La Protection civile algérienne a été saluée récemment en France en matière de gestion des catastrophes naturelles. Ce corps a fait ses preuves sur le terrain. La Protection civile algérienne a été saluée récemment en France en matière de gestion des catastrophes naturelles. Ce corps a fait ses preuves sur le terrain. Dans le cadre d'un d'un atelier euro-méditerranéen organisé il y a quelques jours en France, des pays ont salué les efforts de la Protection civile algérienne en matière de gestion des risques lors des catastrophes naturelles. Les 8 pays méditerranéens qui ont assisté à la rencontre ont rendu hommage à la Protection civile de l'Algérie « axée sur les différents aspects de la planification d'urgence dont la réglementation, la mobilisation des moyens techniques, humains et matériels, la coordination ministérielle, la communication avec le public, etc ». Le représentant de la direction de la Protection civile, Fouad Laloui a souligné dans son intervention lors de cette rencontre « une amélioration et un renforcement de la législation, de la formation et de la préparation en termes d'exercices». Selon ce dernier, l'Algérie s'est dotée de 50 unités de renfort aux premières interventions de 60 éléments chacune, ayant une formation spécialisée polyvalente et avec une autonomie d'une semaine. Ce qui a fait nettement l'évolution de la Protection civile, c'est sa capacité d'intervention rapide lorsque des catastrophes ou des feux de forêts surviennent. L'autre atout de la Protection civile réside dans la formation. «Nous avons aussi formé 6 400 secouristes de 18 à 65 ans capables d'intervenir et renforcé le rythme des exercices au niveau local, régional, interrégional et national» a précisé l'intervenant qui a cité également en référence « la formation de plusieurs années enclenchée sous la forme de plusieurs ateliers, dont un atelier sur la planification d'urgence constituant une des étapes clés pour les participants du programme intitulé PPRD SUD II qui a débuté en février 2014 ». Evoquant la coopération entre ces membres, les pays méditerranéens signalent que «l'Union européenne finance ce genre de projets qui vise à accroître la résilience nationale de chaque pays partenaire du sud de la Méditerranée touché par une catastrophe naturelle ou humaine, principalement grâce à la réduction des risques (prévention, atténuation, sensibilisation du public) ». L'autre axe qui reste important aux yeux de ces spécialistes reste dans la préparation, le renforcement des capacités et la planification d'urgence lors de la survenue des catastrophes. Il faut dire que depuis le séisme de Boumerdés de 2003, la Protection civile a révisé son cadre d'intervention et de prise en charge des victimes en urgence, un plan nouveau doté de commodités et de renforcement de l'intervention d'équipes spécialisées a été créé depuis une dizaine d'années. Actuellement, des sessions spéciales d'exercices communs avec d'autres pays riverains autour du sauvetage en pleine mer. Dans ce cadre, il est à signaler que les équipes de la Protection civile ont réussi leur pari en sauvant certaines victimes parmi les clandestins au large des côtes algériennes. Dans le cadre d'un d'un atelier euro-méditerranéen organisé il y a quelques jours en France, des pays ont salué les efforts de la Protection civile algérienne en matière de gestion des risques lors des catastrophes naturelles. Les 8 pays méditerranéens qui ont assisté à la rencontre ont rendu hommage à la Protection civile de l'Algérie « axée sur les différents aspects de la planification d'urgence dont la réglementation, la mobilisation des moyens techniques, humains et matériels, la coordination ministérielle, la communication avec le public, etc ». Le représentant de la direction de la Protection civile, Fouad Laloui a souligné dans son intervention lors de cette rencontre « une amélioration et un renforcement de la législation, de la formation et de la préparation en termes d'exercices». Selon ce dernier, l'Algérie s'est dotée de 50 unités de renfort aux premières interventions de 60 éléments chacune, ayant une formation spécialisée polyvalente et avec une autonomie d'une semaine. Ce qui a fait nettement l'évolution de la Protection civile, c'est sa capacité d'intervention rapide lorsque des catastrophes ou des feux de forêts surviennent. L'autre atout de la Protection civile réside dans la formation. «Nous avons aussi formé 6 400 secouristes de 18 à 65 ans capables d'intervenir et renforcé le rythme des exercices au niveau local, régional, interrégional et national» a précisé l'intervenant qui a cité également en référence « la formation de plusieurs années enclenchée sous la forme de plusieurs ateliers, dont un atelier sur la planification d'urgence constituant une des étapes clés pour les participants du programme intitulé PPRD SUD II qui a débuté en février 2014 ». Evoquant la coopération entre ces membres, les pays méditerranéens signalent que «l'Union européenne finance ce genre de projets qui vise à accroître la résilience nationale de chaque pays partenaire du sud de la Méditerranée touché par une catastrophe naturelle ou humaine, principalement grâce à la réduction des risques (prévention, atténuation, sensibilisation du public) ». L'autre axe qui reste important aux yeux de ces spécialistes reste dans la préparation, le renforcement des capacités et la planification d'urgence lors de la survenue des catastrophes. Il faut dire que depuis le séisme de Boumerdés de 2003, la Protection civile a révisé son cadre d'intervention et de prise en charge des victimes en urgence, un plan nouveau doté de commodités et de renforcement de l'intervention d'équipes spécialisées a été créé depuis une dizaine d'années. Actuellement, des sessions spéciales d'exercices communs avec d'autres pays riverains autour du sauvetage en pleine mer. Dans ce cadre, il est à signaler que les équipes de la Protection civile ont réussi leur pari en sauvant certaines victimes parmi les clandestins au large des côtes algériennes.
