La thérapeutique hormonale substitutive est le traitement couramment utilisable le plus efficace pour traiter les symptômes vasomoteurs et uro-génitaux ainsi que pour soigner la diminution de la libido. Etant donné les effets secondaires apparus dans des essais cliniques, les autorités sanitaires considèrent maintenant que le ratio risque bénéfice n'est pas en faveur de l'utilisation des hormones de ménopause pour la prévention des maladies cardio-vasculaires et pour la prévention des fractures chez les femmes en post-ménopause. Cependant des études cliniques et expérimentales montrent que les effets adverses de la thérapeutique peuvent largement dépendre de la formulation des oestrogènes et de la progestérone, de leur mode d'administration, de l'âge des patientes, des maladies associées et de la durée de la thérapeutique. Les différentes formulations oestrogéniques et les modes d'administration ont des effets bénéfiques similaires sur les symptômes vasomoteurs et uro-génitaux ainsi que sur la structure des os. Cependant les risques cardio-vasculaires et les risques de cancer du sein sont plus élevés avec les oestrogènes pris par voie orale qu'avec les oestrogènes transdermiques. Ils sont aussi plus élevés avec l'utilisation de beaucoup de composés progestatifs plutôt que l'utilisation de la progestérone micronisée. Selon l'article du Dr Caufriez du laboratoire de physiologie et de l'Ecole de Médecine de l'université libre de Bruxelles paru dans les Annales d'Endocrinologie (Bulletin Officiel de la Société Française d'Endocrinologie), en juillet 2007, la combinaison de l'oestradiol transdermique et de la progestérone micronisée apparaît être efficace et relativement sûre si des précautions élémentaires sont prises et il semble pour le moment être le meilleur choix hormonal de remplacement chez la plupart des femmes en post ménopause. Pour l'auteur cette thérapie hormonale peut également être un bon choix thérapeutique pour prévenir ou traiter l'ostéoporose puisque les médications alternatives incluant le raloxifène et les biophosphonates peuvent avoir des effets dramatiques chez certaines patientes. Elle pourrait également avoir des effets bénéfiques sur le développement de la maladie coronarienne chez les femmes en ménopause récente. La thérapeutique hormonale substitutive est le traitement couramment utilisable le plus efficace pour traiter les symptômes vasomoteurs et uro-génitaux ainsi que pour soigner la diminution de la libido. Etant donné les effets secondaires apparus dans des essais cliniques, les autorités sanitaires considèrent maintenant que le ratio risque bénéfice n'est pas en faveur de l'utilisation des hormones de ménopause pour la prévention des maladies cardio-vasculaires et pour la prévention des fractures chez les femmes en post-ménopause. Cependant des études cliniques et expérimentales montrent que les effets adverses de la thérapeutique peuvent largement dépendre de la formulation des oestrogènes et de la progestérone, de leur mode d'administration, de l'âge des patientes, des maladies associées et de la durée de la thérapeutique. Les différentes formulations oestrogéniques et les modes d'administration ont des effets bénéfiques similaires sur les symptômes vasomoteurs et uro-génitaux ainsi que sur la structure des os. Cependant les risques cardio-vasculaires et les risques de cancer du sein sont plus élevés avec les oestrogènes pris par voie orale qu'avec les oestrogènes transdermiques. Ils sont aussi plus élevés avec l'utilisation de beaucoup de composés progestatifs plutôt que l'utilisation de la progestérone micronisée. Selon l'article du Dr Caufriez du laboratoire de physiologie et de l'Ecole de Médecine de l'université libre de Bruxelles paru dans les Annales d'Endocrinologie (Bulletin Officiel de la Société Française d'Endocrinologie), en juillet 2007, la combinaison de l'oestradiol transdermique et de la progestérone micronisée apparaît être efficace et relativement sûre si des précautions élémentaires sont prises et il semble pour le moment être le meilleur choix hormonal de remplacement chez la plupart des femmes en post ménopause. Pour l'auteur cette thérapie hormonale peut également être un bon choix thérapeutique pour prévenir ou traiter l'ostéoporose puisque les médications alternatives incluant le raloxifène et les biophosphonates peuvent avoir des effets dramatiques chez certaines patientes. Elle pourrait également avoir des effets bénéfiques sur le développement de la maladie coronarienne chez les femmes en ménopause récente.