Le président du Venezuela Hugo Chavez a annoncé hier à Bogota qu'il avait convenu avec son homologue colombien Alvaro Uribe de recevoir à Caracas un envoyé des FARC pour aborder la question d'un échange humanitaire entre des otages des rebelles et des guérilleros détenus. "Je vais recevoir un représentant du Secrétariat des Forces armées révolutionnaires de Colombie (organe dirigeant de la guerilla marxiste des FARC) au Venezuela", a-t-il déclaré. Le président Chavez a également révélé qu'il avait reçu, hier matin, de nouvelles propositions des Forces armées révolutionnaires de Colombie, mais s'est toutefois refusé à en révéler la teneur. Le chef de l'Etat a ensuite indiqué qu'il acceptera l'émissaire désigné par les FARC mais aimerait négocier avec Manuel Marulanda, le dirigeant historique de la guérilla. "Je suis un militaire et je préfère parler directement avec le chef", a-t-il estimé ajoutant qu'il est prêt à se déplacer "n'importe où" pour faire avancer les négociations. "Je rentre à Caracas avec plus d'optimisme", a proclamé le président vénézuélien. "Chavez arrive avec des éléments pour construire des solutions", afin de parvenir à la libération des otages, a affirmé de son coté le président colombien Alvaro Uribe. Le président du Venezuela Hugo Chavez a annoncé hier à Bogota qu'il avait convenu avec son homologue colombien Alvaro Uribe de recevoir à Caracas un envoyé des FARC pour aborder la question d'un échange humanitaire entre des otages des rebelles et des guérilleros détenus. "Je vais recevoir un représentant du Secrétariat des Forces armées révolutionnaires de Colombie (organe dirigeant de la guerilla marxiste des FARC) au Venezuela", a-t-il déclaré. Le président Chavez a également révélé qu'il avait reçu, hier matin, de nouvelles propositions des Forces armées révolutionnaires de Colombie, mais s'est toutefois refusé à en révéler la teneur. Le chef de l'Etat a ensuite indiqué qu'il acceptera l'émissaire désigné par les FARC mais aimerait négocier avec Manuel Marulanda, le dirigeant historique de la guérilla. "Je suis un militaire et je préfère parler directement avec le chef", a-t-il estimé ajoutant qu'il est prêt à se déplacer "n'importe où" pour faire avancer les négociations. "Je rentre à Caracas avec plus d'optimisme", a proclamé le président vénézuélien. "Chavez arrive avec des éléments pour construire des solutions", afin de parvenir à la libération des otages, a affirmé de son coté le président colombien Alvaro Uribe.