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L'Algérie plus que jamais concernée
Journée internationale pour le prévention des catastrophes naturelles
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 10 - 2014

Le 13 octobre est consacré ''journée internationale pour la prévention des catastrophes naturelles'' par l'assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (Onu) depuis 1990.
Le 13 octobre est consacré ''journée internationale pour la prévention des catastrophes naturelles'' par l'assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (Onu) depuis 1990.
Cette année, l'Algérie a consacré une journée de sensibilisation sur les différentes thématiques liées aux risques naturels, tremblements de terre, ouragans,... Cette journée de sensibilisation vise certes à mieux connaître les risques naturels mais aussi à prendre en compte l'urbanisme et la construction. Elle vise également à informer, à prévenir, à éduquer et à atténuer les risques par des aménagements et travaux préventifs.
Cette journée internationale a aussi pour but de prévenir les pertes en vies humaines, des dégâts matériels et des perturbations sociales et économiques provoqués par les séismes, les éruptions volcaniques, les tempêtes et cyclones, les feux de forêt, les inondations et les glissements de terrain...
La vulnérabilité aux aléas naturels - de plus en plus fréquents - prend des proportions alarmantes et se trouve exacerbée par l'accélération de la croissance démographique et le vieillissement de la population. L'édition 2014 de la Journée internationale de la prévention des catastrophes est consacrée aux personnes âgées, à leurs besoins et à la contribution qu'elles apportent pour mieux planifier et comprendre les risques de catastrophe au sein de leur communauté. Nous savons parfaitement que l'âge est un facteur important à prendre en considération lors des évacuations d'urgence.
Les personnes âgées sont également plus vulnérables que les jeunes aux traumatismes causés par les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les vagues de chaleur, les tempêtes et les inondations. Selon les prévisions, d'ici à 2050, les personnes de plus de soixante ans représenteront 22 % de la population mondiale, soit deux fois le nombre actuel.
C'est pourquoi nous devons, dès aujourd'hui, commencer à prendre en compte les préoccupations des personnes âgées dans tous les exercices de planification et de préparation destinés à atténuer les risques de catastrophe. 'Nous devons également prêter une oreille plus attentive au discours des personnes âgées, dont on sous-estime la contribution pour ce qui est de relever les défis liés à l'environnement.
Nos aînés sont une force pour la résilience, notamment grâce à leur connaissance des phénomènes naturels, y compris à travers les savoirs traditionnels et ceux des populations autochtones. Cette somme de connaissances peut nous aider à mieux nous préparer, ainsi qu'à prévenir les catastrophes, grâce à la sagesse qu'ont acquis les anciens à propos des phénomènes locaux. L'atténuation des risques de catastrophe doit reposer sur des fondements locaux, en tenant compte des vues et des besoins des communautés locales, qui sont les premières touchées par les catastrophes naturelles.''
Tel a été le principal message adressé par l'Unesco à la 3e Conférence internationale sur les petits Etats insulaires en développement, tenue à Apia (Samoa), dans le cadre de la manifestation de haut niveau intitulée ''Faire face et s'adapter aux menaces des océans pour des communautés résilientes dans les PEID''.
L'Unesco agit dans tous ses domaines de compétence, et dans le monde entier, pour instaurer une culture de la résilience au sein des communautés locales. La résilience va au-delà du simple fait de se relever d'une épreuve difficile – elle doit permettre d'édifier dès aujourd'hui des sociétés plus fortes pour demain.
En 2012, le bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNISDR) a lancé, par le biais de son bureau régional pour les pays arabes, un exercice en vue de compiler les études nationales saisissant les bonnes pratiques de la RRC dans les pays arabes. Cet exercice a été lancé en partenariat avec les points focaux nationaux de la RRC, les partenaires des Nations unies et d'autres parties prenantes dans des pays sélectionnés.
La documentation des bonnes pratiques des pays arabes vise à améliorer la compréhension des parties prenantes sur les points d'entrée nécessaires pour développer et intégrer la RRC dans les stratégies, les politiques et les programmes nationaux.
Les études de pays démontrent à quel point le plaidoyer de haut niveau, les échanges de connaissances, le renforcement des capacités, la coopération technique et les partenariats, peuvent permettre aux pays de réaliser des progrès réguliers dans le sens de l'accomplissement des objectifs nationaux de RRC, en dépit des contextes politique et économique difficiles. Cette étude nationale résume les efforts déployés par l'Algérie dans la planification pour une plus grande résilience aux catastrophes.
Au cours des dernières décennies, le pays a beaucoup appris en matière de réponse et de recouvrement lors des catastrophes. L'intérêt politique continu et l'engagement des plus hautes instances politiques, a donné à la question de la RRC une importance nationale. L'Algérie a également fait preuve d'innovation par laquelle de multiples secteurs peuvent efficacement intégrer les considérations du risque de catastrophe pour réaliser un agenda de développement durable.
