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Ali Benflis : "Si je ne suis pas élu Président..."
Publié dans Le Midi Libre le 17 - 04 - 2014

Le candidat à l'élection présidentielle, Ali Benflis, n'envisage pas de quitter la scène politique après le scrutin s'il n'obtient pas les faveurs du peuple algérien pour présider aux destinées du pays, a-t-il affirmé mardi à Alger, afin de "militer pour un projet démocratique".
Le candidat à l'élection présidentielle, Ali Benflis, n'envisage pas de quitter la scène politique après le scrutin s'il n'obtient pas les faveurs du peuple algérien pour présider aux destinées du pays, a-t-il affirmé mardi à Alger, afin de "militer pour un projet démocratique".
"Je ne quitterai pas le terrain après le 17 avril. Je poursuivrai le combat avec mes millions de partisans, mes partenaires politiques et les boycotteurs afin de militer pour un projet démocratique", a indiqué Ali Benflis lors d'une conférence de presse qu'il a animée au siège de sa direction de campagne, en présence des partis et des personnalités qui le soutiennent.
Ali Benflis répondait à une question d'un journaliste relative à sa position en cas de défaite lors du prochain scrutin, précisant, toutefois, que lui et tous ses soutiens "se sont réunis pour gagner cette élection". Evaluant sa campagne électorale pour la présidentielle, Ali Benflis a déclaré qu'il a proposé aux Algériens une "véritable alternative" et "un projet qui incarne toutes leurs espérances", s'interdisant de tomber dans le "travers de l'insulte", a-t-il noté.
Donnant le bilan chiffré de sa tournée, le postulant à la magistrature suprême, a fait savoir qu'il a animé 105 meetings à travers les 48 wilayas, dans des daïras et communes, en parcourant 6.700 kilomètres, lors desquels il a décelé "un désir de changement et de renouveau" qui anime les citoyennes et les citoyens, a-t-il souligné. Revenant sur les "accusations de terrorisme portées à son encontre et contre ses partisans", le candidat Benflis a estimé que les propos qu'il avait tenus
"ont été sortis de leur contexte et instrumentalisés d'une manière éhontée", expliquant que ces propos "contiennent un appel à l'administration algérienne et à ses cadres chargés de l'organisation de la prochaine élection présidentielle d'agir en conscience et de veiller à respecter et à faire respecter la neutralité". "Tout le monde sait que la Télévision nous est interdite à l'exception de 21 jours tous les 5 ans", a signalé le candidat relevant qu'il n'existe qu'un seul discours.
"Ceci est un détournement du service public", a estimé Benflis promettant s'il est élu de "rendre public l'enregistrement de l'émission", afin que le peuple "sache que mes propos ont été tronqués".
Par ailleurs, l'ancien chef de gouvernement s'est refusé à tout commentaire concernant les accusations de la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, ajoutant toutefois la "respecter pour son courage et son audace".
Ali Benflis a, également, apporté un démenti quant à l'existence de "dissidences" dans les rangs de ses soutiens entre partisans et partis politiques, réitérant sa "détermination" à "ne pas se taire en cas de fraude avérée", et précisant que cela sera "par la voie pacifique sans recours à la violence" et qu'il dispose d'un "plan anti-fraude" composé de 60.000 agents, chargés de surveiller les urnes. Né le 8 septembre 1944, Ali Benflis, se présente pour la seconde fois à l'élection présidentielle après celle de 2004.
"Je ne quitterai pas le terrain après le 17 avril. Je poursuivrai le combat avec mes millions de partisans, mes partenaires politiques et les boycotteurs afin de militer pour un projet démocratique", a indiqué Ali Benflis lors d'une conférence de presse qu'il a animée au siège de sa direction de campagne, en présence des partis et des personnalités qui le soutiennent.
Ali Benflis répondait à une question d'un journaliste relative à sa position en cas de défaite lors du prochain scrutin, précisant, toutefois, que lui et tous ses soutiens "se sont réunis pour gagner cette élection". Evaluant sa campagne électorale pour la présidentielle, Ali Benflis a déclaré qu'il a proposé aux Algériens une "véritable alternative" et "un projet qui incarne toutes leurs espérances", s'interdisant de tomber dans le "travers de l'insulte", a-t-il noté.
Donnant le bilan chiffré de sa tournée, le postulant à la magistrature suprême, a fait savoir qu'il a animé 105 meetings à travers les 48 wilayas, dans des daïras et communes, en parcourant 6.700 kilomètres, lors desquels il a décelé "un désir de changement et de renouveau" qui anime les citoyennes et les citoyens, a-t-il souligné. Revenant sur les "accusations de terrorisme portées à son encontre et contre ses partisans", le candidat Benflis a estimé que les propos qu'il avait tenus
"ont été sortis de leur contexte et instrumentalisés d'une manière éhontée", expliquant que ces propos "contiennent un appel à l'administration algérienne et à ses cadres chargés de l'organisation de la prochaine élection présidentielle d'agir en conscience et de veiller à respecter et à faire respecter la neutralité". "Tout le monde sait que la Télévision nous est interdite à l'exception de 21 jours tous les 5 ans", a signalé le candidat relevant qu'il n'existe qu'un seul discours.
"Ceci est un détournement du service public", a estimé Benflis promettant s'il est élu de "rendre public l'enregistrement de l'émission", afin que le peuple "sache que mes propos ont été tronqués".
Par ailleurs, l'ancien chef de gouvernement s'est refusé à tout commentaire concernant les accusations de la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, ajoutant toutefois la "respecter pour son courage et son audace".
Ali Benflis a, également, apporté un démenti quant à l'existence de "dissidences" dans les rangs de ses soutiens entre partisans et partis politiques, réitérant sa "détermination" à "ne pas se taire en cas de fraude avérée", et précisant que cela sera "par la voie pacifique sans recours à la violence" et qu'il dispose d'un "plan anti-fraude" composé de 60.000 agents, chargés de surveiller les urnes. Né le 8 septembre 1944, Ali Benflis, se présente pour la seconde fois à l'élection présidentielle après celle de 2004.


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