Les service de la Gendarmerie nationale ont démantelé, à Relizane, un réseau de fraudeurs, composé d'un pharmacien et de nombreux médecins, a-t-on appris samedi auprès de ce corps sécuritaire. Ce pharmacien fraudeur utilisait les cartes "Chiffa" déposées par les assurés pour encaisser des factures accompagnant des ordonnances fictives délivrées par des médecins complices, a-t-on indiqué à l'APS de même source. Les service de la Gendarmerie nationale ont démantelé, à Relizane, un réseau de fraudeurs, composé d'un pharmacien et de nombreux médecins, a-t-on appris samedi auprès de ce corps sécuritaire. Ce pharmacien fraudeur utilisait les cartes "Chiffa" déposées par les assurés pour encaisser des factures accompagnant des ordonnances fictives délivrées par des médecins complices, a-t-on indiqué à l'APS de même source. Lors des investigations menées par les gendarmes, suite aux renseignements parvenus à la section de recherches, les enquêteurs ont découvert des copies d'ordonnances médicales déposé à l'agence locale de la Cnas, aux noms d'assurés qui ont carrément nié avoir été consultés par les médecins dont les cachets et les griffes figuraient sur les ordonnances. Les victimes ont également déclaré n'avoir jamais pris possession des médicaments portés sur les ordonnances. leurs cachets et griffes, et qu'ils ont pas pris les médicaments constatés dans ces documents falsifiés. L'enquête a démontré que le pharmacien déposait ces ordonnances au niveau de l'agence locale de l'assurance sociale pour encaisser les factures jointes aux ordonnances, a-t-on souligné de même source. Au niveau de l'agence Cnas, les investigateurs ont découvert que 30 assurés ont fait les frais de ce stratagème. Au domicile du pharmacien, des ordonnances portant des vignettes de médicaments ainsi que de nombreuses cartes "Chiffa" ont été trouvées. Lors des investigations menées par les gendarmes, suite aux renseignements parvenus à la section de recherches, les enquêteurs ont découvert des copies d'ordonnances médicales déposé à l'agence locale de la Cnas, aux noms d'assurés qui ont carrément nié avoir été consultés par les médecins dont les cachets et les griffes figuraient sur les ordonnances. Les victimes ont également déclaré n'avoir jamais pris possession des médicaments portés sur les ordonnances. leurs cachets et griffes, et qu'ils ont pas pris les médicaments constatés dans ces documents falsifiés. L'enquête a démontré que le pharmacien déposait ces ordonnances au niveau de l'agence locale de l'assurance sociale pour encaisser les factures jointes aux ordonnances, a-t-on souligné de même source. Au niveau de l'agence Cnas, les investigateurs ont découvert que 30 assurés ont fait les frais de ce stratagème. Au domicile du pharmacien, des ordonnances portant des vignettes de médicaments ainsi que de nombreuses cartes "Chiffa" ont été trouvées.
