Un an après l'attaque terroriste du site gazier de Teguentourine, les médias étrangers et particulièrement français ont mené une campagne « tendancieuse » où ils se sont acharnés sur les services de sécurité plutôt que sur les terroristes. Un an après l'attaque terroriste du site gazier de Teguentourine, les médias étrangers et particulièrement français ont mené une campagne « tendancieuse » où ils se sont acharnés sur les services de sécurité plutôt que sur les terroristes. C'est surtout un reportage de la chaîne française TF1 qui a fait les choux gras en doutant des capacités de l'ANP à endiguer une telle attaque et faisant croire qu'un juge français serait mandaté par Paris pour enquêter sur l'affaire des otages de l'affaire Tiguentourine. Mais la réaction ne s'est pas faite attendre. Le porte-parole du ministère des AE algérien Amar Belani, a déploré « l'agitation tendancieuse de certains médias étrangers autour de l'anniversaire du lâche attentat terroriste contre le site gazier de Tiguentourine (In Aménas) ». « Nous rejetons vigoureusement les présentations biaisées et les allégations absurdes émises par ces médias qui, de parti pris en préjugés, en viennent quasiment à disculper les auteurs de cet odieux attentat terroriste et à faire d'une bande de criminels, sans foi ni loi, des interlocuteurs potentiels avec lesquels il y aurait matière à négociation », a-t-il souligné. En effet, certains médias étrangers choisissent un timing pour enfoncer le clou, sachant que cette attaque perpétrée le 16 janvier 2013 par le groupe terroriste commandé par Mokhtar Belmokhtar a fait 37 tués parmi lesquels un agent de sécurité algérien. Rappelons que 104 otages ont été pris en piège par un groupe terroriste redoutable. Les services de sécurité dont l'ANP et la gendarmerie nationale ont réussi à mettre hors d'état de nuire ce groupe avec des dommages collatéraux prévisibles. Selon le porte-parole des AE : « Aujourd'hui, nous ne pouvons que nous interroger sur les desseins de ceux qui veulent occulter le fait que la responsabilité des décès, qu'on a eu malheureusement à déplorer, est entièrement imputable aux terroristes et semer le doute sur le succès d'une opération militaire » . Le porte-parole du ministère des AE a également rappelé dans sa déclaration que « l'intervention des forces algériennes était impérative pour sauver des centaines de vies humaines et pour protéger un site stratégique que les terroristes projetaient de faire exploser » a-t-il souligné. D'ailleurs, plusieurs pays ont témoigné de leur solidarité suite à l'attaque et ont salué un dénouement de l'opération par les forces de sécurité algériennes. Amar Belani considère que cette opération « était marquée du sceau du professionnalisme et elle répond à la nécessité impérieuse de préserver la souveraineté et l'intégrité de notre pays, qui ne saurait, en aucune manière, devenir l'otage des forces du mal et de la destruction ». De son côté, le ministre de la Justice, Tayeb Louh, a fait savoir jeudi dernier en marge d'une séance au Sénat que l'affaire dite Tiguentourine est « entre les mains de la justice algérienne et l'instruction est confiée à un juge spécialisé comme l'exige la procédure pénale». Il a précisé que « le code de procédure et la loi algérienne autorisent quiconque ayant subi des préjudices suite à cette agression à se constituer partie civile auprès du juge d'instruction ou du tribunal qui aura à statuer sur l'affaire ». L'instruction suit son son cours auprès des juridictions judiciaires spécialisées. Aucune révélation sur la date d'un procès n'a été avancée par le ministre de la Justice. C'est surtout un reportage de la chaîne française TF1 qui a fait les choux gras en doutant des capacités de l'ANP à endiguer une telle attaque et faisant croire qu'un juge français serait mandaté par Paris pour enquêter sur l'affaire des otages de l'affaire Tiguentourine. Mais la réaction ne s'est pas faite attendre. Le porte-parole du ministère des AE algérien Amar Belani, a déploré « l'agitation tendancieuse de certains médias étrangers autour de l'anniversaire du lâche attentat terroriste contre le site gazier de Tiguentourine (In Aménas) ». « Nous rejetons vigoureusement les présentations biaisées et les allégations absurdes émises par ces médias qui, de parti pris en préjugés, en viennent quasiment à disculper les auteurs de cet odieux attentat terroriste et à faire d'une bande de criminels, sans foi ni loi, des interlocuteurs potentiels avec lesquels il y aurait matière à négociation », a-t-il souligné. En effet, certains médias étrangers choisissent un timing pour enfoncer le clou, sachant que cette attaque perpétrée le 16 janvier 2013 par le groupe terroriste commandé par Mokhtar Belmokhtar a fait 37 tués parmi lesquels un agent de sécurité algérien. Rappelons que 104 otages ont été pris en piège par un groupe terroriste redoutable. Les services de sécurité dont l'ANP et la gendarmerie nationale ont réussi à mettre hors d'état de nuire ce groupe avec des dommages collatéraux prévisibles. Selon le porte-parole des AE : « Aujourd'hui, nous ne pouvons que nous interroger sur les desseins de ceux qui veulent occulter le fait que la responsabilité des décès, qu'on a eu malheureusement à déplorer, est entièrement imputable aux terroristes et semer le doute sur le succès d'une opération militaire » . Le porte-parole du ministère des AE a également rappelé dans sa déclaration que « l'intervention des forces algériennes était impérative pour sauver des centaines de vies humaines et pour protéger un site stratégique que les terroristes projetaient de faire exploser » a-t-il souligné. D'ailleurs, plusieurs pays ont témoigné de leur solidarité suite à l'attaque et ont salué un dénouement de l'opération par les forces de sécurité algériennes. Amar Belani considère que cette opération « était marquée du sceau du professionnalisme et elle répond à la nécessité impérieuse de préserver la souveraineté et l'intégrité de notre pays, qui ne saurait, en aucune manière, devenir l'otage des forces du mal et de la destruction ». De son côté, le ministre de la Justice, Tayeb Louh, a fait savoir jeudi dernier en marge d'une séance au Sénat que l'affaire dite Tiguentourine est « entre les mains de la justice algérienne et l'instruction est confiée à un juge spécialisé comme l'exige la procédure pénale». Il a précisé que « le code de procédure et la loi algérienne autorisent quiconque ayant subi des préjudices suite à cette agression à se constituer partie civile auprès du juge d'instruction ou du tribunal qui aura à statuer sur l'affaire ». L'instruction suit son son cours auprès des juridictions judiciaires spécialisées. Aucune révélation sur la date d'un procès n'a été avancée par le ministre de la Justice.