Le Conseil national des enseignants du supérieur CNES, a tenu à répondre à certaines informations sur l'arrêt du cursus universitaire. Dans son intervention à la Radio nationale, Abdelhafidh Milat a indiqué que l'année scolaire se poursuivra dés la levée du confinement. Le Conseil national des enseignants du supérieur CNES, a tenu à répondre à certaines informations sur l'arrêt du cursus universitaire. Dans son intervention à la Radio nationale, Abdelhafidh Milat a indiqué que l'année scolaire se poursuivra dés la levée du confinement. L e coordinateur du CNES a fait savoir dans son allocution "qu'il n'y ara pas d'année blanche du fait que le taux d'avancement des cours par la plate-forme numérique est satisfaisant". Il a répondu à certaines "voix qui annoncent que l'année universitaire est perdue et qu'il faut compter uniquement les examens du 1er semestre". "Nous tenons à signaler que le CNES est contre l'idée d'annuler le 2e semestre", et de poursuivre :" l'année scolaire sera poursuivie avec les examens prévus dés qu'il y aura un déconfinement total". En effet, des informations non fondées ont envahi ces derniers temps la toile et les réseaux sociaux pour évoquer la perspective d'une année blanche suite au retard cumulé depuis plus de 2 mois sur les cours. Ce qui a mis en émoi étudiants et enseignants qui n'ont pas caché leur inquiétude. En faisant taire ces rumeurs, Abdelhafidh Milat estime que seules les autorités ont le droit de se prononcer. Mais cela ne dépend pas du conseil national mais de "la décision du président de la République qu'on aura à attendre". Si la crise sanitaire du convid-19 sera résorbée, souligne le coordinateur du CNES "les cours se dérouleront normalement mais avec progression jusqu'à l'achèvement des retards". L'intervenant précise que "la nécessité inscrit 3 étapes pour achever le cursus dans sa totalité" et que "l'été pourra être l'occasion de poursuivre les cours sans discontinuer". Dans une telle situation qui n'était pas prévue "les vacances seront plutôt court", car cela va de l'intérêt de la communauté universitaire de s'impliquer dans l'organisation de l'après-coronavirus et son impact sur le déroulement de l'année. En ce qui concerne le déroulement des examens de graduation, le responsable du CNES donne des propositions. "Pour ceux qui sont concernée par les mémoires de Licence et de Master, les conseils universitaires peuvent statuer sur leurs envois par les étudiants pour leur évaluation". Mais pour les étudiants en étape de soutenir les thèses de doctorat, "il sera obligatoire d'une soutenance où seul l'étudiant, l'encadreur et le jury d'évaluation doivent être présents sans plus". Il n'est pas question de lâcher prise sur les consignes strictes autour de la prévention sanitaire, et ceci selon lui afin d'éviter tout dérapage L e coordinateur du CNES a fait savoir dans son allocution "qu'il n'y ara pas d'année blanche du fait que le taux d'avancement des cours par la plate-forme numérique est satisfaisant". Il a répondu à certaines "voix qui annoncent que l'année universitaire est perdue et qu'il faut compter uniquement les examens du 1er semestre". "Nous tenons à signaler que le CNES est contre l'idée d'annuler le 2e semestre", et de poursuivre :" l'année scolaire sera poursuivie avec les examens prévus dés qu'il y aura un déconfinement total". En effet, des informations non fondées ont envahi ces derniers temps la toile et les réseaux sociaux pour évoquer la perspective d'une année blanche suite au retard cumulé depuis plus de 2 mois sur les cours. Ce qui a mis en émoi étudiants et enseignants qui n'ont pas caché leur inquiétude. En faisant taire ces rumeurs, Abdelhafidh Milat estime que seules les autorités ont le droit de se prononcer. Mais cela ne dépend pas du conseil national mais de "la décision du président de la République qu'on aura à attendre". Si la crise sanitaire du convid-19 sera résorbée, souligne le coordinateur du CNES "les cours se dérouleront normalement mais avec progression jusqu'à l'achèvement des retards". L'intervenant précise que "la nécessité inscrit 3 étapes pour achever le cursus dans sa totalité" et que "l'été pourra être l'occasion de poursuivre les cours sans discontinuer". Dans une telle situation qui n'était pas prévue "les vacances seront plutôt court", car cela va de l'intérêt de la communauté universitaire de s'impliquer dans l'organisation de l'après-coronavirus et son impact sur le déroulement de l'année. En ce qui concerne le déroulement des examens de graduation, le responsable du CNES donne des propositions. "Pour ceux qui sont concernée par les mémoires de Licence et de Master, les conseils universitaires peuvent statuer sur leurs envois par les étudiants pour leur évaluation". Mais pour les étudiants en étape de soutenir les thèses de doctorat, "il sera obligatoire d'une soutenance où seul l'étudiant, l'encadreur et le jury d'évaluation doivent être présents sans plus". Il n'est pas question de lâcher prise sur les consignes strictes autour de la prévention sanitaire, et ceci selon lui afin d'éviter tout dérapage