Un premier foyer de la fièvre aphteuse a été détecté à Oran, a-t-on appris samedi du président de la chambre d'agriculture de la wilaya. Le virus a fait son apparition à Misserghine, une commune située à une dizaine de kilomètres à l'ouest d'Oran affectant 163 bovins, a affirmé Hadj Meftah Brachemi dans une déclaration à la radio locale d'Oran. Un premier foyer de la fièvre aphteuse a été détecté à Oran, a-t-on appris samedi du président de la chambre d'agriculture de la wilaya. Le virus a fait son apparition à Misserghine, une commune située à une dizaine de kilomètres à l'ouest d'Oran affectant 163 bovins, a affirmé Hadj Meftah Brachemi dans une déclaration à la radio locale d'Oran. Il a ajouté que « toutes les mesures ont été prisés pour éviter la propagation de la maladie ». Le président de la chambre de commerce et d'industrie de l'Oranie, Mouad Abed, a indiqué que des tests, effectués vendredi, ont confirmé l'existence du virus. Pour sa part, la permanence de l'inspection vétérinaire de la wilaya a déclaré à l'APS qu'elle n'est pas habilitée à donner ce type d'informations. La wilaya d'Oran a reçu, lundi dernier, une quantité supplémentaire de 6.000 doses de vaccin contre la fièvre aphteuse. L'objectif étant « d'assurer la vaccination de 90 % du cheptel bovin de la wilaya estimé à 13.000 bovins », avait déclaré mardi dernier le directeur des services agricoles de la wilaya, Benaouda Abdelli, lors d'une rencontre sur la maladie aphteuse au siège la chambre de commerce et de l'Industrie de l'Oranie (CCIO), organisée en coordination avec la direction des services agricoles, la chambre de l'agriculture, la direction régionale du commerce, la sûreté de wilaya et le commandement régional de la Gendarmerie nationale. La fièvre aphteuse a touché, jusqu'il y a une semaine, « 23 wilayas, alors que des cas suspects sont signalés dans la wilaya de Mostaganem », a indiqué Hassan Boudoukha, directeur général de l'Institut national de médecine vétérinaire (INMV), affirmant que la situation épidémiologique est « stable ». Selon ce responsable, la dernière wilaya à avoir été touchée par l'épizootie, dimanche dernier, est celle de Tiaret. Il ajoute que les « services vétérinaires sont en train d'isoler les foyers de cette maladie à Mostaganem, en attendant les résultats des analyses ». M. Boudoukha a ajouté dans une déclaration à l'APS que « le programme d'urgence tracé par le ministère de l'Agriculture pour arrêter la propagation de la maladie a été efficace et que ce sont des intermédiaires qui ont introduit des taurillons malades par les frontières est du pays ». Il a ajouté que « toutes les mesures ont été prisés pour éviter la propagation de la maladie ». Le président de la chambre de commerce et d'industrie de l'Oranie, Mouad Abed, a indiqué que des tests, effectués vendredi, ont confirmé l'existence du virus. Pour sa part, la permanence de l'inspection vétérinaire de la wilaya a déclaré à l'APS qu'elle n'est pas habilitée à donner ce type d'informations. La wilaya d'Oran a reçu, lundi dernier, une quantité supplémentaire de 6.000 doses de vaccin contre la fièvre aphteuse. L'objectif étant « d'assurer la vaccination de 90 % du cheptel bovin de la wilaya estimé à 13.000 bovins », avait déclaré mardi dernier le directeur des services agricoles de la wilaya, Benaouda Abdelli, lors d'une rencontre sur la maladie aphteuse au siège la chambre de commerce et de l'Industrie de l'Oranie (CCIO), organisée en coordination avec la direction des services agricoles, la chambre de l'agriculture, la direction régionale du commerce, la sûreté de wilaya et le commandement régional de la Gendarmerie nationale. La fièvre aphteuse a touché, jusqu'il y a une semaine, « 23 wilayas, alors que des cas suspects sont signalés dans la wilaya de Mostaganem », a indiqué Hassan Boudoukha, directeur général de l'Institut national de médecine vétérinaire (INMV), affirmant que la situation épidémiologique est « stable ». Selon ce responsable, la dernière wilaya à avoir été touchée par l'épizootie, dimanche dernier, est celle de Tiaret. Il ajoute que les « services vétérinaires sont en train d'isoler les foyers de cette maladie à Mostaganem, en attendant les résultats des analyses ». M. Boudoukha a ajouté dans une déclaration à l'APS que « le programme d'urgence tracé par le ministère de l'Agriculture pour arrêter la propagation de la maladie a été efficace et que ce sont des intermédiaires qui ont introduit des taurillons malades par les frontières est du pays ».
