La promulgation d'un texte juridique est de nature à aplanir les obstacles auxquels font face généralement les forces de sécurité dans leur lutte contre le trafic d'organes, lié directement à un autre phénomène plus large encore, à savoir le kidnapping. La promulgation d'un texte juridique est de nature à aplanir les obstacles auxquels font face généralement les forces de sécurité dans leur lutte contre le trafic d'organes, lié directement à un autre phénomène plus large encore, à savoir le kidnapping. Le phénomène du trafic d'organes qui a défrayé récemment la chronique nationale sera combattu dans le cadre d'un texte de loi dont la promulgation est en cours. Intervenant hier en marge des travaux de la journée d'étude sur le nouveau code de procédures civile et administrative, organisée hier à l'hôtel Hilton d'Alger, le ministre de la Justice, Tayeb Belaïz, indiquera que son département «tient, depuis 16 jours déjà, des rencontres quotidiennes pour débattre de plusieurs nouveaux textes de loi traitant des nouvelles formes de criminalité. » Outre le trafic d'organes, le ministre citera notamment, «la contrebande, la traite et la cybercriminalité». Il va sans dire que la promulgation d'un texte juridique est de nature à aplanir les obstacles auxquels font face généralement les forces de sécurité dans leur lutte contre le trafic d'organes, lié directement à un autre phénomène plus large encore, à savoir le kidnapping. Le ministre de l'Intérieur a, il y a quelques semaines, reconnu que : «ce phénomène demeure parmi les dossiers les plus difficiles à traiter». Le projet de loi portant lutte contre le trafic d'organes devra donner un ancrage juridique aux équipes spécialisées des forces de sécurité composées, entre autres, de psychologues et de criminologues. Il y a lieu de rappeler que le trafic d'organes s'est installé dans notre société à partir de 2005 quand les forces de sécurité avaient démantelé un réseau spécialisé dans l'enlèvement d'enfants. Depuis, plusieurs affaires similaires ont éclaté, semant le désarroi et la panique au sein de la population. Les enquêtes ont révélé par la suite, que les victimes sont acheminées au Maroc où elles seront « vendues » à des cliniques clandestines, spécialisées dans la transplantation d'organes, notamment des reins. Cette forme de criminalité, s'accordent à dire les spécialistes, génère des profits faramineux tant pour les réseaux de kidnappeurs que pour les cliniques qui vendent les organes extraits aux enfants (victimes faciles). Les clients desdites cliniques viennent des quatre coins de la planète. Dans le même registre relatif à la protection des enfants, le garde des sceaux fera savoir également que «la loi sur l'enfance a été adoptée par le Conseil de gouvernement et attend sa présentation devant le Conseil des ministres», et ce, avant son adoption par le Parlement. Par ailleurs, interrogé sur les détenus algériens en Libye, le ministre de la Justice indiquera qu'«une commission commune travaille pour la libération des Algériens se trouvant dans les prisons libyennes en contrepartie de la libération des Libyens détenus dans notre pays.» Il précisera cependant, que «le mode et l'échéance du règlement de cette crise n'ont pas encore été fixés.» Notons enfin, que la journée d'étude sur le nouveau code des procédures civile et administrative, a vu la présence de près de 174 participants dont des juges, des avocats, des universitaires, notaires et autres intervenants et employés dans le secteur de la justice. Tayeb Belaïz indiquera aux participants que pas moins de 95 textes juridiques dont 33 lois ont été promulgués depuis l'entame de la réforme de la justice. Des textes traitant des statuts particuliers des employés du secteur et des nouvelles formes de criminalités, a-t-il conclu. Le phénomène du trafic d'organes qui a défrayé récemment la chronique nationale sera combattu dans le cadre d'un texte de loi dont la promulgation est en cours. Intervenant hier en marge des travaux de la journée d'étude sur le nouveau code de procédures civile et administrative, organisée hier à l'hôtel Hilton d'Alger, le ministre de la Justice, Tayeb Belaïz, indiquera que son département «tient, depuis 16 jours déjà, des rencontres quotidiennes pour débattre de plusieurs nouveaux textes de loi traitant des nouvelles formes de criminalité. » Outre le trafic d'organes, le ministre citera notamment, «la contrebande, la traite et la cybercriminalité». Il va sans dire que la promulgation d'un texte juridique est de nature à aplanir les obstacles auxquels font face généralement les forces de sécurité dans leur lutte contre le trafic d'organes, lié directement à un autre phénomène plus large encore, à savoir le kidnapping. Le ministre de l'Intérieur a, il y a quelques semaines, reconnu que : «ce phénomène demeure parmi les dossiers les plus difficiles à traiter». Le projet de loi portant lutte contre le trafic d'organes devra donner un ancrage juridique aux équipes spécialisées des forces de sécurité composées, entre autres, de psychologues et de criminologues. Il y a lieu de rappeler que le trafic d'organes s'est installé dans notre société à partir de 2005 quand les forces de sécurité avaient démantelé un réseau spécialisé dans l'enlèvement d'enfants. Depuis, plusieurs affaires similaires ont éclaté, semant le désarroi et la panique au sein de la population. Les enquêtes ont révélé par la suite, que les victimes sont acheminées au Maroc où elles seront « vendues » à des cliniques clandestines, spécialisées dans la transplantation d'organes, notamment des reins. Cette forme de criminalité, s'accordent à dire les spécialistes, génère des profits faramineux tant pour les réseaux de kidnappeurs que pour les cliniques qui vendent les organes extraits aux enfants (victimes faciles). Les clients desdites cliniques viennent des quatre coins de la planète. Dans le même registre relatif à la protection des enfants, le garde des sceaux fera savoir également que «la loi sur l'enfance a été adoptée par le Conseil de gouvernement et attend sa présentation devant le Conseil des ministres», et ce, avant son adoption par le Parlement. Par ailleurs, interrogé sur les détenus algériens en Libye, le ministre de la Justice indiquera qu'«une commission commune travaille pour la libération des Algériens se trouvant dans les prisons libyennes en contrepartie de la libération des Libyens détenus dans notre pays.» Il précisera cependant, que «le mode et l'échéance du règlement de cette crise n'ont pas encore été fixés.» Notons enfin, que la journée d'étude sur le nouveau code des procédures civile et administrative, a vu la présence de près de 174 participants dont des juges, des avocats, des universitaires, notaires et autres intervenants et employés dans le secteur de la justice. Tayeb Belaïz indiquera aux participants que pas moins de 95 textes juridiques dont 33 lois ont été promulgués depuis l'entame de la réforme de la justice. Des textes traitant des statuts particuliers des employés du secteur et des nouvelles formes de criminalités, a-t-il conclu.