Les prix de produits alimentaires transformés, les eaux minérales et les jus de fruits ont subi une nette augmentation. Les prix de produits alimentaires transformés, les eaux minérales et les jus de fruits ont subi une nette augmentation. Selon les premiers indices, cette hausse serait située entre 5 et 15 % sur différents produits. Après les légumes et fruits, c'est autour d'autres produits de large consommation d'enregister des augmentations. Ainsi l fardeau d'eau minérale coûte actuellement 200 DA alors qu'il ne dépassait pas les 170 DA. Une bouteille d'eau est comptabilisée à 35 DA au lieu de 25 DA. Même chose pour les jus de fruit où une augmentation de 15 DA sur les différentes gammes a été constatée il y a quelques jours. On note que les produits de base d'un litre de jus d'orange est à 160 DA alors qu'il coûtait 150 DA. Les eaux fruitées qui étaient les plus consommées à raison de 80 à 90 DA, affichent dorénavant 100 DA. Les sodas eux n'ont pas subi d'augmentations. Dans ce genre de situations, c'est l'Association des producteurs de boissons qui est tenue d'annoncer ces augmentations avec des justificatifs et des arguments convaincants. Mais là, aucun communiqué officiel n'a été rendu public laissant les producteurs agir librement sur le marché. Même topo pour les produits alimentaires transformés tels que les biscuits, chocolats, friandises et autres détergents qui ont aligné des tarifs à la hausse entre 15 et 30 DA selon les différentes marques. Cette redoutable spirale haussière va encore peser sur les consommateurs qui ne pourront pas, dans une large majorité, acheter certains produits qui ne sont pas rangés dans la gamme de luxe. Les associations de défense des consommateurs qui n'ont eu de cesse de dénoncer ces pratiques non régies par les règles du marché sont montées au créneau. L'Apoce, comme d'habitude, a déploré dans un communiqué samedi dernier que "les prix sont hors de portée avec ces augmentations que devra subir le consommateur algérien" en pointant du doigt "les producteurs qui tentent de justifier ces augmentations par une hausse des coûts de la matière première". Une raison qui pousse les autorités du commerce à mener des enquêtes sur ces "abus" qui risquent de déstabiliser le marché pour l'année à venir. Selon les premiers indices, cette hausse serait située entre 5 et 15 % sur différents produits. Après les légumes et fruits, c'est autour d'autres produits de large consommation d'enregister des augmentations. Ainsi l fardeau d'eau minérale coûte actuellement 200 DA alors qu'il ne dépassait pas les 170 DA. Une bouteille d'eau est comptabilisée à 35 DA au lieu de 25 DA. Même chose pour les jus de fruit où une augmentation de 15 DA sur les différentes gammes a été constatée il y a quelques jours. On note que les produits de base d'un litre de jus d'orange est à 160 DA alors qu'il coûtait 150 DA. Les eaux fruitées qui étaient les plus consommées à raison de 80 à 90 DA, affichent dorénavant 100 DA. Les sodas eux n'ont pas subi d'augmentations. Dans ce genre de situations, c'est l'Association des producteurs de boissons qui est tenue d'annoncer ces augmentations avec des justificatifs et des arguments convaincants. Mais là, aucun communiqué officiel n'a été rendu public laissant les producteurs agir librement sur le marché. Même topo pour les produits alimentaires transformés tels que les biscuits, chocolats, friandises et autres détergents qui ont aligné des tarifs à la hausse entre 15 et 30 DA selon les différentes marques. Cette redoutable spirale haussière va encore peser sur les consommateurs qui ne pourront pas, dans une large majorité, acheter certains produits qui ne sont pas rangés dans la gamme de luxe. Les associations de défense des consommateurs qui n'ont eu de cesse de dénoncer ces pratiques non régies par les règles du marché sont montées au créneau. L'Apoce, comme d'habitude, a déploré dans un communiqué samedi dernier que "les prix sont hors de portée avec ces augmentations que devra subir le consommateur algérien" en pointant du doigt "les producteurs qui tentent de justifier ces augmentations par une hausse des coûts de la matière première". Une raison qui pousse les autorités du commerce à mener des enquêtes sur ces "abus" qui risquent de déstabiliser le marché pour l'année à venir.