Evoquant l'existence d'un projet oléicole de grande importance au niveau de la plaine de Mléta, le directeur des services agricoles a déclaré que la wilaya d'Oran dispose de grandes potentialités pour l'extension des superficies oléicoles. Evoquant l'existence d'un projet oléicole de grande importance au niveau de la plaine de Mléta, le directeur des services agricoles a déclaré que la wilaya d'Oran dispose de grandes potentialités pour l'extension des superficies oléicoles. Lors d'une rencontre organisée par la Chambre de l'agriculture de la wilaya d'Oran au niveau de l'exploitation agricole ex-Chaïla-Kaddour, à Bouyakour, dans la commune de Misserghin (Oran), à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de l'olive, Benaouda Abdelli a indiqué que "plus de 25.000 hectares de terres nues pouvant recevoir cette espèce arboricole à grande valeur marchande et renforcer le parc oléicole local et national sont aujourd'hui disponibles, notamment à l'est de la wilaya". Selon l'APS, le même responsable a évoqué l'existence d'un projet oléicole de grande importance au niveau de la plaine de Mléta, dont l'irrigation sera assurée par les eaux épurées, pour faire de la culture extensive, notamment de l'olive de table et de l'olive à l'huile. Indiquant que ce périmètre agricole est en cours d'aménagement, le même responsable a saisi cette occasion pour évoquer le développement qu'a connue cette filière au niveau de la wilaya qui est passée de 600 hectares en 2.000 à 7.570 ha en 2013, estimant à 1.270.500 arbres pour une production moyenne de 9.000 tonnes d'olives de table et de 100 tonnes d'olive d'huile en 2012. Une filière qui est au stade primaire, comme l'a signifié le président de l'association nationale de la promotion de la filière, Saïd Bakhtaoui, qui soutient que l'oléiculture a besoin d'être développée au plan technique et scientifique et organisée notamment au plan logistique. Cette rencontre a été mise à profit par les participants pour parler des maladies qui touchent des plantations, telles que la tuberculose de l'olivier qui se manifeste par des excroissances sur toutes les parties de la plante et qui influe négativement sur la qualité du produit, comme l'a rappelé le directeur de l'Institut national de la protection des végétaux dans la région Ouest. Bakhti Tanjaoui a révélé l'existence de cette pathologie au niveau de 16 parcelles, totalisant près de 45 hectares d'oliveraies au niveau de la wilaya d'Oran, principalement les nouvelles plantations. Ce diagnostic a été effectué par le laboratoire phytosanitaire de l'INPV (Institut national de protection des végétaux), a souligné l'APS. Des mesures prophylactiques ont été prises pour assainir les plantations infectées, dont, notamment, la désinfection du matériel de taille, a encore indiqué Bakhti Tanjaoui. Dès 1963, l'Algérie a adhéré à la Fédération internationale de l'oléiculture et est membre du Conseil international de l'oléiculture qu'elle a présidé en 1992 à Madrid. A cette rencontre étaient présents des représentants de l'Institut agricole de la protection des végétaux (INPV), de la Conservation des forêts, de l'APW d'Oran, du président de l'Association nationale de la promotion de la filière oléicole et de l'association de la promotion de la femme rurale "Main dans la main" et des cadres des services agricoles. Lors d'une rencontre organisée par la Chambre de l'agriculture de la wilaya d'Oran au niveau de l'exploitation agricole ex-Chaïla-Kaddour, à Bouyakour, dans la commune de Misserghin (Oran), à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de l'olive, Benaouda Abdelli a indiqué que "plus de 25.000 hectares de terres nues pouvant recevoir cette espèce arboricole à grande valeur marchande et renforcer le parc oléicole local et national sont aujourd'hui disponibles, notamment à l'est de la wilaya". Selon l'APS, le même responsable a évoqué l'existence d'un projet oléicole de grande importance au niveau de la plaine de Mléta, dont l'irrigation sera assurée par les eaux épurées, pour faire de la culture extensive, notamment de l'olive de table et de l'olive à l'huile. Indiquant que ce périmètre agricole est en cours d'aménagement, le même responsable a saisi cette occasion pour évoquer le développement qu'a connue cette filière au niveau de la wilaya qui est passée de 600 hectares en 2.000 à 7.570 ha en 2013, estimant à 1.270.500 arbres pour une production moyenne de 9.000 tonnes d'olives de table et de 100 tonnes d'olive d'huile en 2012. Une filière qui est au stade primaire, comme l'a signifié le président de l'association nationale de la promotion de la filière, Saïd Bakhtaoui, qui soutient que l'oléiculture a besoin d'être développée au plan technique et scientifique et organisée notamment au plan logistique. Cette rencontre a été mise à profit par les participants pour parler des maladies qui touchent des plantations, telles que la tuberculose de l'olivier qui se manifeste par des excroissances sur toutes les parties de la plante et qui influe négativement sur la qualité du produit, comme l'a rappelé le directeur de l'Institut national de la protection des végétaux dans la région Ouest. Bakhti Tanjaoui a révélé l'existence de cette pathologie au niveau de 16 parcelles, totalisant près de 45 hectares d'oliveraies au niveau de la wilaya d'Oran, principalement les nouvelles plantations. Ce diagnostic a été effectué par le laboratoire phytosanitaire de l'INPV (Institut national de protection des végétaux), a souligné l'APS. Des mesures prophylactiques ont été prises pour assainir les plantations infectées, dont, notamment, la désinfection du matériel de taille, a encore indiqué Bakhti Tanjaoui. Dès 1963, l'Algérie a adhéré à la Fédération internationale de l'oléiculture et est membre du Conseil international de l'oléiculture qu'elle a présidé en 1992 à Madrid. A cette rencontre étaient présents des représentants de l'Institut agricole de la protection des végétaux (INPV), de la Conservation des forêts, de l'APW d'Oran, du président de l'Association nationale de la promotion de la filière oléicole et de l'association de la promotion de la femme rurale "Main dans la main" et des cadres des services agricoles.
