Les jeunes travailleurs en pré-emploi lésés et victimes d'un quelconque "dépassement" ontle droit de saisir l'Inspection générale du travail,chargée d'assurer la sécurité et lesdroits des salariés. Les jeunes travailleurs en pré-emploi lésés et victimes d'un quelconque "dépassement" ontle droit de saisir l'Inspection générale du travail,chargée d'assurer la sécurité et lesdroits des salariés. C'est ce que déclare, cemercredi 2 mai 2018, l'inspecteur général dutravail auministère duTravail, de l'Emploi etde la sécurité sociale, Djegham Zoubir, unechaîne de télévision privée. M. Djegham a expliqué que l'inspection du travail qui aenregistré d'énormes dépassements, oeuvre àaccompagner les travailleurs pré-emploi,dont la plupart, sont embourbés dans la précaritéet se battent pour leur "titularisation",une fois le contrat expiré. Cette situation estle résultat d'une "mauvaise compréhension"par les employeurs du contrat CTA (contratde travail aidé). Selon lui, le "CTA est uncontrat comme tout les autres contrats".Le CTApermet aux travailleurs de bénéficierd'une contribution de l'Etat sur le salairepour une durée de 3 ans. Or, enchaîne-t-il, lesemployeurs considèrent la durée de subventionde l'Etat pour trois ans, la même que lapériode du contrat, ce qui conduit au licenciementdes travailleurs une fois son expiration.Cela dit, il ajoute que l'InspectionGénérale peut être saisie par tous les salariésqui se trouvent dans des situations obscuresavec leurs employeurs. Cette instance a pourrôle de prendre "toutes les mesures prévues dans la loi, en faveur des salariés. Et c'est àla justice de rendre à tout un chacun ce qui lui est dû". 1,5 million de travailleurs pré-emploi ont été titularisés L'invité de cette chaîne donne le bilan de l'Anem 2008-2017 : plus de deux millions de diplômés ont été recrutés dans le cadre du dispositif de l'Anem. 1,5 million ont été titularisés. 400 000 travaillent dans le cadre du CTA Les services de l'agence de l'emploi (Anem), devraient redonner plus d'espoir aux chômeurs et leur fournir toutes les conditions de travail favorables pour leur garantir un avenir professionnel certain. C'est ce que déclare, cemercredi 2 mai 2018, l'inspecteur général dutravail auministère duTravail, de l'Emploi etde la sécurité sociale, Djegham Zoubir, unechaîne de télévision privée. M. Djegham a expliqué que l'inspection du travail qui aenregistré d'énormes dépassements, oeuvre àaccompagner les travailleurs pré-emploi,dont la plupart, sont embourbés dans la précaritéet se battent pour leur "titularisation",une fois le contrat expiré. Cette situation estle résultat d'une "mauvaise compréhension"par les employeurs du contrat CTA (contratde travail aidé). Selon lui, le "CTA est uncontrat comme tout les autres contrats".Le CTApermet aux travailleurs de bénéficierd'une contribution de l'Etat sur le salairepour une durée de 3 ans. Or, enchaîne-t-il, lesemployeurs considèrent la durée de subventionde l'Etat pour trois ans, la même que lapériode du contrat, ce qui conduit au licenciementdes travailleurs une fois son expiration.Cela dit, il ajoute que l'InspectionGénérale peut être saisie par tous les salariésqui se trouvent dans des situations obscuresavec leurs employeurs. Cette instance a pourrôle de prendre "toutes les mesures prévues dans la loi, en faveur des salariés. Et c'est àla justice de rendre à tout un chacun ce qui lui est dû". 1,5 million de travailleurs pré-emploi ont été titularisés L'invité de cette chaîne donne le bilan de l'Anem 2008-2017 : plus de deux millions de diplômés ont été recrutés dans le cadre du dispositif de l'Anem. 1,5 million ont été titularisés. 400 000 travaillent dans le cadre du CTA Les services de l'agence de l'emploi (Anem), devraient redonner plus d'espoir aux chômeurs et leur fournir toutes les conditions de travail favorables pour leur garantir un avenir professionnel certain.