Le ministre des Affaires maghrébines de l'Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, a souligné, vendredi à Amman, la place "particulière" qu'occupe la jeunesse algérienne, et le rôle "important" du gouvernement dans son accompagnement. Le ministre des Affaires maghrébines de l'Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, a souligné, vendredi à Amman, la place "particulière" qu'occupe la jeunesse algérienne, et le rôle "important" du gouvernement dans son accompagnement. Messahel, qui prend part vendredi et samedi aux travaux de la conférence d'Amman sur la "Jeunesse, la sécurité et la paix", a, fortement, souligné dans son intervention, "l'expérience algérienne de la gouvernance démocratique où la jeunesse tient une place particulière et le rôle du gouvernement dans l'accompagnement de l'entreprenariat des jeunes". "La place de la jeunesse dans le programme du président de la République et l'intérêt qu'il a toujours porté à cette frange sensible de la population participe de sa conviction que la création d'un environnement sain et la mise en place de mécanismes appropriés de créativité et d'innovation sont autant d'atouts qui permettent à la jeunesse de s'impliquer dans la création de richesse et de s'éloigner, ainsi des zones obscures où officient les tenants de la violence et du radicalisme et les commanditaires du terrorisme et du crime", a soutenu le ministre. A cette occasion Messahel est revenu, longuement, sur la politique de concorde et de réconciliation nationale, qui "ont mis en échec", selon lui, "l'idéologie de la violence et de l'exclusion et contribué, de manière significative, à la stabilité du pays, à la sécurité des personnes et des biens". Cette politique a permis également "la promotion d'un climat de dialogue inclusif dans le but de renforcer l'Etat de droit et parachever la mise en place d'institutions démocratiques et sociales", a-t-il ajouté. "Nul doute, en effet, que la tolérance et la généralisation des valeurs de fraternité et de convivialité ont permis à l'Algérie de franchir des paliers importants en faveur de la jeunesse, acteur principal du développement du progrès et de l'édification d'institutions nationales fortes et pérennes", a noté le ministre Selon Messahel, "l'implication des jeunes dans la promotion de la paix et leur contribution au dialogue pluriel, sans stigmatisation ni exclusion, le respect des autres dans leurs différences, dans leurs croyances et dans leurs convictions constituent une plate-forme unique de promotion de la paix dans le monde et une chance à cultiver pour perpétuer les valeurs que l'ensemble des peuples partagent". Messahel, qui prend part vendredi et samedi aux travaux de la conférence d'Amman sur la "Jeunesse, la sécurité et la paix", a, fortement, souligné dans son intervention, "l'expérience algérienne de la gouvernance démocratique où la jeunesse tient une place particulière et le rôle du gouvernement dans l'accompagnement de l'entreprenariat des jeunes". "La place de la jeunesse dans le programme du président de la République et l'intérêt qu'il a toujours porté à cette frange sensible de la population participe de sa conviction que la création d'un environnement sain et la mise en place de mécanismes appropriés de créativité et d'innovation sont autant d'atouts qui permettent à la jeunesse de s'impliquer dans la création de richesse et de s'éloigner, ainsi des zones obscures où officient les tenants de la violence et du radicalisme et les commanditaires du terrorisme et du crime", a soutenu le ministre. A cette occasion Messahel est revenu, longuement, sur la politique de concorde et de réconciliation nationale, qui "ont mis en échec", selon lui, "l'idéologie de la violence et de l'exclusion et contribué, de manière significative, à la stabilité du pays, à la sécurité des personnes et des biens". Cette politique a permis également "la promotion d'un climat de dialogue inclusif dans le but de renforcer l'Etat de droit et parachever la mise en place d'institutions démocratiques et sociales", a-t-il ajouté. "Nul doute, en effet, que la tolérance et la généralisation des valeurs de fraternité et de convivialité ont permis à l'Algérie de franchir des paliers importants en faveur de la jeunesse, acteur principal du développement du progrès et de l'édification d'institutions nationales fortes et pérennes", a noté le ministre Selon Messahel, "l'implication des jeunes dans la promotion de la paix et leur contribution au dialogue pluriel, sans stigmatisation ni exclusion, le respect des autres dans leurs différences, dans leurs croyances et dans leurs convictions constituent une plate-forme unique de promotion de la paix dans le monde et une chance à cultiver pour perpétuer les valeurs que l'ensemble des peuples partagent".
