Disponible en Algérie, a annoncé vendredi à Alger, le professeur Mourad Derguini, chef de service de gynécologie au CHU Bachir Mentouri de Kouba (Alger). Il s'agit, précise le spécialiste de l'Implanon NXT, un petit bâtonnet de la taille d'une allumette qu'un professionnel insère au niveau du bras non-dominant de la contraceptante. Disponible en Algérie, a annoncé vendredi à Alger, le professeur Mourad Derguini, chef de service de gynécologie au CHU Bachir Mentouri de Kouba (Alger). Il s'agit, précise le spécialiste de l'Implanon NXT, un petit bâtonnet de la taille d'une allumette qu'un professionnel insère au niveau du bras non-dominant de la contraceptante. D'une durée d'action pouvant aller jusqu'à trois ans, Implanon NXT peut être retiré à n'importe quel moment et à la demande de la patiente. Selon le professeur Derguini, l'Implanon NXT qui constitue l'une des méthodes contraceptives les plus efficaces, convient à toutes les femmes en âge de procréer ainsi qu'à celles qui présentent des contre-indications aux méthodes traditionnelles telles que les hypertendues et les diabétiques. Il a rappelé à l'occasion le rôle de l'utilisation des contraceptifs notamment dans la préservation de la santé de la femme tout comme celle de l'enfant précisant que 61% des femmes en Algérie recourent à la contraception dont 46% pour la pilule et plus de 4% pour le stérilet. Pour le stérilet, le professeur Derguini a expliqué le faible taux de son utilisation par le manque de formation en la matière ainsi que l'échec de ses résultats pour certaines patie D'une durée d'action pouvant aller jusqu'à trois ans, Implanon NXT peut être retiré à n'importe quel moment et à la demande de la patiente. Selon le professeur Derguini, l'Implanon NXT qui constitue l'une des méthodes contraceptives les plus efficaces, convient à toutes les femmes en âge de procréer ainsi qu'à celles qui présentent des contre-indications aux méthodes traditionnelles telles que les hypertendues et les diabétiques. Il a rappelé à l'occasion le rôle de l'utilisation des contraceptifs notamment dans la préservation de la santé de la femme tout comme celle de l'enfant précisant que 61% des femmes en Algérie recourent à la contraception dont 46% pour la pilule et plus de 4% pour le stérilet. Pour le stérilet, le professeur Derguini a expliqué le faible taux de son utilisation par le manque de formation en la matière ainsi que l'échec de ses résultats pour certaines patie