L'étude nationale de l'Algérie identifie trois points d'entrée donnant l'élan aux efforts de RRC : la volonté politique et les capacités institutionnelles; l'engagement sectoriel précoce ; les partenariats régionaux et internationaux. En Algérie la direction générale de la Protection civile est l'acteur essentiel responsable de coordonner la mise en oeuvre de mesures exhaustives de préparation, de réponse et de recouvrement, tant au niveau national que local. Le musée de la Protection civile met en relief le palmarès de l'Algérie en matière d'excellentes capacités de réponse et de programmes de formation.
Plateforme Unesco-Ipred
De création récente, la plateforme internationale pour la réduction des catastrophes liées aux séismes (Ipred) est une plateforme de recherche collaborative, de formation et d'éducation dans le domaine de la sismologie et du génie parasismique. L'Institut international de génie parasismique et de sismologie (IISEE) se pose comme le centre d'excellence de cette plateforme. Fondé au Japon en 1962 et soutenu par l'Unesco, l'Institut se consacre à la formation de chercheurs et d'ingénieurs dans les pays en voie de développement.
Ses principaux objectifs sont d'échanger des informations et proposer des projets de recherche collaborative, de formation et d'éducation en matière de sismologie et de génie parasismique afin de réduire les dégâts causés par les tremblements de terre, notamment sur les bâtiments et les habitations ; d'apporter des solutions à des problèmes politiquement pertinents en rapport avec la réduction des risques de catastrophe en cas de tremblement de terre et avec la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo.
Cela passe aussi par la formulation de recommandations sur les priorités de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes (SIPC) ; et instaurer un système permettant d'envoyer des experts dans les pays qui viennent d'être touchés par un tremblement de terre afin qu'ils mènent des études sur le terrain et qu'ils en tirent des leçons pour réduire à l'avenir les risques de catastrophe.
Ce système fera appel au réseau mondial des diplômés des cours de formation organisés par l'IISEE (plus de 1.400 diplômés issus d'une centaine de pays). Suite à une première réunion au Japon en juin 2007, la première session de l'IPRED a eu lieu au siège de l'Unesco à Paris en juillet 2008.
Elle a rassemblé les représentants des principaux pays sujets aux tremblements de terre (le Chili, l'Egypte, l'Indonésie, le Japon, le Kazakhstan, le Mexique, le Pérou, la Roumanie et la Turquie). Une session s'est tenue chaque année depuis.
La contribution de l'Unesco a été précieuse au sein de la plateforme thématique sur le savoir et l'éducation de la Stratégie interne de prévention des catastrophes (SIPC) de l'Onu. Auprès de ses partenaires pour la SIPC, l'Unesco promeut l'intégration de la réduction des risques de catastrophes naturelles dans les programmes éducatifs nationaux, les programmes scolaires et les stratégies nationales, et soutient la prévention des catastrophes naturelles.
Cette année, l'Algérie a consacré une journée de sensibilisation sur les différentes thématiques liées aux risques naturels, tremblements de terre, ouragans,... Cette journée de sensibilisation vise certes à mieux connaître les risques naturels mais aussi à prendre en compte l'urbanisme et la construction. Elle vise également à informer, à prévenir, à éduquer et à atténuer les risques par des aménagements et travaux préventifs.
Cette journée internationale a aussi pour but de prévenir les pertes en vies humaines, des dégâts matériels et des perturbations sociales et économiques provoqués par les séismes, les éruptions volcaniques, les tempêtes et cyclones, les feux de forêt, les inondations et les glissements de terrain...
La vulnérabilité aux aléas naturels - de plus en plus fréquents - prend des proportions alarmantes et se trouve exacerbée par l'accélération de la croissance démographique et le vieillissement de la population. L'édition 2014 de la Journée internationale de la prévention des catastrophes est consacrée aux personnes âgées, à leurs besoins et à la contribution qu'elles apportent pour mieux planifier et comprendre les risques de catastrophe au sein de leur communauté. Nous savons parfaitement que l'âge est un facteur important à prendre en considération lors des évacuations d'urgence.
Les personnes âgées sont également plus vulnérables que les jeunes aux traumatismes causés par les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les vagues de chaleur, les tempêtes et les inondations. Selon les prévisions, d'ici à 2050, les personnes de plus de soixante ans représenteront 22 % de la population mondiale, soit deux fois le nombre actuel.
C'est pourquoi nous devons, dès aujourd'hui, commencer à prendre en compte les préoccupations des personnes âgées dans tous les exercices de planification et de préparation destinés à atténuer les risques de catastrophe. 'Nous devons également prêter une oreille plus attentive au discours des personnes âgées, dont on sous-estime la contribution pour ce qui est de relever les défis liés à l'environnement.
Nos aînés sont une force pour la résilience, notamment grâce à leur connaissance des phénomènes naturels, y compris à travers les savoirs traditionnels et ceux des populations autochtones. Cette somme de connaissances peut nous aider à mieux nous préparer, ainsi qu'à prévenir les catastrophes, grâce à la sagesse qu'ont acquis les anciens à propos des phénomènes locaux. L'atténuation des risques de catastrophe doit reposer sur des fondements locaux, en tenant compte des vues et des besoins des communautés locales, qui sont les premières touchées par les catastrophes naturelles.''
