La mort de Qassem Soleimani, après un raid américain sur Baghdad, a fait réagir les marchés mondiaux. Depuis vendredi, le baril de Brent a poursuivi sa hausse spectaculaire pour s'échanger à plus de 70 dollars, son plus haut niveau depuis mai 2019. La mort de Qassem Soleimani, après un raid américain sur Baghdad, a fait réagir les marchés mondiaux. Depuis vendredi, le baril de Brent a poursuivi sa hausse spectaculaire pour s'échanger à plus de 70 dollars, son plus haut niveau depuis mai 2019. Les cours du pétrole ont poursuivi leur hausse entamée depuis le début de la nouvelle année. Le prix du Brent a atteint les 70,72 dollars en ce début de semaine, son plus haut niveau depuis septembre dernier, au lendemain de l'attaque contre des installations saoudiennes. Cette forte hausse est due aux tensions entre l'Iran et les Etats-Unis, qui font craindre une conflagration majeure au Moyen-Orient, après la mort du général Soleimani, décédédans un raid ordonné par Donald Trump. L'offre en Irak et en Iran, tous deux grands producteurs de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), pourrait être limitée et enflammer ainsi les prix de l'or noir. Entre la promesse d'une "sévère vengeance" annoncée par l'Iran, et les avertissements de Donald Trump d'une frappe "très vite et très forte ", si l'Iran attaque les intérêts américains, le monde entier retient son souffle Les cours du pétrole ont poursuivi leur hausse entamée depuis le début de la nouvelle année. Le prix du Brent a atteint les 70,72 dollars en ce début de semaine, son plus haut niveau depuis septembre dernier, au lendemain de l'attaque contre des installations saoudiennes. Cette forte hausse est due aux tensions entre l'Iran et les Etats-Unis, qui font craindre une conflagration majeure au Moyen-Orient, après la mort du général Soleimani, décédédans un raid ordonné par Donald Trump. L'offre en Irak et en Iran, tous deux grands producteurs de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), pourrait être limitée et enflammer ainsi les prix de l'or noir. Entre la promesse d'une "sévère vengeance" annoncée par l'Iran, et les avertissements de Donald Trump d'une frappe "très vite et très forte ", si l'Iran attaque les intérêts américains, le monde entier retient son souffle