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Salif Keïta : entre musique moderne et mélodie mandingue
Festival international Dimajazz
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 11 - 2016

La star de la chanson malienne, Salif Keïta, a offert avant-hier soir à Constantine, lors de la deuxième soirée du Festival international Dimajazz, un "déluge" de sonorités africaines, dans une parfaite harmonie entre musique moderne et mélodie mandingue.
La star de la chanson malienne, Salif Keïta, a offert avant-hier soir à Constantine, lors de la deuxième soirée du Festival international Dimajazz, un "déluge" de sonorités africaines, dans une parfaite harmonie entre musique moderne et mélodie mandingue.
Fidele à son statut, la voix de rossignol, qui a rapidement conquis la salle de spectacle Ahmed-Bey qui a enregistré à cette occasion une forte présence d'étudiants maliens ayant fait le déplacement pour admirer leur idole, a ravi tout l'assistance avec ses rythmes et sons puisés de plus de cinquante ans de carrière.
Pendant près d'une heure et demi, Salif Keïta qui a porté haut l'étendard de la musique africaine en général et celle du Mali en particulier, a su relever le défi de faire danser le public du Dimajazz sur le son de la Kora et des percussions africaines interprétant des chansons de son dernier album Talé et d'autres plus anciennes. A l'aise sur scène, Keïta a entonné
C'est Bon, c'est bon, Da, Nathy et d'autres tubes dans un tempo intense et enivrant, enveloppé dans des sonorités africaines, soul et jazz raffinées, rappelant la diversité des sons africains. Accompagné par des musiciens déchainés, le chanteur a clôturé son tour de chant avec le titre Madan, transportant ses fans vers un état d'euphorie exceptionnel.
A l'issue du spectacle, Salif a fait part de son "immense joie" de participer pour la première fois au festival international Dimajazz, soutenant que la musique est le "langage qui unit les peuples". La première partie de cette soirée a été animée par le Cairo Jazz Station qui a fait voyager l'auditoire au son du saz et de l'accordéon, entre les deux rives de la Méditérranée à la recherche d'une nouvelle identité musicale commune.
Le saz d'Abdallah Abozekry (Egypte) et l'accordéon du portugais Joao Barradas ont accompagné les percussions du Turc Ismael Altunbas et la contrebasse de Loris Lari (Italie) pour offrir un mariage de timbres inédit, au grand bonheur d'un public conquis par cette fusion sonore, longuement applaudie..
Le Dimajazz, qui se poursuit jusqu'au 24 novembre courant, devait accueillir hier lundi la très attendue Martha High, surnommée la diva du soul avec, en seconde partie, Djamel Sabri dit Djo et son groupe les Berbères.
Fidele à son statut, la voix de rossignol, qui a rapidement conquis la salle de spectacle Ahmed-Bey qui a enregistré à cette occasion une forte présence d'étudiants maliens ayant fait le déplacement pour admirer leur idole, a ravi tout l'assistance avec ses rythmes et sons puisés de plus de cinquante ans de carrière.
Pendant près d'une heure et demi, Salif Keïta qui a porté haut l'étendard de la musique africaine en général et celle du Mali en particulier, a su relever le défi de faire danser le public du Dimajazz sur le son de la Kora et des percussions africaines interprétant des chansons de son dernier album Talé et d'autres plus anciennes. A l'aise sur scène, Keïta a entonné
C'est Bon, c'est bon, Da, Nathy et d'autres tubes dans un tempo intense et enivrant, enveloppé dans des sonorités africaines, soul et jazz raffinées, rappelant la diversité des sons africains. Accompagné par des musiciens déchainés, le chanteur a clôturé son tour de chant avec le titre Madan, transportant ses fans vers un état d'euphorie exceptionnel.
A l'issue du spectacle, Salif a fait part de son "immense joie" de participer pour la première fois au festival international Dimajazz, soutenant que la musique est le "langage qui unit les peuples". La première partie de cette soirée a été animée par le Cairo Jazz Station qui a fait voyager l'auditoire au son du saz et de l'accordéon, entre les deux rives de la Méditérranée à la recherche d'une nouvelle identité musicale commune.
Le saz d'Abdallah Abozekry (Egypte) et l'accordéon du portugais Joao Barradas ont accompagné les percussions du Turc Ismael Altunbas et la contrebasse de Loris Lari (Italie) pour offrir un mariage de timbres inédit, au grand bonheur d'un public conquis par cette fusion sonore, longuement applaudie..
Le Dimajazz, qui se poursuit jusqu'au 24 novembre courant, devait accueillir hier lundi la très attendue Martha High, surnommée la diva du soul avec, en seconde partie, Djamel Sabri dit Djo et son groupe les Berbères.


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