Les travailleurs contractuels du pré-emploi et du filetsocial, relevant du Dispositifd'aide à l'insertionprofessionnelle (DAIP),organisés au sein du Comiténational contrats pré-emploiet du filet social reviennent à la charge. Les travailleurs contractuels du pré-emploi et du filetsocial, relevant du Dispositifd'aide à l'insertionprofessionnelle (DAIP),organisés au sein du Comiténational contrats pré-emploiet du filet social reviennent à la charge. Il ont en effet annoncé une grève nationale d'une semaine, et ce du 4 au 10 du mois de novembre prochain.Une action qui revientpour la énième foisexprimant leurras-le-bol concernant despromesses non tenues et pour exiger un emploi décent. A travers un communiquésanctionnant la réunion de la Coordination nationale des travailleurs contrats préemploiet filet social, organisée au sein de l'Organisation nationale de la jeunesse etdel'emploi, ces contestataires, exerçant depuis plusieurs années, ont exprimé leur marasme face à la dégradation de leurs conditions de travail et l'indifférence des pouvoirs publics par rapport à leursituation. "En considération de ces évolutions,nous avons initié cette action en réponse à l'appel de la Coordination nationaledescontrats de pré-emploi, qui a décidé l'organisation d'un mouvement de protestation à l'échelle du pays", déclare le comité. Etd'ajouter, "par cette action, nous voulons rappeler notre situation qui laisseà désirer car aucune décision sérieuse n'a été prisepour garantir au travailleur du pré-emploi un niveau de vie digne". Ils dénoncent aussi "la marginalisation de cette catégoriede travailleurs à travers des contrats précaires". Pis, tous ceux qui essayentd'éleverla voix pour défendre les intérêts destravailleurs subissent continuellement des intimidations de la part de l'administration,et les restrictions sur libertés syndicales inadmissibles pour les travailleurs.Le recours à la grève a été décidé pour réclamer la prise en charge de leurs revendications, dont l'intégration de tout lestravailleursdu pré-emploi. Les bénéficiairesdesdifférents types de contrats de préemploise battent aujourd'hui pour unerégularisation et mettent les pouvoirspublics devant leurs responsabilités. Car,ils ont eu droit à toutes les promessesd'insertion, de titularisation ou d'augmentationde salaire. Avec cette politique surl'emploi instauré depuis, la précarité destravailleurs a augmenté fortement et le salaire est la meilleure manière de jugerque cette politique de l'emploi en Algérie est une violation claire de la loi du travail.Plusieurs droits sont bafoués à travers ces nouvelles mesures de recrutement commele droit au congé ainsi que la privation du bénéfice des avantages pour le poste qu'ilsoccupent. Une véritable bombe àretardement. Il ont en effet annoncé une grève nationale d'une semaine, et ce du 4 au 10 du mois de novembre prochain.Une action qui revientpour la énième foisexprimant leurras-le-bol concernant despromesses non tenues et pour exiger un emploi décent. A travers un communiquésanctionnant la réunion de la Coordination nationale des travailleurs contrats préemploiet filet social, organisée au sein de l'Organisation nationale de la jeunesse etdel'emploi, ces contestataires, exerçant depuis plusieurs années, ont exprimé leur marasme face à la dégradation de leurs conditions de travail et l'indifférence des pouvoirs publics par rapport à leursituation. "En considération de ces évolutions,nous avons initié cette action en réponse à l'appel de la Coordination nationaledescontrats de pré-emploi, qui a décidé l'organisation d'un mouvement de protestation à l'échelle du pays", déclare le comité. Etd'ajouter, "par cette action, nous voulons rappeler notre situation qui laisseà désirer car aucune décision sérieuse n'a été prisepour garantir au travailleur du pré-emploi un niveau de vie digne". Ils dénoncent aussi "la marginalisation de cette catégoriede travailleurs à travers des contrats précaires". Pis, tous ceux qui essayentd'éleverla voix pour défendre les intérêts destravailleurs subissent continuellement des intimidations de la part de l'administration,et les restrictions sur libertés syndicales inadmissibles pour les travailleurs.Le recours à la grève a été décidé pour réclamer la prise en charge de leurs revendications, dont l'intégration de tout lestravailleursdu pré-emploi. Les bénéficiairesdesdifférents types de contrats de préemploise battent aujourd'hui pour unerégularisation et mettent les pouvoirspublics devant leurs responsabilités. Car,ils ont eu droit à toutes les promessesd'insertion, de titularisation ou d'augmentationde salaire. Avec cette politique surl'emploi instauré depuis, la précarité destravailleurs a augmenté fortement et le salaire est la meilleure manière de jugerque cette politique de l'emploi en Algérie est une violation claire de la loi du travail.Plusieurs droits sont bafoués à travers ces nouvelles mesures de recrutement commele droit au congé ainsi que la privation du bénéfice des avantages pour le poste qu'ilsoccupent. Une véritable bombe àretardement.