Il est certain que les pour et les contre la peine de mort vont, à nouveau et à la faveur de cette nouvelle affaire, s'affronter avec force arguments. Cela a toujours été le cas en pareille circonstance. Il est certain que les pour et les contre la peine de mort vont, à nouveau et à la faveur de cette nouvelle affaire, s'affronter avec force arguments. Cela a toujours été le cas en pareille circonstance. L ' affaire de l'enfant Houssem Belkacemi a ému l'opinion publique nationale. Cet enfant, retrouvé mort après une disparition de plusieurs jours, a en effet suscité l'indignation des Algériens. Cette énième affaire de kidnapping, même si les autorités affichent une grande prudence quant aux circonstances de la disparition et de la mort, a remis au goût du jour la question de l'application de la peine de mort. La polémique a été en effet relancée sur la scène nationale. Les partisans et les opposants s'affrontent à coups d'arguments. Le débat fait notamment rage sur les réseaux sociaux. Pour une fois les politiques sont quelque peu restés en retrait cette fois-ci alors que par le passé, lors d'affaires similaires, ils se sont affrontés à couteaux tirés. Le phénomène du kidnapping des enfants et de leur assassinat a pris de l'ampleur ces dernières années. Plusieurs affaires ont choqué les Algériens en suscitant des vagues de réprobations et des manifestations de rue pour dire haut et fort leur colère. On se rappelle de la mort de la petite Nihal durant l'été 2016. Une affaire qui a jeté l'émoi au sein de l'opinion publique nationale. Le choc et la consternation ont été tels que les appels à l'application de la peine capitale à l'encontre des responsables de cette tragédie se sont multipliés. Sur les réseaux sociaux la mobilisation était très grande et des milliers de citoyens plaidaient de toutes leurs forces en faveur de l'application de la peine de mort. Il est certain que les pour et les contre cette mesure vont, à nouveau et à la faveur de cette nouvelle affaire, s'affronter avec force arguments. Cela a toujours été le cas en pareille circonstance. En effet lorsque il y a enlèvement d'enfant qui donne lieu à un assassinat les partisans de l'application de la peine de mort ne se font pas prier pour monter au créneau. Ces dernières années l'Algérie a connu plusieurs cas de kidnapping d'enfants où les ravisseurs ne laissent aucune chance à leurs victimes en leur ôtant la vie. Des crimes crapuleux qui ont sidéré l'opinion publique. Souvenons-nous, pour ne citer que cet exemple, du double crime crapuleux deBrahim et Haroun deux gamins âgés de 10 et 9 ans retrouvés morts deux joursseulement après leur enlèvement. C'étaità Constantine, dans la nouvelle ville Ali-Mendjeli qu'a eu lieu ce sinistre crime qui a provoqué l'émoi au sein de la populationalgérienne. Le débat sur la peine demort, qui a toujours suscité de vives et passionnantes polémiques entre les pour et les contre, a alors été relancé de plus belle. Et c'est un vieux débat qui ressurgit de nouveau. La peine de mort existe bel et bien dans la législation algérienne, mais son application a été gelée en 1993 par le gouvernement. Depuis cette année toutes les condamnations à la peine capitale prononcées par les tribunaux algériens ont été finalement commuées par la condamnation à la perpétuité. Il est certain que la mort du petitHoussem Belkacemi va donner des ailesaux partisans de l'application de la peinede mort qui sont déjà partis en croisade pour faire pression sur le gouvernement afin de le pousser à lâcher du lest et répondre positivement à cette pressante doléance. Le gouvernement a toujours fait le dos rond même si de plus en plus de voix se rangent du côté des partisans de l'application de la peine de mort, notamment lorsqu'il s'agit de l'assassinat d'enfants. Les partisans de l'abolition de la peine de mort ne seront pas en reste et il est certainqu'ils ne resteront pas les bras croisés face à cet e nouvelle offensive. L ' affaire de l'enfant Houssem Belkacemi a ému l'opinion publique nationale. Cet enfant, retrouvé mort après une disparition de plusieurs jours, a en effet suscité l'indignation des Algériens. Cette énième affaire de kidnapping, même si les autorités affichent une grande prudence quant aux circonstances de la disparition et de la mort, a remis au goût du jour la question de l'application de la peine de mort. La polémique a été en effet relancée sur la scène nationale. Les partisans et les opposants s'affrontent à coups d'arguments. Le débat fait notamment rage sur les réseaux sociaux. Pour une fois les politiques sont quelque peu restés en retrait cette fois-ci alors que par le passé, lors d'affaires similaires, ils se sont affrontés à couteaux tirés. Le phénomène du kidnapping des enfants et de leur assassinat a pris de l'ampleur ces dernières années. Plusieurs affaires ont choqué les Algériens en suscitant des vagues de réprobations et des manifestations de rue pour dire haut et fort leur colère. On se rappelle de la mort de la petite Nihal durant l'été 2016. Une affaire qui a jeté l'émoi au sein de l'opinion publique nationale. Le choc et la consternation ont été tels que les appels à l'application de la peine capitale à l'encontre des responsables de cette tragédie se sont multipliés. Sur les réseaux sociaux la mobilisation était très grande et des milliers de citoyens plaidaient de toutes leurs forces en faveur de l'application de la peine de mort. Il est certain que les pour et les contre cette mesure vont, à nouveau et à la faveur de cette nouvelle affaire, s'affronter avec force arguments. Cela a toujours été le cas en pareille circonstance. En effet lorsque il y a enlèvement d'enfant qui donne lieu à un assassinat les partisans de l'application de la peine de mort ne se font pas prier pour monter au créneau. Ces dernières années l'Algérie a connu plusieurs cas de kidnapping d'enfants où les ravisseurs ne laissent aucune chance à leurs victimes en leur ôtant la vie. Des crimes crapuleux qui ont sidéré l'opinion publique. Souvenons-nous, pour ne citer que cet exemple, du double crime crapuleux deBrahim et Haroun deux gamins âgés de 10 et 9 ans retrouvés morts deux joursseulement après leur enlèvement. C'étaità Constantine, dans la nouvelle ville Ali-Mendjeli qu'a eu lieu ce sinistre crime qui a provoqué l'émoi au sein de la populationalgérienne. Le débat sur la peine demort, qui a toujours suscité de vives et passionnantes polémiques entre les pour et les contre, a alors été relancé de plus belle. Et c'est un vieux débat qui ressurgit de nouveau. La peine de mort existe bel et bien dans la législation algérienne, mais son application a été gelée en 1993 par le gouvernement. Depuis cette année toutes les condamnations à la peine capitale prononcées par les tribunaux algériens ont été finalement commuées par la condamnation à la perpétuité. Il est certain que la mort du petitHoussem Belkacemi va donner des ailesaux partisans de l'application de la peinede mort qui sont déjà partis en croisade pour faire pression sur le gouvernement afin de le pousser à lâcher du lest et répondre positivement à cette pressante doléance. Le gouvernement a toujours fait le dos rond même si de plus en plus de voix se rangent du côté des partisans de l'application de la peine de mort, notamment lorsqu'il s'agit de l'assassinat d'enfants. Les partisans de l'abolition de la peine de mort ne seront pas en reste et il est certainqu'ils ne resteront pas les bras croisés face à cet e nouvelle offensive.