Invité par la quatrième commission de la décolonisation, à publier une note sur des propos dénaturés, attribués aux pétitionnaires sur le Sahara occidental, la représentante du secrétariat a tenu à présenter ses excuses à l'Algérie en indiquant que les communiqués de presse en question ont été effectivement corrigés. Invité par la quatrième commission de la décolonisation, à publier une note sur des propos dénaturés, attribués aux pétitionnaires sur le Sahara occidental, la représentante du secrétariat a tenu à présenter ses excuses à l'Algérie en indiquant que les communiqués de presse en question ont été effectivement corrigés. Le secrétariat étudie en outre la question de savoir ce qui s'est passé, a ajouté la représentante en réponse aux préoccupations soulevées par l'Algérie concernant cet impair commis par le service presse de l'Onu. L'Algérie avait exigé des précisions sur des propos de pétitionnaires sur le Sahara occidental, dénaturés par le service presse de l'Onu. "Nous demandons qu'une mise au point soit publiée sur le site web de l'Onu et que le représentant du département de l'information (DPI) se présente devant cette commission pour nous expliquer ce qui s'est passé", a déclaré Mohamed Bessedik, ambassadeur adjoint de l'Algérie auprès de l'Onu, lors du débat de la quatrième commission de la décolonisation. "Il est de son devoir de nous expliquer comment ces impairs ont été commis", a-t-il ajouté. Le DPI doit, selon lui, "présenter des excuses", après le tort causé aux personnes concernées. S'agit-il "d'une erreur commise volontairement ou bien par inadvertance, si c'est par inadvertance c'est (également) injustifiable", a-t-il soutenu. L'Onu a aussitôt retiré son compte rendu initial. "Pour voir qu'il y a peutêtre complicité, j'oserais dire, le communiquéde presse a été retiré aujourd'huidu site de l'Onu après la mise au point duprésident de la commission de la décolonisation", Rafael Darío RamírezCarreño, a relevé l'ambassadeur adjoint qui note que les dérapages de ce servicedeviennent multiples et récurrents. Leservice de l'actualité et des contenus del'Onu a dû retirer vendredi son compterendu initial dans lequel il attribue aureprésentant sahraoui, Ahmed Boukhari, de graves propos sur le Front Polisario etle processus de paix au Sahara occidental."L'erreur commise dans le communiquédu 5 octobre, qui attribuait la déclarationde M. El Baihi à M. AhmedBoukhari, du Front Polisario, a été corrigée",écrit l'Onu sur son site internet. "Il (département de l'information) est deson devoir de nous expliquer commentces impairs ont été commis", a affirmé l'ambassadeur adjoint de l'Algérie auprès de l'Onu. "Aujourd'hui on n'a pas seulement assisté à une discordance entre les communiqués de presse et (les déclarations des pétitionnaires, plus grave on a attribué une déclaration) à un représentant légitime d'un peuple, alors qu'il n'avait pas encore pris la parole", a-t-il dénoncé. Par ailleurs, la présidente de Defense Forum Foundation, Suzanne Scholte a démenti, jeudi soir, les propos qui lui ont été attribués par le service presse de l'Onu. "Je n'ai à aucun moment évoqué le plan d'autonomie du Maroc, j'ai appelé au retrait du Maroc du Sahara occidental occupé", a indiqué Suzanne Scholte. La Lauréate du prix de la paix de Séoul a fait savoir qu'elle a été l'objet d'une manigance marocaine visant à l'empêcher de prendre part aux travaux de la commission. La présidente de l'ONG américaine a été interpellée par les services de sécurité de l'Onu après une plainte de ladélégation marocaine l'accusant d'avoirbrandi un drapeau du Sahara occidentaldans la salle où se déroulaient les travaux de la commission. Suzanne Scholte a été violemment bousculée par un membre de la délégation marocaine, alors qu'elle se faisait prendre en photo avec des délégués sahraouis au fond de la salle desréunions avec un autocollant de son ONGà la main, orné du drapeau du Sahara occidental et du slogan "Free WesternSahara", a-t-elle précisé. Le secrétariat étudie en outre la question de savoir ce qui s'est passé, a ajouté la représentante en réponse aux préoccupations soulevées par l'Algérie concernant cet impair commis par le service presse de l'Onu. L'Algérie avait exigé des précisions sur des propos de pétitionnaires sur le Sahara occidental, dénaturés par le service presse de l'Onu. "Nous demandons qu'une mise au point soit publiée sur le site web de l'Onu et que le représentant du département de l'information (DPI) se présente devant cette commission pour nous expliquer ce qui s'est passé", a déclaré Mohamed Bessedik, ambassadeur adjoint de l'Algérie auprès de l'Onu, lors du débat de la quatrième commission de la décolonisation. "Il est de son devoir de nous expliquer comment ces impairs ont été commis", a-t-il ajouté. Le DPI doit, selon lui, "présenter des excuses", après le tort causé aux personnes concernées. S'agit-il "d'une erreur commise volontairement ou bien par inadvertance, si c'est par inadvertance c'est (également) injustifiable", a-t-il soutenu. L'Onu a aussitôt retiré son compte rendu initial. "Pour voir qu'il y a peutêtre complicité, j'oserais dire, le communiquéde presse a été retiré aujourd'huidu site de l'Onu après la mise au point duprésident de la commission de la décolonisation", Rafael Darío RamírezCarreño, a relevé l'ambassadeur adjoint qui note que les dérapages de ce servicedeviennent multiples et récurrents. Leservice de l'actualité et des contenus del'Onu a dû retirer vendredi son compterendu initial dans lequel il attribue aureprésentant sahraoui, Ahmed Boukhari, de graves propos sur le Front Polisario etle processus de paix au Sahara occidental."L'erreur commise dans le communiquédu 5 octobre, qui attribuait la déclarationde M. El Baihi à M. AhmedBoukhari, du Front Polisario, a été corrigée",écrit l'Onu sur son site internet. "Il (département de l'information) est deson devoir de nous expliquer commentces impairs ont été commis", a affirmé l'ambassadeur adjoint de l'Algérie auprès de l'Onu. "Aujourd'hui on n'a pas seulement assisté à une discordance entre les communiqués de presse et (les déclarations des pétitionnaires, plus grave on a attribué une déclaration) à un représentant légitime d'un peuple, alors qu'il n'avait pas encore pris la parole", a-t-il dénoncé. Par ailleurs, la présidente de Defense Forum Foundation, Suzanne Scholte a démenti, jeudi soir, les propos qui lui ont été attribués par le service presse de l'Onu. "Je n'ai à aucun moment évoqué le plan d'autonomie du Maroc, j'ai appelé au retrait du Maroc du Sahara occidental occupé", a indiqué Suzanne Scholte. La Lauréate du prix de la paix de Séoul a fait savoir qu'elle a été l'objet d'une manigance marocaine visant à l'empêcher de prendre part aux travaux de la commission. La présidente de l'ONG américaine a été interpellée par les services de sécurité de l'Onu après une plainte de ladélégation marocaine l'accusant d'avoirbrandi un drapeau du Sahara occidentaldans la salle où se déroulaient les travaux de la commission. Suzanne Scholte a été violemment bousculée par un membre de la délégation marocaine, alors qu'elle se faisait prendre en photo avec des délégués sahraouis au fond de la salle desréunions avec un autocollant de son ONGà la main, orné du drapeau du Sahara occidental et du slogan "Free WesternSahara", a-t-elle précisé.