Tel a été le principal message adressé par l'Unesco à la 3e Conférence internationale sur les petits Etats insulaires en développement, tenue à Apia (Samoa), dans le cadre de la manifestation de haut niveau intitulée ''Faire face et s'adapter aux menaces des océans pour des communautés résilientes dans les PEID''.
L'Unesco agit dans tous ses domaines de compétence, et dans le monde entier, pour instaurer une culture de la résilience au sein des communautés locales. La résilience va au-delà du simple fait de se relever d'une épreuve difficile – elle doit permettre d'édifier dès aujourd'hui des sociétés plus fortes pour demain.
En 2012, le bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNISDR) a lancé, par le biais de son bureau régional pour les pays arabes, un exercice en vue de compiler les études nationales saisissant les bonnes pratiques de la RRC dans les pays arabes. Cet exercice a été lancé en partenariat avec les points focaux nationaux de la RRC, les partenaires des Nations unies et d'autres parties prenantes dans des pays sélectionnés.
La documentation des bonnes pratiques des pays arabes vise à améliorer la compréhension des parties prenantes sur les points d'entrée nécessaires pour développer et intégrer la RRC dans les stratégies, les politiques et les programmes nationaux.
Les études de pays démontrent à quel point le plaidoyer de haut niveau, les échanges de connaissances, le renforcement des capacités, la coopération technique et les partenariats, peuvent permettre aux pays de réaliser des progrès réguliers dans le sens de l'accomplissement des objectifs nationaux de RRC, en dépit des contextes politique et économique difficiles. Cette étude nationale résume les efforts déployés par l'Algérie dans la planification pour une plus grande résilience aux catastrophes.
Au cours des dernières décennies, le pays a beaucoup appris en matière de réponse et de recouvrement lors des catastrophes. L'intérêt politique continu et l'engagement des plus hautes instances politiques, a donné à la question de la RRC une importance nationale. L'Algérie a également fait preuve d'innovation par laquelle de multiples secteurs peuvent efficacement intégrer les considérations du risque de catastrophe pour réaliser un agenda de développement durable.
L'étude nationale de l'Algérie identifie trois points d'entrée donnant l'élan aux efforts de RRC : la volonté politique et les capacités institutionnelles; l'engagement sectoriel précoce ; les partenariats régionaux et internationaux. En Algérie la direction générale de la Protection civile est l'acteur essentiel responsable de coordonner la mise en oeuvre de mesures exhaustives de préparation, de réponse et de recouvrement, tant au niveau national que local. Le musée de la Protection civile met en relief le palmarès de l'Algérie en matière d'excellentes capacités de réponse et de programmes de formation.
Plateforme Unesco-Ipred
De création récente, la plateforme internationale pour la réduction des catastrophes liées aux séismes (Ipred) est une plateforme de recherche collaborative, de formation et d'éducation dans le domaine de la sismologie et du génie parasismique. L'Institut international de génie parasismique et de sismologie (IISEE) se pose comme le centre d'excellence de cette plateforme. Fondé au Japon en 1962 et soutenu par l'Unesco, l'Institut se consacre à la formation de chercheurs et d'ingénieurs dans les pays en voie de développement.
Ses principaux objectifs sont d'échanger des informations et proposer des projets de recherche collaborative, de formation et d'éducation en matière de sismologie et de génie parasismique afin de réduire les dégâts causés par les tremblements de terre, notamment sur les bâtiments et les habitations ; d'apporter des solutions à des problèmes politiquement pertinents en rapport avec la réduction des risques de catastrophe en cas de tremblement de terre et avec la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo.
Cela passe aussi par la formulation de recommandations sur les priorités de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes (SIPC) ; et instaurer un système permettant d'envoyer des experts dans les pays qui viennent d'être touchés par un tremblement de terre afin qu'ils mènent des études sur le terrain et qu'ils en tirent des leçons pour réduire à l'avenir les risques de catastrophe.
Ce système fera appel au réseau mondial des diplômés des cours de formation organisés par l'IISEE (plus de 1.400 diplômés issus d'une centaine de pays). Suite à une première réunion au Japon en juin 2007, la première session de l'IPRED a eu lieu au siège de l'Unesco à Paris en juillet 2008.
Elle a rassemblé les représentants des principaux pays sujets aux tremblements de terre (le Chili, l'Egypte, l'Indonésie, le Japon, le Kazakhstan, le Mexique, le Pérou, la Roumanie et la Turquie). Une session s'est tenue chaque année depuis.
La contribution de l'Unesco a été précieuse au sein de la plateforme thématique sur le savoir et l'éducation de la Stratégie interne de prévention des catastrophes (SIPC) de l'Onu. Auprès de ses partenaires pour la SIPC, l'Unesco promeut l'intégration de la réduction des risques de catastrophes naturelles dans les programmes éducatifs nationaux, les programmes scolaires et les stratégies nationales, et soutient la prévention des catastrophes naturelles.


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