins des établissements publics et privés, avec une démarche de coordination avec le Centre hospitalo-universitaire de Tizi-Ouzou. Les EPH, EPSP et EHS sont ainsi invités à prendre attache avec la direction du CHU afin de contracter des conventions. De son côté, le directeur général du CHU Nedir-Mohamed, le professeur Abbès Ziri, a dressé un point de situation de son établissement et les contraintes que celui-ci rencontre en matière d'évacuation périphérique et à partir des wilayas limitrophes. Le Pr Ziri a sollicité la délocalisation d'un certain nombre de consultations, notamment en matière d'urgences médicales vers la polyclinique de la Nouvelle-Ville, ainsi que la création d'un deuxième centre aux profit des dialyses. Le même responsable a sollicité l'affectation de radiologues en nombre suffisant pour la wilaya et a plaidé pour l'encouragement de l'hospitalisation à domicile. La solution à toutes ces difficultés réside, de l'avis du wali, dans la coordination entre la direction de la santé et les différents secteurs hospitaliers publics et privés, par la tenue de réunions hebdomadaires visant à cerner les contraintes et proposer des recommandations. Pour leur part, les chefs de daïra et les différents intervenants ont exposé leurs préoccupations en matière de contraintes rencontrées par les établissements locaux relevant du secteur. Ils ont proposé les voies et moyens permettant l'amélioration des prestations fournies par ces derniers. Le directeur de la clinique d'accouchement Sbihi-Tassadit a recensé les contraintes auxquelles fait face son établissement notamment en matière d'évacuations vers celui-ci qui compte un taux d'occupation de lits de l'ordre de 123%, dépassant largement ses capacités. Le wali a exhorté les représentants du secteur « à asseoir une démarche commune en mettant en mouvement tous les moyens de la wilaya et procéder à l'ouverture au profit du public de tous les établissements réceptionnés à l'instar de l'hôpital de Tigzirt, de la polyclinique d'Iflissen et du centre de transfusion sanguine tout en insistant sur le règlement définitif des problèmes liés au centre anti-cancer de Draâ-Ben-Khedda ». Le wali a aussi instruit le directeur de la santé et de la population d'intensifier des inspections à travers les structures sanitaires de la wilaya en l'invitant et l'ensemble de l'assistance à une séance similaire dans un mois. Pour parer aux risques infectueux que cette situation risque d'occasionner, les responsables du secteur annoncent la mise en place d'un dispositif global. Ce dernier permettra de gérer les déchets résultants des activités de soins des établissements publics et privés, avec une démarche de coordination avec le Centre hospitalo-universitaire de Tizi-Ouzou. Les EPH, EPSP et EHS sont ainsi invités à prendre attache avec la direction du CHU afin de contracter des conventions. De son côté, le directeur général du CHU Nedir-Mohamed, le professeur Abbès Ziri, a dressé un point de situation de son établissement et les contraintes que celui-ci rencontre en matière d'évacuation périphérique et à partir des wilayas limitrophes. Le Pr Ziri a sollicité la délocalisation d'un certain nombre de consultations, notamment en matière d'urgences médicales vers la polyclinique de la Nouvelle-Ville, ainsi que la création d'un deuxième centre aux profit des dialyses. Le même responsable a sollicité l'affectation de radiologues en nombre suffisant pour la wilaya et a plaidé pour l'encouragement de l'hospitalisation à domicile. La solution à toutes ces difficultés réside, de l'avis du wali, dans la coordination entre la direction de la santé et les différents secteurs hospitaliers publics et privés, par la tenue de réunions hebdomadaires visant à cerner les contraintes et proposer des recommandations. Pour leur part, les chefs de daïra et les différents intervenants ont exposé leurs préoccupations en matière de contraintes rencontrées par les établissements locaux relevant du secteur. Ils ont proposé les voies et moyens permettant l'amélioration des prestations fournies par ces derniers. Le directeur de la clinique d'accouchement Sbihi-Tassadit a recensé les contraintes auxquelles fait face son établissement notamment en matière d'évacuations vers celui-ci qui compte un taux d'occupation de lits de l'ordre de 123%, dépassant largement ses capacités. Le wali a exhorté les représentants du secteur « à asseoir une démarche commune en mettant en mouvement tous les moyens de la wilaya et procéder à l'ouverture au profit du public de tous les établissements réceptionnés à l'instar de l'hôpital de Tigzirt, de la polyclinique d'Iflissen et du centre de transfusion sanguine tout en insistant sur le règlement définitif des problèmes liés au centre anti-cancer de Draâ-Ben-Khedda ». Le wali a aussi instruit le directeur de la santé et de la population d'intensifier des inspections à travers les structures sanitaires de la wilaya en l'invitant et l'ensemble de l'assistance à une séance similaire dans un mois.