Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière,Mokhtar Hasbellaoui, est enfinsorti de sa réserve.Il s'est en effet rendu hierdimanche à l'hôpital deBoufarik, à Blida... 4 joursaprès la confirmation del'épidémie dans plusieurswilayas. Le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière,Mokhtar Hasbellaoui, est enfinsorti de sa réserve.Il s'est en effet rendu hierdimanche à l'hôpital deBoufarik, à Blida... 4 joursaprès la confirmation del'épidémie dans plusieurswilayas. Le ministre, accompagné par la ministre de la Solidarité sociale, GhaniaDalia, a inspecté le dispositif mis enplace par l'hôpital de Boufarik "pour maîtriserl'épidémie de choléra dans la région".Il a animé une conférence de presse, durantlaquelle il a réitéré que la source d'eau de Sidi- Lekbirà Tipaza était l'origine de l'épidémie. Il a également fait savoir que le nombre de cas confirmés est passé à 49sur 147hospitalisés et deux décès. promettant que la "situation était maîtrisée".Hasbellaoui a déclaré lors de son discoursque "le gouvernement est mobilisé pour prévenir et soigner l'épidémie de choléra, sur instruction du Président Bouteflika,qui s'enquiert tous les jours de l'état de santé des Algériens".Le ministre de la santé a fait état de la coordination entre les membres de son département avec les responsables locaux de Blida et des autres wilayas pour maîtriser cette épidémie. Il a félicité le personnelmédical et para-médical de l'hôpital de Boufarik pour "leur mobilisation depuis la confirmation de la maladie", rappelant qu'une cellule de crise a été mise sur pied au ministère pour définit une stratégiecontre cette épidémie. Conscient que son silence a étépesant il a cherché à se justifieren expliquant que son départementétait "dans un cadre de suspicion, mais tout le monde était actif dès le début pourmettre en place en place une stratégie qui vaut d'ailleurs plus qu'une visite dont lebut est de montrer que l'Etat est présent". Et le ministre d'ajouter à ce proposque "les prélèvements ont été faits aussitôt l'alerte donnée, les laboratoires, pour rendreles résultats, ont besoin de temps,mais les mesures préventives étaientprises". Par rapport à l'origine de l'épidémieet histoire de recadrer les choses, le ministre de la Santé est formel : "Le point de départ est la wilaya de Blida, c'est là que le vibrion cholérique est apparu pour lapremière fois, à cause d'une source".Hasbellaoui a aussi révélé que des prélèvements faits par des laboratoires ontmis en lumière la contamination de 38 sources au niveau des wilayas d'Alger, Bouira et Tipasa. "On a trouvé le vibrion cholérique dans une seule source, mais dans 71 % de ces sources on a trouvé d'autres vibrions qui peuvent provoquer de = gastro-entérites, surtout chez des sujets fragiles". A propos de la vidéo dans laquelle on voit un citoyen boire l'eau de la source de Sidi Lekbir, le ministre qualifie son geste d'"inconscient", et rappelle que le vibrion cholérique a été découvert au niveau de cette source. "Chacun doit prendre ses responsabilité!". "Les médecins sont rentrés de leurs congés, tous les cadres sont làpour faire untravaildepédagogie, donnerdes conseils au citoyen, car la santé du citoyens dépend d'abord de ce qu'il fait luimême". Il aégalement indiqué avoirdemandé aux walis et responsables locaux d'ordonner des prélèvements surles produitsagricoles irrigués aux alentours des points d'eau suspectés, exigeant un "travail minutieux". Le ministre, accompagné par la ministre de la Solidarité sociale, GhaniaDalia, a inspecté le dispositif mis enplace par l'hôpital de Boufarik "pour maîtriserl'épidémie de choléra dans la région".Il a animé une conférence de presse, durantlaquelle il a réitéré que la source d'eau de Sidi- Lekbirà Tipaza était l'origine de l'épidémie. Il a également fait savoir que le nombre de cas confirmés est passé à 49sur 147hospitalisés et deux décès. promettant que la "situation était maîtrisée".Hasbellaoui a déclaré lors de son discoursque "le gouvernement est mobilisé pour prévenir et soigner l'épidémie de choléra, sur instruction du Président Bouteflika,qui s'enquiert tous les jours de l'état de santé des Algériens".Le ministre de la santé a fait état de la coordination entre les membres de son département avec les responsables locaux de Blida et des autres wilayas pour maîtriser cette épidémie. Il a félicité le personnelmédical et para-médical de l'hôpital de Boufarik pour "leur mobilisation depuis la confirmation de la maladie", rappelant qu'une cellule de crise a été mise sur pied au ministère pour définit une stratégiecontre cette épidémie. Conscient que son silence a étépesant il a cherché à se justifieren expliquant que son départementétait "dans un cadre de suspicion, mais tout le monde était actif dès le début pourmettre en place en place une stratégie qui vaut d'ailleurs plus qu'une visite dont lebut est de montrer que l'Etat est présent". Et le ministre d'ajouter à ce proposque "les prélèvements ont été faits aussitôt l'alerte donnée, les laboratoires, pour rendreles résultats, ont besoin de temps,mais les mesures préventives étaientprises". Par rapport à l'origine de l'épidémieet histoire de recadrer les choses, le ministre de la Santé est formel : "Le point de départ est la wilaya de Blida, c'est là que le vibrion cholérique est apparu pour lapremière fois, à cause d'une source".Hasbellaoui a aussi révélé que des prélèvements faits par des laboratoires ontmis en lumière la contamination de 38 sources au niveau des wilayas d'Alger, Bouira et Tipasa. "On a trouvé le vibrion cholérique dans une seule source, mais dans 71 % de ces sources on a trouvé d'autres vibrions qui peuvent provoquer de = gastro-entérites, surtout chez des sujets fragiles". A propos de la vidéo dans laquelle on voit un citoyen boire l'eau de la source de Sidi Lekbir, le ministre qualifie son geste d'"inconscient", et rappelle que le vibrion cholérique a été découvert au niveau de cette source. "Chacun doit prendre ses responsabilité!". "Les médecins sont rentrés de leurs congés, tous les cadres sont làpour faire untravaildepédagogie, donnerdes conseils au citoyen, car la santé du citoyens dépend d'abord de ce qu'il fait luimême". Il aégalement indiqué avoirdemandé aux walis et responsables locaux d'ordonner des prélèvements surles produitsagricoles irrigués aux alentours des points d'eau suspectés, exigeant un "travail minutieux".